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Montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant calibre 9402 MC, Poinçon de Genève : l’heure des bonnes vibrations
Les montres à répétition minutes sont, de toutes les pièces à complications existantes, les préférées des collectionneurs car elles donnent des accents poétiques à la pure mécanique et offrent de dire le temps qui passe en musique. Plus subtilement, la montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant rappelle à tous combien l’heure exprimée en sons a toujours été, dans toutes les civilisations, l’une des prérogatives absolues du pouvoir. De fait, cette capacité à dire le temps autrement la prédispose à occuper la première place dans la hiérarchie des subtilités horlogères.
Les origines
La question se pose souvent de savoir qui a, le premier, inventé la montre à répétition minutes et quelles ont été les raisons qui ont pu inciter les horlogers du passé à fabriquer d’aussi complexes instruments permettant de donner l’heure en sons.
Après bien des lectures, le mystère demeure quant à la date de naissance de cet instrument faisant appel à la vue et à l’ouïe. Certains historiens autorisés font remonter l’invention de la montre à répétition à un horloger anglais du nom de Daniel Quare (1649-1724) car on sait qu’il présenta entre 1680 et 1686 un garde-temps de poche de ce type. Une certitude toutefois : la plupart des maîtres horlogers ayant oeuvré durant la seconde moitié du Siècle des Lumières ont contribué à améliorer ce mécanisme d’une très grande complexité.
L’usage d’aujourd’hui n’est très certainement plus tout à fait le même à l’égard des montres à répétition minutes ; pourtant leur rareté et leur qualité de réalisation fascinent toujours autant pour peu qu’elles répondent à certains impératifs en matière de puissance et de qualité de sonorité.
La note pure
Si l’oeil, par nature subjectif, autorise d’avoir des appréciations d’un volume ou de décors différents en fonction de l’éducation ou de la sensibilité de l’observateur ou de l’observatrice, en matière de son, l’oreille ne supporte pratiquement jamais l’à-peu-près. L’ouïe même chez l’être humain demeure l’un des sens premiers. Sa sensibilité est aujourd’hui encore telle qu’elle est en mesure d’analyser des myriades d’informations. Si la plupart nous échappent au niveau purement auditif, le cerveau, en revanche, transcrit ce qui lui parvient en valeur de plaisir ou de dégoût.
Ainsi, pratiquement tout le monde peut dire, même sans avoir fait de solfège, si une note est juste en fonction du plaisir qu’on aura à l’entendre. Voilà pourquoi, lorsqu’il est question de montre à répétition minutes, le point fondamental à travailler ne doit pas se limiter à l’esthétique, mais doit se concentrer sur la sonorité. Car ce garde-temps à la subtile mécanique partage avec les instruments de musique de grande facture d’être un objet d’art dont la magie naît de l’émotion auditive qu’elle produit.
Voilà pourquoi, pour faire vibrer l’âme humaine, pour induire la passion, il a fallu à toute l’équipe de la Manufacture Cartier repenser en des termes scientifiques tout ce que l’on croyait savoir sur les montres à sonnerie en général et sur les garde-temps à répétition minutes en particulier.
Un nouveau regard sur la théorie de la propagation des sons
La montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes est la somme de cinq années de recherche sur l’acoustique horlogère. On a longtemps pensé que le savoir acquis au fil des siècles était suffisant. Cependant, le niveau d’exigence, la conception même des montres d’aujourd’hui et les moyens scientifiques d’analyse ont mis au jour un nombre important de défauts dans la manière de retranscrire l’heure en sons.
Le département de recherche et développement de Cartier a ainsi relevé le défi d’offrir aux amateurs de haute horlogerie une montre à répétition minutes qui, tout en restant classique dans sa construction, soit la synthèse d’une recherche acoustique approfondie appliquée à l’horlogerie.
L’équipe de développement mouvement Cartier s’est attachée à redéfinir les raisons profondes et scientifiques qui fondent l’appréciation acoustique d’une montre à répétition minutes. En premier lieu, il fallait redéfinir la notion même de son, autrement dit la sensation auditive engendrée par une onde acoustique. Cette onde, que l’on pourrait comparer aux ronds produits par un caillou tombé dans l’eau, crée un déplacement de particules dans le milieu de propagation. Ce sont ces vibrations aériennes que l’oreille moyenne transforme en vibrations analysables par l’oreille interne.
