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Membre fondateur du RJC ‘Responsible Jewellery Council’, Cartier prend conscience que malgré sa renommée, elle n’a que peu d’influence sur ses achats de matière première. Selon Christophe Roulet, journaliste spécialisé, la marque ne pèse que 0,3% des volumes mondiaux utilisés en joaillerie. Elle opte donc pour une action groupée. Concrètement, elle choisit de montrer l’exemple et passe une partie de ses commandes à Goldlake, une société italienne qui exploite au Honduras ‘Eurocantera’, une mine ‘propre’. Cartier participe à la mise sur pied d’un ‘label de bonne pratique’, pour reprendre les termes de Pamela Caillens, Corporate Responsability Director chez Cartier Joailliers. |