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L’Hydroptère, l’eau et les ailes. Vol au-dessus d’un nid de promesses…
 
Le 07-09-2010
de Blog Horloger

Un bateau qui vole, c’est ce que vous croiserez peut-être sur le Léman. Le 23 août 2010, à Ecublens, l’Hydroptère.ch a célébré son baptême. Son grand frère, le trimaran le plus rapide du monde (deux records du monde, sur 500 mètres et sur 1 mile nautique), a passé la barre symbolique des 50 noeuds. Il est né dans l’esprit autodidacte et « rêveur de l’impossible » d’Alain Thébaut, ancien moniteur de planche à voile suffisamment inspiré pour entraîner, à force d’essais et de tests, une nuée de sponsors et de scientifiques dans son aventure. Thierry Lombard (de la banque du nom) et Audemars Piguet, ont permis l’arrivée sur les rives lémanique de l’Hydroptère.ch, un laboratoire flottant en forme de maquette grandeur lacustre de ce que sera l’Hydroptère Maxi, un navire appeler à s’approprier tous les records mondiaux de navigation. Grâce à l’EPFL et ses laboratoires, les capteurs installés à bord permettront de maîtriser, par simulations et exercices en eaux réelles, le comportement des « foils ». Qui sont des «ailes» sous-marines permettant, à partir d’une certaine vitesse, de s’extraire de l’eau et de gagner en vitesse grâce à une réduction de la traînée hydrodynamique. Ça intéresse les médias, les marins, les scientifiques et les… horlogers. Audemars Piguet, du haut de son histoire océane, ne pouvait que craquer pour cette épopée contemporaine, porteuse de promesses multisectorielles: environnement, matériaux et, bien sûr, chronométrie.

 



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