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Ce qu'il faut savoir pour bien commencer la semaine
 
Le 08-06-2009
de Business Montres & Joaillerie

Votre Quotidien des Montres est fidèle au rendez-vous pour bien démarrer la semaine, avec une actualité rendue à la fois plus calme par la perspective des vacances horlogères à rallonge de cet été et plus fébrile parce qu’il ne reste plus que trois semaines d’activité avant l’état végétatif et semi-comateux de l’industrie en juillet-août...

••• JAQUET DROZ
Le principal atout de la vente Only Watch (septembre prochain), c’est de permettre aux marques de se lâcher sans trop de risques. Sans Only Watch, Jaquet Droz n’aurait sans doute pas osé un cadran en émail grand feu rouge, surtout sur une céramique blanche. Pour mémoire, s’il faut une dizaine de passages au four (un par couche) pour obtenir un cadran ivoire, il n’en faut pas moins de 22 pour obtenir un cadran de ce rouge vif. Sans parler de la régularité dans la fusion du pigment, le rouge ayant tendance à « marbrer » ou à muter d’un ton à l’autre au cours d’une même cuisson à 800°C. Moralité : on doit passer au four plusieurs centaines de cadrans pour en retenir un seul acceptable, avec une couleur homogène. Autant dire qu’on n’est pas près de revoir une autre « pièce unique » de ce style : « C’est la première fois qu’on réussit ce tour de force dans l’industrie horlogère », admet Manuel Emch (Jaquet Droz). Qui ajoute : « C’est aussi sans doute la dernière ». Il travaille à stabiliser ce rouge depuis... 2003 !
Céramique blanche, émail rouge, gomme blanche du bracelet, or gris des aiguilles : rigueur graphique et dépouillement chromatique, deux valeurs fondatrices de l’identité Jaquet Droz. Au-delà du « Numerus Clausus 1/1 », ici impossible à mettre en doute, le contrat Only Watch est respecté. On peut également noter l’absence de concession à la facilité, puisque Jaquet Droz réalise en céramique tous les éléments du boîtier de 44 mm, y compris le fond – ce qui n’est pas la norme des autres spécialistes de la céramique...
••• UN MAGNIFIQUE HOMMAGE AUX ARTS DU FEU et aux richesses de la terre, puisque la céramique « high tech » aussi bien que les pigments de l’émaillage sont des composants naturels dont l’interaction chimique est capable de produire à la fois un matériau presque aussi dur que le diamant et une couleur presque aussi « brûlante » que le soleil.
• Less is more : puisque ce cadran rouge est – et devrait rester – absolument unique, on aurait pu épurer un peu plus le cadran en retirant la mention « Numerus Clausus », qui allait de soi. De même, cette Grande Seconde automatique est tellement Jaquet Droz que les deux étoiles du logo auraient été suffisantes pour créer un choc esthétique encore plus intense.

