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Visite de routine aux ateliers qui montent les Snyper, histoire de vérifier si la « montre de l’été 2009 » tient bien ses promesses de livraison rapide des premières séries...
Résultat : la Snyper est bien parée pour répondre aux défis de la crise !
••• SNYPER
La première dizaine des Snyper vient d’être livrée chez Chronopassion (Paris), seul détaillant physique « autorisé » pour la France, mais il fallait néanmoins contrôler que l’atelier genevois chargé d’alimenter les marchés était bien parti pour réaliser les premières centaines de montres.
Test positif : ça travaille à fond à Genève ! L’atelier qui réalise les boîtiers, l’habillage et l’emboîtage des mouvements ETA tourne à plein régime pour ces premières séries de Snyper, dont les cadrans ont été restylés pour gagner en impact visuel.
Avec une surprise : le nombre de Snyper serties qui ont été commandées, soit par les détaillants, soit par les amateurs sur Internet. Un aveu : en version diamants noirs taille baguette, le chronographe ne perd rien de sa virilité, mais il gagne en élégance (images à venir dès que possible)...
••• AU PASSAGE, LA VÉRIFICATION de la swissmaditude de la Snyper est tout aussi positive. Pensé, fraisé, usiné, décolleté, assemblé, énergisé et vérifié en Suisse : c’est possible, avec des prix publics décents, pour des montres de nouvelle génération capables de rivaliser avec les best-sellers du moment (Big Bang, Royal Oak et autres sportives chic) !
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