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A l’heure où la plupart des pros de l’horlogerie, médias compris, s’apprêtent à l’indigestion totale du côté de BaselWorld 2010, chacun sait qu’il y aura « à boire et à manger« . Yvan Arpa, infâme trublion du buzz et loin d’être dans le besoin, s’occupe de ce qui vient après, à l’heure où les seuls endroits que tout le monde visite à Bâle fleurent bon les senteurs post-digestives. Ouf, le temps selon Arpa n’a pas d’odeur, qu’il s’acoquine avec l’ennemi juré des horlogers, la rouille, qu’il s’échine à faire abstraction de la lecture horaire -oui, oui, une montre tourbillon qui ne donnait pas l’heure (suprêmissime luxe que d’avoir pour le temps qui coule un tel dédain) ou qu’il se pare de Cropolite -alias de la fiente de dinosaure! C’est la dernière trouvaille du moment, assortie à un cuir issu du crapaud buffle, du plus bel effet. Et s’il fallait qu’on en cause, ce que la blogosphère s’est empressée de faire en une de ces traînées de poudre dont elle a secret, on aurait au moins le mérite d’alimenter l’étincelle qui, au moment où les curiosités sont tant sollicitées, nous fera faire le détour sur le stand Artya. Sur la photo en tous cas, la matière en question pétrifiée, étonne par sa texture et ses reliefs, ainsi que par la noblesse de ses teintes stratifiées. A quand une pub dans les toilettes des palaces, indiquant à ceux qui en ont marre de la m…. ambiante, qu’il existe une issue scathorlogèrement correcte, swiss made. |