••• ZENITH
Au Locle, 60, 80 ou 120 suppressions de poste ? La presse locale a réagi aux informations de Business Montres (4 juin) concernant la « négociation d’un “plan social“ d’une ampleur encore inégalée dans l’industrie suisse », avec une estimation située dans « une fourchette de 80 à 120 suppressions de postes ».
Fait inhabituel : la source était citée par L’Express-L’Impartial, même si le mot « négociation » employé à dessein par Business Montres n’apparaissait pas. Négociation qui n’est d’ailleurs ni démentie par l’attachée de presse de Zenith, qui parle de « rumeur », ni par le nouveau CEO, Jean-Frédéric Dufour, qui se plaint de « devoir réagir à une phrase polémique lâchée de manière aussi light sur un sujet aussi sensible ».
Contacté par Business Montres avant la publication de cette information, Jean-Frédéric Dufour avait cependant refusé de répondre ! Sa ligne de défense – « Je n’aurais pas pu négocier une telle mesure de restructuration en une semaine de présence dans l’entreprise » – est légèrement absurde : il est évident qu’un tel dossier était ouvert bien avant son arrivée, la fourchette de 80 à 120 postes étant un cadre de « négociation », et pas une décision !
Même discrétion de violette chez les syndicats ou les services locaux de l’emploi, qui ne peuvent pas nier l’évidence, mais qui ouvrent le parapluie en disant qu’ils ne sont pour rien pour cette « fuite ».
Très courageusement, en usant de la bonne vieille « source généralement bien informée qui veut garder l’anonymat », L’Express-L’Impartial – qui sait très bien à quoi s’en tenir – en conclut que ce n’est pas de l’intox, même si ces suppressions de postes ne devraient toucher qu’une soixantaine de personnes. Si c’est le cas, pourquoi ne pas publier l’information quand on est si bien renseigné ? Conclusion encore plus inquiétante de L’Express-L’Impartial : « Une chose sur laquelle tout le monde s'accorde : dans la branche (comme dans d'autres), on navigue vraiment à vue, sans aucune visibilité. Il y aura sans doute encore de la casse après l'été, et pas que chez Zenith ».
••• NE PAS CONFONDRE PUDEUR ET DISSIMULATION : il faut parfois parler clairement. Il y a bien une négociation en cours pour une fourchette de suppressions pouvant aller jusqu’à 120 postes : à quoi bon le cacher aux personnels, qui ont le droit d’être considérés comme des adultes responsables et non comme des variables d’ajustement manipulables ad libitum ? L’omerta horlogère – celle qui a conduit tant de managers à nier l’évidence de la crise jusqu’au début 2009 – est ici beaucoup plus meurtrière que la plus élémentaire des transparences.
• Jean-Frédéric Dufour n’est bien entendu pour rien dans la chute de 50 % de l’activité Zénith au premier trimestre 2009 [chiffre réel, quoiqu’officieux], mais il devra néanmoins porter le chapeau des redimensionnements nécessaires. L’horreur économique n’est pas, en soi, dans la suppression de poste, mais dans la brutalité de son annonce quand rien n’a été anticipé – surtout quand on a nié l’éventualité de cette suppression. L’horlogerie doit encore apprendre à gérer l’ingérable...

••• DIESEL
Les codes des concept watches infusent l’horlogerie de mode : la nouvelle DZ 9044 de Diesel (ne cherchez pas, elle n’est pas encore sur le site des Timeframes de la marque) a la particularité remarquable d’avoir un cadran muet. Ce qui signifie nu, poli miroir, sans la moindre mention de quoi que ce soit : on ne lit l’heure que par quatre guichets latéraux sur la carrure carrée de la montre, deux de chaque côté, ce qui permet de proposer quatre fuseaux horaires différents. Un concept architectural très original, à découvrir sur le site Loudreams.

••• MONTBLANC
Toujours pas la moindre réaction officielle aux révélations de Business Montres sur l’hommage à Max von Oppenheim. En revanche, quelques lecteurs historiens m’ont aidé à approfondir le dossier. En soulignant que c’est un peu choquant au regard de l’engagement – certainement sincère – de Montblanc auprès de l’nicef...
Il apparaît que Max von Oppenheim, loin d’être « rangé des voitures » et de l’espionnage pro-allemand dans les années trente [c’était la première ligne de défense de Montblanc], a maintenu ses activités conspiratives pendant la Seconde Guerre mondiale : non seulement cet agent secret du Reich était l’inspirateur du trop célèbre Grand Mufti de Jérusalem, qui s’était réfugié à Berlin pour y déverser, à la radio, des flots de propagande antisémite capables de soulever l’opinion publique arabe contre les Alliés, mais on le signale également derrière le coup d’Etat en Irak, au printemps 1941 : dans une dépêche datée d’Ankara, il y est qualifié par le New York Times de « comploteur du Reich » et de « distinguished archeologist and astute propagandist » – en anglais, c’est plus parlant !
• L’autre fait troublant de ce dossier – le fait que le stylo-hommage à cet curieux « mécène d’art » n’apparaisse que sur le site anglais de Montblanc, et non sur les sites français, allemand, espagnol, italien, chinois et russe – doit être partiellement corrigé : on trouve la mention de l’hommage au baron von Oppenheim sur le site japonais de Montblanc. Ce qui n’est pas forcément rassurant...
••• ON ESPÈRE QUE CETTE ANNONCE RÉSERVÉE AUX JAPONAIS n’a rien à voir avec l’alliance des Japonais du Mikado et des Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale...


