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Après une interminable phase de soins palliatifs, le groupe Egana-Goldpfeil vient d’être placé sous le contrôle d’administrateurs provisoires chargés de… faire ce qu’ils pourront !
Un mauvais signal à deux semaines de Baselworld.

••• HONG KONG N’EST PLUS CE QU’IL ÉTAIT : après la terrible déconfiture du groupe Peace Mark, qui a fait tousser toute l’horlogerie asiatique, le groupe Egana-Goldpfeil succombe à son tour. Deux provisional liquidators viennent d’être nommés par les juges de Hong Kong, avec la mission de tout restructurer pour vendre les actifs de l’entreprise. Pour l’instant, les filiales internationales – notamment allemandes – continuent leurs activités.

Le groupe avait par ailleurs commencé à perdre certaines de ses licences horlogères, dont, récemment, celle de Cerruti.

••• UNE ANNONCE QUI VA PLOMBER L’AMBIANCE À BÂLE, non seulement sur le stand Egana, habituellement toujours agité, mais aussi dans les couloirs, Egana gérant de nombreuses marques pour d’innombrables distributeurs et détaillants.

••• Ci-dessus : une montre Satellarium, de Vianney Halter, clone de celle qu'il avait réalisée, voici quelques années, pour EganaGoldpfeil, du temps de la splendeur pour un groupe qui se voyait déjà en haut de l'affiche de la haute horlogerie...