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C’est encore pire que ce qu’on redoutait.

Tous ceux qui pensaient que l’horlogerie était un métier sérieux seront accablés – le mot est faible – par la révélation des images révoltantes de la nouvelle communicationhorlogère...

••• ILS ONT OSÉ ! Et quand les frontières sont franchies, il n’y a plus de bornes (ou l’inverse). L’affaire Lolo & Mimile avait été évoquée ce matin par Business Montres, mais il faut à présent avoir le courage révéler la vraie photo de l’affaire, pas l’image soft officiellement et prudemment communiquée à la presse pour annoncer le pacs Richard Mille-Laurent Picciotto, ainsi que la naissance de la RM 010 Chronopassion.

Tout y est, surtout le pire ! Le plus grave est d’ailleurs que ni l’horloger (RM, à gauche), ni le « gourou » (LP, à droite) n’éprouvent la moindre gêne à nous faire profiter ainsi de leur extravagante aventure. En plus et sans vergogne, ces gâcheurs de pellicule rient de donner le mauvais exemple aux nouvelles générations de créateurs…

••• QUE NE FERAIT-ON PAS POUR VENDRE UNE MONTRE ? Réduite à de tels expédients, la planète horlogère est bien malade : il reste à espérer que la crise nettoiera ces écuries d’Augias chronopassionnelles et renverra ces pitoyables facéties dans les poubelles de l’histoire horlogère. La dignité de notre profession n'a que faire de ces empêcheurs de ronrons éditoriaux !

• Qu’on se le dise !