••• ZAPPING •••
Quelques petits riens sur un peu de tout ce qui concerne les montres…

• VACHERON CONSTANTIN : initiative originale avec la restauration, à Beyrouth, de la fameuse horloge de la tour du Sérail. Cette tour-horloge avait été bâtie il y a 112 ans pour célébrer le dixième anniversaire de l’accession au pouvoir du sultan Abd Al-Hamid. En liaison avec Cadrans, son agent au Liban, la manufacture genevoise prendra en charge la réparation du mécanisme et des quatre faces de l’horloge.
••• TECHNIQUE ET CULTURE dans un pays qui a toujours privilégié la passion des belles montres : bien joué !

• LÉON HATOT : confirmation (enfin !) par le Swatch Group des révélations de Business Montres, le 5 mai dernier, concernant le départ d’Arlette Emch de la présidence de Léon Hatot. Confirmation également des précisions du 11 mai concernant la désignation de Nick Hayek pour la remplacer. La marque quitte ses locaux d’Auvernier et se dimensionne en reclassant à peu près tout son personnel au sein du Swatch Group. Comme Business Montres l’avait indiqué, c’est Tiffany & Co qui va profiter de cet effacement relatif de Léon Hatot, non seulement en termes d’investissements stratégiques au sein du groupe, mais aussi en termes de territoire, puisque les montres Tiffany & Co reprennent les locaux d’Auvernier...

• CORUM : la certification « Equal Salary » [une première dans l’industrie horlogère suisse, et une rareté dans toute la Confédération, qui ne compte que quatre entreprises ainsi certifiées] est tout sauf anecdotique. D’abord parce que c’est bien la moindre des choses de traiter à égalité les hommes et les femmes d’une même entreprise, sans discrimination ni considérations d’un autre âge. Deuxième argument : c’est un outil de motivation aussi puissant que précieux en période de crise, alors que les énergies de chaque entreprise sont minées par les difficultés économiques : après cette crise, tout aura changé, en particulier les relations sociales dans l’entreprise.
Enfin, et c’est peut-être le plus significatif pour ce qui concerne Corum, cette démarche – spontanée et volontaire – indique un niveau de maturité encore assez rare pour être souligné : Antonio Calce a depuis longtemps le souci des valeurs humaines dans l’entreprise. Ce n’est pas pour rien qu’il place toutes ses interventions sous le patronage de l’historien Arnold Toynbee : « Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux ». Ailleurs, cette pétition de principe pourrait ne relever que de la communication à usage externe : chez Corum, le fait de replacer l’humain au centre du jeu est un pilier de la culture maison. Ce respect de l’autre en tant qu’être humain – qu’il soit qu’homme, femme, employé, fournisseur ou client – se ressent au quotidien : il expliquera, demain, pourquoi certaines entreprises s’en sortent mieux que d’autres...

• ROLEX : tous les amateurs de montres auront noté que Roger Federer, en bon soldat de la nation horlogère helvétique, avait pris le soin d’enfiler sa Rolex Datejust avant de monter sur le podium de Roland-Garros pour soulever le dernier trophée du Grand Chelem qui manquait à sa collection. Ceux qui ont des bons yeux auront noté que sa femme, Mirka, portait également une Rolex...

