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Une rubrique que les pressés, les jet-lagués, les distraits et même les paresseux aiment beaucoup : un survol rapide de l’actualité de ces derniers jours.
••• ILS ONT DIT...
• « Le marché mondial de l’horlogerie se dirige vers des produits avec le même contenu design que le très haut de gamme, mais positionné à un prix accessible » (Christian Viros, Technomarine, 14 septembre)
• « Les détaillants voulant à tout prix éviter de trop stocker de marchandises, il faut être très réactif et arriver à livrer une montre en quelques jours » (Jean-Frédéric Dufour, Zenith, 15 septembre)
• « Les goûts des clients sont un net retour vers le « beau-traditionnel ». Les tailles sont autour de 42 mm et plus sobres. Dans l'ensemble, les prix moyens ont baissé, mais les volumes se maintiennent » (Alexis Meyer, (Les Ambassadeurs, 16 septembre)
• « Les réseaux classiques, tout particulièrement à Paris, vont devoir se remettre fortement en cause. Ils sont aujourd’hui confrontés à trois évolutions majeures du secteur : les marques renforcent fortement leurs exigences (niveau de stock, visibilité, etc.) et se désengagent des plus faibles ou des moins sérieux. Les grands magasins sont devenus sur les cinq dernières années des acteurs majeurs et prennent une part significative du marché haut de gamme. Internet continue de se développer à toute allure. Trois raisons de se demander en tant que détaillant comment se démarquer et apporter de la valeur au client » (Joëlle Grünberg, (Galeries Lafayette, 17 septembre)
• « L'autre difficulté aujourd'hui est de surmonter les rabais qui sont devenus légende dans le secteur. Trop de pièces bradées sur des marchés parallèles et qui font office de « règle » et, du coup, le prix catalogue ne veux plus dire grand chose... Ces prochaines années la politique de prix va prendre de plus en plus d'importance dans les stratégies marketing » (Jorge Moura, Le Carrousel des Montres, 18 septembre)
• « Le détaillant n’a plus les moyens d’acheter, puisque son chiffre d’affaire lui permet tout juste de couvrir ses frais de fonctionnement. Il demande donc de la consignation ou commande lorsque la pièce est pré-vendue. Seules les marques les plus riches, ou celles qui sont aux abois répondent à la consignation » (Jacky Epitaux, Rudis Sylva, 19 septembre)
••• QUE S’EST-IL PASSÉ ?
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