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Le marin français le plus titré de sa génération hisse la voile avec Corum, qui confirme l’ambition et la fermeté de son ambition nautique.
Bon vent,M. l'ambassadeur !
••• UNE GLOIRE VÉLIQUE CINQUANTENAIRE
POUR LES 50 ANS DE L’ADMIRAL’S CUP
Loïck Peyron, 50 ans, a beau afficher 43 transtalantiques au compteur (dont 18 en solitaire), 5 titres de champion du monde, 16 victoires en grand prix et 2 tours du monde, il n’a rien pu faire pour sauver Alinghi au large de Valence, en février dernier : ce n'est pas grave, l'important reste que c’est tout de même lui qu’on a été chercher pour relever le défi des Américains et sauver l'honneur helvétique noyé au fond du « vieux broc »...
Et c’est donc à lui que Corum fait appel pour porter les couleurs de la marque sur les plans d’eau du monde entier. Antonio Calce avait fait la connaissance de Loïck Peyron pendant la dernière saison nautique de Genève, à bord d’Okalys-Corum, dont Loïck Peyron était lui aussi partenaire (image ci-dessus) : le navigateur ne pouvait que devenir le super-ambassadeur international de Corum, dans un univers nautique où l’Admiral’s Cup – montre qui fête cette année son demi-siècle – est à la fois un symbole horloger et une référence quasi-mythique pour les « voileux ».
Pour Loïck Peyron, « les belles histoires commencent toujours par la passion, le partage et l’amitié. C’est avec un grand plaisir, que j’ai l’honneur de faire partie aujourd’hui de la famille Corum. » Et, pour avoir vu quelques échanges passionnés entre Antonio Calce et lui, on sent que ce n’est pas du marketing.
Le jeune CEO de Corum, lui, explique : « Loïck est un homme qui, s’il se distingue par ses qualités sportives, séduit immédiatement par ses qualités humaines. Officier de la Légion d’honneur, il a – de la Route du Rhum au Vendée Globe – déjà parcouru d’innombrables miles nautiques et confirmé son statut de marin de haut vol. Il rejoint aujourd’hui la famille Corum : grâce à notre passion commune et à notre esprit de conquête, nous allons écrire ensemble les pages de notre futur ». Là encore, il y a du fond, c'est « du lourd » et on sait bien qu'il ne s'agit pas de marketing en toc.
On les retrouvera tous les deux en avril, sur le plan d’eau lémanique, pour le Trophée Julius Baer...
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