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Des montres qui se mettent à danser le tango dans une vitrine de la place Vendôme...

Des communistes chinois qui veulent enrichir les nouveaux petits bourgeois asiatiques...

Pas belle, la vie ?

POUR CETTE FIN DE SEMAINE, AVEC L’ACTUALITÉ DES MONTRES EN LIGNE DE MIRE, LE SNIPER A...

1)
••• REPÉRÉ UNE NOUVELLE ANIMATION
DANS LES VITRINES DE LA PLACE VENDÔME (BOUTIQUE HUBLOT)...
Un vrai ballet de montres en vitrines : elles vont et viennent, selon une mystérieuse chorégraphie, en interagissant avec les étiquettes électroniques (ces « électrolabels » dont parlait Business Montres le 10 octobre dernier). Renseignements pris, c’est évidemment signé Xavier Dietlin, qui est plus que jamais le meilleur vitriniste de sa génération et qui a toujours quelques idées d’avance pour rendre plus sexy la présentation des montres. Faute de mieux, appelons ce nouveau concept « Hublot Slide » : le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il attire l’attention (« eye catching ») et qu’il renouvelle en profondeur l’idée même de poser des montres en vitrine. C’est d’ailleurs la première fois qu’on s’attaque ainsi aux vitrines extérieures d’une boutique, celles qui donnent dans la rue (image ci-dessus)...
••• Avantage majeur de ce concept « Hublot Slide » : la possibilité de mise à jour régulière, plusieurs fois par an, pour caler l’affichage des données – voire le ballet des montres – avec l’actualité de la marque (pour Hublot : Ferrari, le foot, la F1, la plongée, l’or en fusion). Et, bien sûr, la capacité de changer d’un clic (ou presque), simultanément, la totalité des vitrines dans les boutiques Hublot du monde entier. Avantage annexe : une fois la vitrine démontée, le soir, le ballet continue à présenter la collection (dimanche compris), mais cette fois sans les montres. Grâce au timer, on peut même prévoir un redémarrage automatique en matinée. Pour l’instant, ce concept est réservé à la vitrine de la boutique Vendôme, mais Ginza, Londres et New York devraient suivre : on peut faire confiance à Xavier Dietlin pour qu’il développe et améliore encore cette idée...
••• Pour mieux comprendre les atouts du concept « Hublot Slide », rien ne vaut une vidéo tournée place Vendôme, avec le making-of, à découvrir sur la chaîne images de Business Montres, où on pourra également revoir la vidéo des électro-labels...


2)
••• COMPRIS LES NOUVELLES DIRECTIVES
DU COMITÉ CENTRAL DU PARTIC COMMUNISTE CHINOIS...
Lors de sa réunion sur le « travail économique », le comité central du Parti communiste chinois (au pouvoir) a fixé, selon la tradition, « cinq tâches pour maintenir la stabilité et réaliser des progrès économiques en 2012 ». Décodage : la piorité est clairement à la consolidation d’une nouvelle « classe aisée » - comprenez « classe moyenne » - en stimulant la demande intérieure pour passer d’une logique d’enrichissement du pouvoir public (l’Etat) à l’enrichissement des individus. En Occident, on hurlerait à l’« hyper-libéralisme », mais c’est assez savoureux venant d’un Parti communiste (source : le très officiel Quotidien du peuple en ligne). C'est bien cette classe moyenne qu'on détestait autrefois sous l'appelation méprisante et honnie de « petits bourgeois » ?
••• « Il convient d'attacher une haute importance à la garantie et à l'amélioration de la vie du peuple, à la restructuration des revenus, et à l'élargissement de la taille de la classe aisée », nous affirment les idéologues du Parti, qui expliquent : « Donner la priorité à l'enrichissement des individus demande au gouvernement de céder davantage de profits à son peuple. (...) La croissance du revenu fiscal du gouvernement a toujours été beaucoup plus rapide que celle du revenu des particuliers en Chine. (...) On s'attend beaucoup à la restructuration du revenu et des dépenses fiscaux, à ce que les revenus disponibles du gouvernement se transforment en revenus disponibles des individus, par le biais de la baisse des impôts en vue de valider l'engagement d'élargir la taille de la classe aisée ». Décodage : il faut vraisemblablement s’attendre à une baisse des taxes qui frappent la consommation du luxe occidental en Chine et qui provoquent une « bulle d’achats de luxe » dans les places étrangères fréquentées par les touristes chinois. Le gouvernement dispose ainsi du levier fiscal pour opérer le transfert de cette consommation vers le marché intérieur. Initiative qui n’empêchera pas le lancement d’une campagne de promotion des produits locaux, sur l’inusable thème du « Achetez chinois » (réplique au « Achetez local » anti-chinois qui prend de l’ampleur en Occident)...


