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Une montre qui ne manquera pas d'air, avec les douze ailettes de sa turbine logée au coeurd'un boîtier-réacteur de 50 mm de diamètre : attachez vos ceintures pour le décollage !
1)
••• PERRELET TURBINE XL AUTOMATIQUE (50 MM)...
Gros teasing Perrelet ces dernières semaines : c’était pour annoncer le lancement, la semaine prochaine, d’une Turbine XL en 50 mm. Une taille qui ne manque pas de souffle pour une Turbine qui ne manque pas d’air ! Les lecteurs de Business Montres ont souvent entendu parler de ce concept assez radical de double rotor (article le plus récent : 21 septembre, avec la série limitée Uhrsachen). Cette fois, les ailettes du « réacteur » Perrelet prennent de l’ampleur avec un boîtier profilé sur 50 mm de diamètre, soit une turbo-turbine déclinée en DLC noir, en titane-acier DLC ou dans une version plus précieuse et un peu inattendue en or rose et acier DLC (image ci-dessus). Épaisseur : 14,3 mm. Le bracelet en caoutchouc a été renforcée par une « griffe » centrale.
2)
••• UN SOUS-CADRAN NOIR, VERT OU JAUNE SOUS LES AILETTES DE LA TURBINE...
En taille XL, Perrelet a conservé le principe de fonctionnement initial du double rotor : la classique masse oscillante (laquée noire) du mouvement automatique et la « turbine à ailettes » sur le devant du cadran, sous les aiguilles. Selon les versions, les douze « ailettes » – affûtées et retaillées en obliquesur cette XL peuvent laisser apparaître un sous-cadran noir, blanc, orange ou vert, mais ce dispositif permet des personnalisation aiguilles/sous-cadrans pratiquement infinies...
• Les précédentes Turbine ne sont pas sorties de la collection : cette XL vient compléter l’offre par le haut, ce qui peut laisser penser que Perrelet songe aussi à la compléter par une « turbinette » de plus petite taille pour les poignets féminins...
3)
••• LES RAISONS DE CRAQUER ET LES RAISONS DE NE PAS AIMER...
• ON PEUT AIMER : l’audace de la marque pour un design « fort », un concept poussé dans ses limites extrêmes, une vraie identité au poignet, une originalité totalement exclusive en vitrine, un « jouet de garçon » amusant et spectaculaire au poignet...
• ON PEUT HÉSITER : un modèle qui n’est pas fait pour les « poignets de poulet » et qu’il faut assumer esthétiquement, des prix à la hausse par rapport aux modèles précédents (de 4 400 euros en acier à 18 350 euros en or/acier)...
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