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On se demandait pourquoi ils rigolaient ensemble...
C’était sûrement de nos futures réactions face à leur « jwlrymachine » !
Paire de jumelles steampunk, drosophile joaillière ou nouvel ovni bussérien ?
••• UNE JOAILLERIE CONCEPTUELLE
COMMANDÉE À L’EFFERVESCENT MAX BUSSER ?
Un instant, on est même tenté de se demander s’il ne s’agit pas d’une de ces tomforderies qui avaient coûté si cher à l'honorable maison Boucheron. Mais non, puisqu’on vous avait prévenu que Max Busser et Jean-Christophe Bédos rigolaient ensemble (indiscrétion Business Montres du 15 septembre) !
••• Si on vous dit « jwlrymachine » [ne pas essayer de prononcer, sauf si vous êtes né au pays de Galles], vous entendez « machine » ou vous comprenez « jewelry » ? C’est là que ça se corse : a-t-on affaire à une montre/machine inventée pour Boucheron par MB&F (Max Busser et ses « friends ») ou est-on face à une pièce de néo-joaillerie commandée par Boucheron à l’effervescent Max Busser, don on sait qu'il a de la créativité à revendre ?
••• Des gros yeux ronds comme ceux d’une drosophile qui se serait posée place Vendôme : Boucheron a toujours adoré la joaillerie insectoïde et le bestiaire fantastique. Une binoculaire ou un face-à-main aussi précieux que steampunk, à moins que ce ne soit un nouvel ovni de la Rébellion contre les forces de l’Empire : Max Busser en nouveau Luke Skywalker, avec la colonne Vendôme pour sabre laser ? Ça aurait de l’allure et on en saura certainement un peu plus la semaine prochaine... Promis !
••• D’ores et déjà, un point positif : cette pièce « capsule » trace une voie nouvelle, qui permettra demain de réconcilier les marques phares de la place Vendôme avec la jeune génération des créateurs horlogers-joailliers. Déjà Giulio Papi pour Chanel, Marc Alfieri pour Chaumet, Jean-Marc Wiederrecht pour Van Cleef & Arpels, Richard Mille pour Boucheron, mais le compte n'y est pas : encore un effort, messieurs qu’on nomme grands...
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