3)
••• ENTENDU QUELQUES RUMEURS
SUR LE MARCHÉ DE LA TÉLÉPHONIE DE LUXE...
Quelques références du marché pourraient changer de mains, notamment celles qui ont l’habitude de travailler avec les marques de luxe et les maisons horlogères. Intéressant à suivre, alors que le marché des téléphones de luxe est en pleine restructuration, dans le cadre du ralentissement très sensible du marché de la téléphonie mobile : parvenu à maturité, le segment « Luxury & Presige » (celui des marques horlogères et des maisons de mode) échappe de plus en plus aux règles du marché des téléphones usuels (business) et de la commodité (voix et multimédia). On peut même parler d’une émergence de la téléphonie de luxe, que sa croissance porte désormais très au-delà des deux millions d’unités par an. En concurrence pour cette consolidation (dont l’annonce est probable pour la mi-janvier) : un groupe de luxe et différents cercles d’investisseurs privés venus de marchés émergents...


4)
••• ENRICHI DE QUELQUES NOUVELLES PROPOSITIONS
LE CONCOURS DU « PLUS CHINOIS QUE MOI, TU MEURS » (POUR L’ANNÉE DU DRAGON)...
Tout le monde s’y met, pour le meilleur ou pour le pire, même les nouvelles micro-marques, dont on peut cependant imaginer qu’elles ont une visibilité très relative sur le marché chinois. Exemple avec la maison tchèque Wei & Friends (W&F), déjà repérée par Business Montres en décembre dernier (info n° 2) : cet indépendant pragois nous propose une série de pièces uniques « The Orient », décorés de dragons en miniature sur émail peints par des artistes locales (mouvements mécaniques ETA, Unitas et Soprod)...


5)
••• TROUVÉ LA NOUVELLE COULEUR
DES FUTURES MONTRES EN « MAGIC GOLD » (HUBLOT)...
Pour indiquer à ses équipes la couleur qu’il souhaitait pour le nouveau Magic Gold emblématique de la manufacture Hublot (Business Montres du 15 décembre), Jean-Claude Biver leur a fait découvrir le boîtier.. Patek Philippe réf. 530 de sa collection personnelle –une montre vintage qu’il portait au poignet droit, hier, lors de la première coulée officielle de Magic Gold, dans la fonderie du « laboratoire » au rez-de-chaussée de la manufacture de Nyon. Une couleur d’or légèrement patiné et comme adouci par le temps : un or blond plus que jaune, délicatement miellé, nostalgiquement automnal, subtilement pastellisé. Il sera possible d’obtenir un tel or – sur la base du référentiel Patek Philippe – en calant très exactement le futur niveau de surfaçage du Magic Gold : celui-ci est totalement noir, à cœur, quand on le sort de son creuset à hautes pressions et il ne gagne sa teinte dorée qu’au fil des opérations de polissage...
••• Cette couleur de base du Magic Gold n’est d’ailleurs que provisoire, puisque Senad Hasanovic (le chercheur de l’EPFL qui a développé le Magic Gold, aujourd’hui nouvel ingénieur matériaux de Hublot) est déjà lancé dans l’étude d’autres nuances d’or, mais aussi dans la mise en couleurs d’autres alliages précieux à composante céramique (platine, argent, palladium ou même aluminium).


