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S’inspirant, comme ses pairs Stephen Forsey et Robert Greubel, des travaux des Britanniques Anthony G. Randall et de Richard Good, Thomas Prescher appartient à cette nouvelle génération de doigts d’or qui s’amusent à taquiner l’impensable. Ainsi parvient-il à réaliser, dans une montre-bracelet, un exploit jugé jusque-là impossible: l’ajout à un mécanisme tourbillon d’un troisième axe, opérant une circonvolution une fois par heure, donnant un relief spatial à la vision fascinante de la marche de la montre. Le tourbillon semble suspendu dans l’air et ses ébats sont comme épargnés par les vicissitudes de l’apesanteur. Lire l’article paru dans Heure Suisse n°107.
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