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C’était la grande inconnue du week-end : la vente aux enchèrespar Antiquorum des Rolex « historiques » de Sir Edmund Hillary serait-elle autorisée ?

La réponse est non : Antiquorum n’a pas encore fait connaître sa position...


••• DES ROLEX FINALEMENT CONSIDÉRÉES
COMME UN PATRIMOINE NATIONAL NÉO-ZÉANDAIS...

Le « Sniper du vendredi » rappelait encore ce matin les « incertitudes autour de la vente des Rolex de Sir Edmund Hillary (Business Montres du 12 novembre, info n° 3). La nouvelle est tombée à l’aube : selon la télévision néo-zélandaise TVNZ, la Cour suprême d’Auckland a interdit à Lady June, la seconde épouse de Sir Edmund Hillary, de poursuivre la vente des Rolex qui appartenaient au vainqueur de l’Everest, ces montres relevant en quelque sorte du « patrimoine national néo-zélandais » [image ci-dessus : le sherpa Tensing Norgay, le seul qui portait une Rolex au sommet de l'Everest, mais c'était la sienne, pas celle offerte par Rolex !]. On reste dans la logique du « recouvrement des créances culturelles » dont parlait Business Montres...

••• CES ROLEX « HISTORIQUES » étaient une des pièces majeures du catalogue du catalogue Antiquorum et elles devaient être dispersées demain (Business Montres du 24 octobre), mais la contestation judiciaire de leur propriété hypothéquait l’opération (révélation Business Montres du 9 novembre). On ignorait encore ce matin la décision d’Antiquorum : retirer les objets de la vente ou attendre un éventuel retour de Lady June ? Réponse dans la journée...