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A 2 000 euros (mini-marque) comme à 200 000 euros par jour (grande marque), Baseworld est trop long, trop cher et trop tard en début d’année.

Tout a changé autour de Baselworld (marchés, montres, marques, groupes, fournisseurs, détaillants, journalistes, amateurs).

Tout change, sauf Baseworld et ses délicieux rituels : il serait temps qu’on travaille à préparer le futur des salons horlogers au lieu d’en répéter aujourd’hui le passé !

••• « CHERCHEZ L’ERREUR ! »

Première chronique vidéo de Business Montres sur un sujet qui fâche : « À quoi sert Baselworld et à quoi servent les salons horlogers ? »

• Depuis vingt ans, on fait de moins en moins de business à Baselworld, mais le salon coûte de plus en plus cher : cherchez l’erreur !

• On vient surtout à Bâle pour la convivialité, mais les espaces de convivialité sont nuls ou relégués à la périphérie dans les coins sombres : cherchez l’erreur !

• Plus les montres s’ouvrent (fond saphir, suppression des cadrans, hublots dans les boîtiers, etc.) et plus les stands des marques ressemblent à des bunkers farouchement verrouillés : cherchez l’erreur !

• 90 % de l’information horlogère passe par Internet (10 % par la presse écrite), mais on croise 90 % de journalistes print et 10 % de journalistes web dans les couloirs de Baselworld : cherchez l’erreur !

• Tout a changé dans l’horlogerie, sauf les salons, qui se déroulent aujourd’hui exactement comme hier, alors qu’ils devraient préparer demain : cherchez l’erreur !

« Cherchez l’erreur ! » : la nouvelle chronique vidéo de Business Montres met les pieds dans le plat et posent les questions qui fâchent...


••• Chronique vidéo à découvrir sur la nouvelle chaîne vidéo de Business Montres (soyez indulgents, on démarre à peine, et c'est en direct de mon bureau)...