• FRANCO COLOGNI : gros succès de l’Imperatore à Monaco, où il était invité par le Cercle de l’horlogerie. Face à une grosse soixantaine de membres, avec Eric Othenin-Girard (Movment) pour animer la conférence et le pousser dans ses derniers retranchements, le président de la FHH ne s’est pas privé pour parler sans langue de bois, en balançant quelques vérités bien senties sur la situation actuelle de la haute horlogerie, la santé des grandes marques [on ne s’attendait pas à des propos aussi vifs et tranchés sur celles du groupe Richemont] et la responsabilité de leurs dirigeants. De l’avis unanime des participants, ça... balançait terrible !

• CERCLE DE L’HORLOGERIE : c’est à l’initiative du magazine Movment que sera lancé, dans les semaines qui viennent, un Cercle de l’horlogerie de Genève, sur le principe de celui qui a été testé à Monaco [voir ci-dessus]. Cible : la nouvelle génération des amateurs de montres. Premier invité, le 24 septembre, à la Cité du Temps : Nicolas Hayek en personne...

• BABY BOOM : une nouvelle mode aux Etats-Unis, les « montres de fertilité ». Idéal pour les femmes qui, pour raisons religieuses ou médicales, se voient privées de contraception et ont donc besoin de connaître avec précision leur cycle, sans test, ni prise de température. Plusieurs références se disputent le marché des détecteurs de fertilité, dont OV Watch et Laks...
••• SEUL PROBLÈME : ces montres électroniques sont d’une laideur rédhibitoire et donc à peu près impossibles à porter par une femme un peu soucieuse de son apparence...

• FRONT DE L’EMPLOI : selon l’Index d’aptitudes démographiques de l’agence de placement Adecco (enquête portant sur 500 responsables du personnel), 40 % des entreprises suisses prévoient des licenciements dans les douze prochains mois ; 20 % des salariés ont déjà vu leurs horaires de travail réduit ; 49 % des entreprises ont différé toute nouvelle embauche et, avant un an, les deux-tiers des entreprises renoncent à engager du personnel...

• SPONSORING SPORTIF : vous rêvez d’intervenir sur le terrain du sport et vous ne savez pas comment y placer votre marque ? « LE » livre de référence vient de sortir : Antoine Tremblot, directeur général de l'agence Leroy Tremblot et Bruno Lalande, directeur de TNS Sport, deux « pointures » référentes du sport business, s'associent pour décrypter leur marché sur la période 1998 – 2008 : Des marques et des mesures – 1998-2008 (éditions Respectons la Terre analyse 19 secteurs d'activité, interviewent 39 experts interviewés (agences et annonceurs), cadrent le travail de 270 marques, dont quelques maisons horlogères (plus de 480 photos), brassent plus de 1 000 données chiffrées et examinent 41 disciplines sportives à travers 48 grands événements internationaux. In-dis-pen-sa-ble !

• CYBERGRIPING : on savait à peu près se protéger du cybersquatting – usurpation des noms de marque, comme dernièrement la récupération d’audemars-piguet.com par la manufacture – et des « détenteurs illégitimes » capables de ruiner à des fins commerciales une e-réputation. Voici maintenant le cybersgriping, qui consiste à s’en prendre directement, sciemment et ouvertement à la réputation d’une marque en l’associant à un terme péjoratif. Dans le domaine anglo-saxon, il suffit d’apposer sucks – Deltareallysucks.com pour les ennemis de Delta Airlines, Guinness-beer-sucks.com pour les anti-bière irlandaise, etc. – pour que tout le monde comprenne : les suck sites sont une monde à part ! Dans l’espace francophone, le mouvement émerge à peine, mais on compte déjà des sites en nomdelasociété-faitchier ou nomdelasociété-de-merde – aussitôt attaquées par les marques ainsi dénigrées. Il ne s’agit plus générer du trafic ou de revendre le site aux marques trop naïves, mais bien de lancer une cyberguérilla relayée par les clients mécontents. Sachant que les dossiers d’usurpation et de calomnie traités par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (Genève) augmentent de 20 % tous les ans, la menace n’est pas mince : on sort de la logique de confusion possible avec le nom de la marque pour entrer dans la volonté de nuire. C’est parfois ravageur !