6)
••• NOTÉ QUELQUES INFORMATIONS HORLOGÈRES
À LA VOLÉE, EN VRAC, EN BREF ET EN TOUTE CURIOSITÉ...

••• CHAISES MUSICALES (1) : Renaud de Retz (ex-Hautlence : révélation Business Montres du 10 novembre 2009) revient sur la scène horlogère, mais par la porte joaillière. Il présentera au GTE (salon indépendant pendant la « Wonder Week ») sa nouvelle marque de bijoux de luxe, Reglisse. Il n’abandonne cependant son autre passion, la musique : ne pas manquer son dernier clip vidéomusical, « Allons Enfants », une sorte de Marseillaise franco-anglaise, post-dépressive dans son rtyhme et vécue sur un curieux mode graphique, qui mélange avec une fausse naïveté très étudiée le style pop et les icônes militaro-totalitaires de notre temps...

••• CHAISES MUSICALES (2) : notre ami biennois Ion Schiau (ex-Chronotime, en Roumanie), quitte la direction internationale du retail chez Hublot pour rejoindre l’équipe de la nouvelle marque HYT montée par Vincent Perriard, dont il prendra en charge la vice-président internationale (ventes et marketing)...

••• SIHH 2013 : reprise partielle de nos révélations sur le départ de Girard-Perregaux et JeanRichard sur quelques blogs (dont Estação Cronográfica), dans le quotidien suisse L’Agéfi et dans Le Temps...

••• TGV (FRANCE) : une fois passé le cauchemar d’un changement généralisé de ses horaires de trains, la France découvre quelques « effets pervers » de cette refonte, notamment du côté du TGV Rhin-Rhône. Cette nouvelle ligne à grande vitesse a un impact économique direct sur l’horlogerie suisse, notamment sur les industries du Jura, qui voient s’ouvrir à elles de nouveaux bassins d’emploi grâce à un nouveau réseau de trains régionaux (TER) connectés à cette ligne TGV dans une logique de désenclavement. Ce n’est évidemment pas un hasard si le Swatch Group et TAG Heuer ont décidé d’implantations à la frontière entre le canton du Jura et la Franche-Comté : avec le train, on pourra y venir de plus loin et plus nombreux. Un effet d’aubaine imprévu dans une région déprimée par la baisse d’activité des sous-traitants de l’automobile...

••• CHOW TAI FOOK : seulement deux milliards de dollars levés à la Bourse de Hong Kong, au lieu des trois milliards espérés (et annoncés). Apparemment, les investisseurs n’y croient plus, les particuliers ayant fourni l’essentiel des fonds levés. Un échec relatif pour la chaîne de joaillerie hongkongaise (propriétaire de la marque suisse Milus), qui comptait sur ces fonds pour financer son déploiement en Chine, d’autant que l’action n’a été maintenue que de justesse à 15 dollars, alors qu’elle était annoncée entre 15 et 20 dollars...

••• CHRONOSWISS : Business Montres l’avait déjà laissé entendre en juillet (info n° 5) et en août (info n° 6), mais il semblerait que les investisseurs chinois soient désormais « à bout touchant » dans leur volonté de s’offrir la marque de Gerd Rüdiger Lang, dont la trésorerie est trop exténuée pour résister longtemps aux sirènes d’Haidian (déjà propriétaire d’Eterna et Porsche Design, ainsi que de Codex en Suisse). Pour une (grosse) poignée de millions d’euros ?

