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La Manufacture célèbre le 80ème anniversaire de son calibre 101 entre Festival de Cannes et Mostra de Venise.
Deux univers où le mouvement est un art, l’histoire une richesse et le temps une énergie. Le cinéma partage avec Jaeger-LeCoultre l’esprit visionnaire qui se nourrit de la tradition, la magie d’une mécanique parfaitement maîtrisée et pourtant en perpétuelle évolution. À ce titre, la Manufacture a choisi de célébrer sur tapis rouge le 80ème anniversaire de son mouvement star, le calibre 101, entre Festival de Cannes et Mostra de Venise dont elle est le partenaire pour la cinquième année consécutive. Du 2 au 12 septembre 2009, la marque escortera le monde du grand écran dans la Cité des Doges, avec un casting de rêve : huit pièces uniques qui, chacune à sa manière, mettra en scène le calibre 101.
En fin d’année, L’aventure cinématographique de Jaeger-LeCoultre se poursuivra à Paris, avec le parrainage d’une exceptionnelle exposition consacrée à l’oeuvre de Fellini, du 20 octobre 2009 au 17 janvier 2010 au Jeu de Paume.
La magie du cinéma tient souvent à cette étincelle qui magnifie un film, à cet éclairage qui accentue un jeu d’acteur, à cet angle qui permet de voir l’invisible. Il est des chefs d’oeuvre cinématographiques qui deviennent un mythe et continuent à fasciner malgré le temps qui passe. Si le cinéma, comme l’horlogerie, aime se renouveler, il n’oublie pas de rendre hommage aux piliers qui fondent son histoire et constituent une source d’inspiration inépuisable pour les générations à venir. De la même façon, il est des chefs d’oeuvre horlogers qui entrent dans la légende et demeurent une référence incontournable du patrimoine. Le calibre 101 en fait partie.
Célébrant cette année ses 80 ans, il a monté les marches du 62ème Festival de Cannes au poignet de Diane Kruger, égérie de Jaeger-LeCoultre, en compagnie de l’équipe « d’Inglorious Basterds » de Quentin Tarantino. L’actrice a choisi un modèle vintage de 1959, dont la silhouette végétale entièrement sertie de diamants offre un écrin étincelant au plus petit mécanisme horloger au monde depuis sa création.
Le calibre 101 brillera également de mille feux à la Mostra de Venise, du 2 au 12 septembre prochains.
Les personnalités et passionnés d’horlogerie auront également l’occasion de redécouvrir ce mouvement historique lors d’une soirée prestigieuse le 8 septembre, où seront dévoilées huit pièces uniques, dont deux rééditions. Parfaites allégories de la créativité des artisans de la Manufacture, ces montres aux styles différents conjugueront l’infiniment petit à tous les temps, avec une grande élégance.
Fidèle partenaire du festival vénitien depuis 2005, Jaeger-LeCoultre sera l’acteur de tous ses moments forts, habillant les stars de ses plus belles créations et offrant aux lauréats une montre Reverso personnalisée. Quatre pièces uniques récompenseront les interprétations féminines et masculines de l’année ainsi que le meilleur film recevant le Lion d’Or. Ces Reverso porteront une gravure laquée à l’effigie du lion, symbole de la Cité, exécutée à la main dans la plus pure tradition artisanale, ainsi que la mention « 66ème Mostra Internationale d’Art Cinématographique ».
La Mostra ne serait rien sans la ville qui l’accueille : Venise. Soucieux de la protection du patrimoine, Jaeger-LeCoultre est partenaire de L’UNESCO dans le cadre du projet Tides of Times qui cette année présentera Venise parmi sa liste de lieux uniques à préserver. Le 2 septembre, une page de l’International Herald Tribune sera consacrée à ce site afin de souligner son caractère exceptionnel.
Enfin, la magie du Cinéma portée par ses grands noms italiens, se poursuivra jusqu’à Paris dès la rentrée 2009. Jaeger-LeCoultre s’engage en faveur de la sauvegarde du patrimoine culturel par le mécénat depuis 2007 du Jeu de Paume. Une exposition dédiée à l’oeuvre de Fellini se tiendra dans ce haut lieu parisien de la photographie et de l’image, du 20 octobre 2009 au 17 janvier 2010. La Manufacture s’associe avec enthousiasme à cet événement qui explorera le travail du cinéaste de génie. Celui-là même qui a écrit une page de l’histoire dès la sortie de La Strada en 1948 et ouvert la voie à un cinéma aussi avant-gardiste qu’extravagant avec La Dolce Vita en 1960.
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