• TINTIN : le plus célèbre reporter du monde fête ses quatre-vingt ans de littérature [le mot n’est pas trop fort], même s’il n’a toujours que vingt et quelques années. En revanche, toujours pas de montres ou de collection horlogère à la hauteur de sa légende : la dernière Swatch remonte à quelques années et il mériterait bien quelques égards – comme son copain Mickey, chez Gérald Genta. Principaux marchés tintinomarketés de ces prochaines années : la Chine [grandes manœuvres d’éditions en cours] et surtout les Etats-Unis, où Steven Spielberg prépare le sacre de Tintin sur grand écran – ce sera Le Secret de la Licorne, avec Jamie Bell en Tintin et Daniel Craig en Rackham le Rouge, en plus de deux films à suivre pour composer une trilogie.
••• QUAND ON DIT 2011 + CHINE + ÉTATS-UNIS à un horloger, ça sonne en général comme un signal de reprise sur deux marchés-clés, non ?

• COLETTE : le concept store parisien présente jusqu’à la fin juin MeWeCycle, un projet artistico-alternatif de produits issus du recyclage (mobilier, vêtements, accessoires et produits « fusionnels », issus de matériaux récupérés de nos résidus industries et de nos gaspillages urbains permanents). Champagne POP Earth (Pommery) totalement eco-friendly (bouteille, étiquette, encre et raisins bio), baskets éthiques (on peut même planter le carton d’emballage, truffé de graines), bijoux JEL (Jewellery Ethical Luxury) et TotBag Kielh’s en bouteilles recyclés : Waste is beautiful ! Evidemment, le tout en série limitée avec une part des bénéfices affectée à des fonds charitables environnementalistes...
••• UNE NOUVELLE CULTURE DU LUXE SE MET EN PLACE, avec une logique d’exclusivité pilotée par la volonté de donner une seconde vie aux déchets grâce à un recyclage créatif. Le design durable, c’est chic, surtout pour les nouveaux consommateurs du luxe, parfaitement cadrés par le groupe PPR, co-producteur avec ses marques de luxe [Boucheron compris] du film Home, réalisé par Yann Arthus-Bertrand et managé par Luc Besson.
• Les marques de luxe qui ne comprendraient pas le message ont du souci à se faire...

• AVION SOLAIRE : on sait Omega partenaire du tour du monde en avion solaire de Bertrand Piccard (projet Solar Impulse), mais d’autres initiatives aériennes « propres » éclosent. On verra décoller début juillet, à Hambourg, le premier vol de l’avion Antares DLR-H2 fonctionnant avec des piles à combustible (PAC). Ce programme est soutenu par le Centre allemand de recherche aérospatiale (DLR), Lange Aviation, BASF et Serenergy, qui ont choisi un planeur Antares (20 m d’envergure et 660 kg) pour leur démonstration de vol complet, du décollage à l’atterrissage. L’intérêt de la PAC – qui transforme l’hydrogène en énergie électrique – réside dans sa technologie alternative aux carburants fossiles et dans sa réduction des pollutions et des bruits...
••• PAS ENCORE D’HORLOGER ASSOCIÉ au projet pionnier Antares : dommage !

• CLÉ USB : une amusante clé USBbricolée à partir d’un corps en bois et de composants horlogers (ponts, rouages), avec des rubis qui s’illuminent et qui donnent une illusion de vie aux rouages quand on branche le tout sur une prise USB...

• PÊCHE MIRACULEUSE : curieuse histoire que cette affaire de poisson pêché avec une montre en or dans les branchies [on ne connaît pas la marque, mais la montre à quartz était à l’heure !]. Une information à déguster avec prudence : comme elle nous arrive de Port Allen, sur Garden Island, en Australie, on peut aussi imaginer que certains avaient forcé sur la Foster’s ou sur la très locale Victoria Bitter...

 



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