••• ERICK J. EXERTIER GENÈVE : un nom de marque compliqué pour un nouveau venu sur le marché (référence #82/Génération 2011). La signature Erick J. Exertier est née de la rencontre d’un fournisseur genevois (Erick Pospieszny) qui disposait d’un atelier dans le quartier des Eaux-Vives, et d’un collectionneur (Michel E.) passionné d’horlogerie. Point fort du design : une lunette « Aracno », dont le nom situe bien l’inspiration arachnoïde, et un style « nouvelle génération ». Les mouvements sont mécaniques (ETA pour l’automatique, mais pas pour le tourbillon), mais les prix relativement élevés (6 000-8 500 CHF). Amusantes montres féminines, notamment les mailles multicolores du bracelet métallique de la Purestyle Tutti Colors...

••• HYT : la nouvelle marque de Vincent Perriard (Business Montres du 12 décembre, info n° 2) s’installe en embuscade sur les arrières du Swatch Group, à Bienne (10, rue Jacob-Stämpfli), à portée d’arbalète d’Omega...

••• ICE-WATCH : la marque spécialiste de l’horlogerie chromatique s’installe sur les Champs-Elysées (pop-up store à l’intérieur du mégastore Virgin : traduisez par « boutique éphémère ») et vise d’autres implantations parisiennes, dans le quartier du Marais et de l’Opéra, toujours pour des opérations ponctuelles de guérilla commerciale. En début d’année, Cannes ou Nice devraient également vibrer aux couleurs Ice-Watch. La marque annonce par ailleurs le lancement de nouvelles lignes de réveils et de coques de téléphones portables...
••• En revanche, Jean-Pierre Lutgen, le président d’Ice-Watch, a perdu le procès qui l’opposait à Lego (jeux de construction), dont il avait repris le principe de montage par picots pour les emballages de ses montres. L’affaire n’est cependant pas définitivement jugée...

••• KEYPAD : une des dernières « nouvelles marques » de l’année 2011 (ce sera la référence # 83/Génération 2011) est sans doute aussi une des plus moches. Keypad reproduit au poignet, comme son nom l’indique, un pavé numérique d’ordinateur, avec des LED qui s’allument pour indiquer l’heure. On voit bien l’idée et on devine le clin d’œil, mais le ratage esthétique provoque un certain malaise...

••• LOUIS VUITTON : la nouvelle répétition minute de Louis Vuitton (déjà découverte à Baselworld), avec une sonnerie annexe pour le second fuseau horaire, est expliquée par Michel Navas et Enrico Barbasini, qui ont récemment mis leur Fabrique du Temps au service de la marque (vidéo en français sous-titré)...

••• OMEGA : le musée Omega (un des meilleurs espaces patrimoniaux de la Suisse horlogère) a été rénové. Il dispose à présent d’un portail en ligne très bien fait et très complet sur les collections, les informations sur la marque (notamment les expositions) et les fameux « extraits des archives ».

••• SWATCH GROUP : Nick Hayek ne se classe qu’au troisième rang des entrepreneurs de l’année 2011 (classement de l’hebdomadaire économique suisse allemand Handelszeitung). Pourquoi troisième ?

••• VACHERON CONSTANTIN : et une nouvelle boutique, une ! Cette fois, c’est à Paris, quasiment place Vendôme (2, rue de la Paix, juste en face de Charvet), à la place de l’ancien marchand d’étoffes Maupiou. Surface commerciale : un peu moins de 55 mètres carrés. Estimation Business Montres du coût de l’opération : environ 7 millions d’euros. De quoi consolider un peu plus le « Richemontland » de l’axe Vendôme-rue de la Paix, qui sera bientôt épaissi par la colonisation de l’immeuble Old England...

••• ZENITH : et une autre nouvelle boutique, une ! Cette fois, c’est à Genève, au 35 de la rue du Rhône. Inauguration officielle pendant la « Wonder Week », avec une suississime Cheese Party...

••• TENDANCE MODEUSE : une étude exploratoire pour comprendre les enjeux de la mode aujourd’hui, au prisme des comportements de consommation et des stratégies des marques. Qu’est-ce que les clientes de l’horlogerie ont dans la tête ? Ne pas manquer ces 11 clés pour comprendre la modeuse (source : GMC Factory, groupe Marie-Claire)...

