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A l’hôtel Eastwest, aux Pâquis sur Genève, le sur-invitation de l’agence Sparkle à la presse prend des airs de mini-salons automnal. Les marques défendues par Suryia Hill et son team font bon ménage entre elles, d’autant qu’elles ne se « marchent pas dessus ». Quoiqu’il en soit, ce n’est pas la très sexy collection de lingerie et maillots ERES, qui se présente hélas sur cintres et non sur corps de mannequins (on ne peut tout de même pas tout avoir à l’heure du petit-déjeuner), qui fera de l’ombre aux nouveautés d’Ebel ou de Bell & Ross. Tiens à propos de belles, la mode voit le retour à la culotte, au détriment du string qui perd un peu d’altitude. Sans être trop rosse, disons délicatement qu’une culotte savamment ajourée et dentellisée, offre l’avantage de cacher les sévices d’un temps assassin, lorsque la belle paire connaît quelques plissements. Ouf, l’histoire de Marvin, qui cartonne dans une gamme de prix accessible, dépasse l’image projetée se percevant comme bien plus haut de gamme. Bref, suffisamment accessible pour que l’épris de sa belle hésite entre l’achat de deux culottes ERES, soyeuses et suggestives à souhaits, et un garde-temps mécanique Malton 160. |