••• CHINE (1) : plutôt amusantes, ces informations sur la fermeture d’usines de Nestlé et Danone en Chine (source : Le Figaro). Ça ne concerne pas vraiment le luxe, mais c’est néanmoins instructif : ces groupes doivent fermer leurs sites de production sur place parce qu’ils « souffrent de la concurrence d'industriels locaux sur des glaces et yaourts milieu de gamme ». A quand un lock-out des horlogers suisses en Chine le jour où les consommateurs chinois préféreront les montres chinoises ?

••• CHINE (2) : les Chinois dopent-ils artificiellement la croissance du marché du luxe ? Question posée par le Wall Street Journal, qui met en avant le rôle capital des touristes asiatiques dans la dynamique des industries du luxe en général, et de l’horlogerie suisse en particulier...

••• CHINE (3) : amusante, cette affaire de vins chinois qui surclassent des châteaux de Bordeaux dans un concours organisé à Beijing (source : Quotidien du peuple en ligne). En septembre, quelques-uns de ces mêmes vins rouges du Ningxia avaient remporté un grand prix à Londres, lors des Decanter World Wine Awards. Ningxia contre Bordeaux : une situation qui rappelle nettement celle des horlogers suisses face aux marques chinoises...

••• CHINE (4) : ça y est, c’est fait, alors que ce n’était pas prévu pour cette année. Apparemment, le marché grand-chinois (Chine intérieure, Hong Kong, Macau et Taiwan) a dépassé le Japon comme second marché mondial pour les produits de luxe : c’est une première, analysée et détaillée avec délectation par Jing Daily...

••• RECTIFICATIF : après lecture de notre analyse sur « Les principales leçons de l’affaire Richemont-Old England » (Business Montres du 13 décembre, paragraphe 4), Jean-François Aubert (Chopard France) nous précise qu’il n’a pas affiché un « sourire stupidement figé » dès qu’étaient abordées certaines « questions qui dérangent quand on se contente de les poser ». De même, il précise n’avoir jamais eu de conversation avec Grégory Pons à ce sujet. Donc acte...
••• Complément d’information de Grégory Pons : « D’une part, il y a effectivement plusieurs années que j’ai renoncé à avoir la moindre conversation intéressante avec Jean-François Aubert. C’est pourquoi, d’autre part, l’article n’indique pas le moindre dialogue avec lui : on se contente d’y noter son attitude non-verbale - ce « sourire stupidement figé » : il était plus de 18 heures, les initiés parisiens comprendront ! - en guise de réponse à une question qui concernait Old England. Dans ce genre d’enquêtes, avec la paranoïa entretenue par Richemont autour du dossier, il était hors de question que je pose les questions moi-même, sous peine de donner l’alerte. C’est un des « honorables correspondants » de Business Montres qui était chargé de savoir si Chopard France était ou non solidaire de ce « coup de poignard dans le dos » des détaillants parisiens, avec ou non l’approbation de la famille Scheufele »...


7)
••• EXPLIQUÉ À DE NOMBREUX LECTEURS
LE RÉGIME ALLÉGÉ DE « BUSINESS MONTRES » DANS LES PROCHAINES SEMAINES...
Dans les semaines qui viennent, sans sacrifier les informations vraiment déterminantes, Business Montres fonctionnera en régime allégé pour mieux préparer la nouvelle version du site (accès payant réservé aux abonnés pour les trois-quarts des informations) et ses nouvelles fonctionnalités (réellement plus fonctionnelles que l’actuelle architecture « préhistorique »). Pour rire un peu, ne pas manquer la campagne « Libérez l’information horlogère », qui détourne au profit de la cause horlogère une campagne anti-censure de Reporters sans frontières (Business Montres du 3 décembre)...