Ce que l’oreille entend…
D’une rare complexité, l’oreille, bien que très fragile en apparence, est capable d’assimiler un grand nombre d’informations pour établir une valeur et une caractéristique du son. Celui-ci est la somme d’un volume en décibels (une unité relative à l’intensité acoustique représentée par le niveau de pression sonore exercée sur l’oreille), d’une tonalité (grave ou aiguë) d’une fréquence (nombre de vibrations engendrées par le corps sonore à la seconde) et d’une durée (temps).
Chacune de ces valeurs dont naît le son doit être considérée individuellement lors de la création d’une montre à répétition minutes et, au final, retransmettre un son clair, puissant, régulier et cristallin sans écho ou induction parasite pouvant venir gâcher le timbre des notes destinées à donner une belle dimension sonore au temps.
… l’oeil le voit
Aux prémisses de la conception de la montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant, la Manufacture Cartier a porté une attention toute particulière au traitement de l’habillage de cette montre classique de nouvelle génération et mené de très nombreuses études acoustiques afin de valider certaines théories existant au sujet des boîtiers de montres à sonnerie.
Premièrement, les travaux d’études réalisés par l’équipe d’ingénieurs et d’horlogers de Cartier avec des modules de travail réalisés dans des matériaux différents dans lesquels était enfermée la même boîte à musique ont permis d’élaborer une nouvelle théorie horlogère en matière de transmission des sons établie sur la base d’un rapport entre volume (45 mm), poids (environ 32 grammes) et puissance (68 décibels).
L’équation peut s’écrire ainsi : plus le boîtier de la montre destinée à recevoir un mécanisme de répétition minutes est léger et de grand diamètre, plus il a de chance de sonner fort. Voilà pourquoi Cartier a choisi de présenter la montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes en titane grade 5 poli de 45 mm de diamètre.
Car tout est question de vibrations
Pour obtenir un développement harmonieux de l’onde acoustique, il faut qu’il existe une liaison très forte entre la pièce émettrice de l’onde sonore et les éléments censés la diffuser.
Aujourd’hui, la Maison Cartier propose une nouvelle conception horlogère qui consiste à solidariser le timbre à la platine et la platine à la carrure en quatre points. Et pour optimiser cette liaison, le talon des deux timbres de la répétition minutes est finalement vissé, chacun en un point à l’intérieur de la boîte. La synergie parfaite entre la boîte et le mouvement favorise la transmission des vibrations.
Harmonieusement diffusées par les timbres de forme carrée, pour permettre au marteau de frapper régulièrement au même endroit malgré le fait que la lame du timbre soit rentrée en vibration, les ondes acoustiques se diffusent à travers une large surface émissive.
Seulement il est essentiel que ces sons harmonieux, qui se répandent dans l’air, soient joués de façon régulière afin de pouvoir être convenablement interprétés et surtout comptés par le cerveau. Pour obtenir une frappe constante des marteaux, la montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant est équipée d’un mécanisme appelé régulateur de vitesse à inertie et à frottement, particulièrement sophistiqué et silencieux.
Objectivement efficace, cet organe visible grâce à une ouverture pratiquée dans le cadran ajouré, argenté galvanique de couleur ardoise, dans le prolongement de l’échappement à tourbillon volant placé à 12 heures, rentre en rotation pour réguler la vitesse de dévidement du train de rouage de la répétition minutes et du même coup obtenir une émission régulière des notes émises par les deux timbres de la montre.
Ainsi l’oreille se laisse bercer au son d’une mélodie donnant l’heure tandis que le regard se laisse, dans le même temps, captiver par la folle ronde de ces deux mécanismes d’une grande complexité. Dans cette dualité, l’un a la charge insigne de réguler l’écoulement du temps au rythme d’un tour par minute et de 21 600 vibrations par heure pour le balancier quand l’autre se doit de tempérer la mesure du jeu musical en freinant le dévidement du ressort contenu dans le barillet du mécanisme de répétition minutes manuellement réarmé à l’aide du poussoir intégré dans la carrure à 8 heures. Le choix d’un poussoir pour remplacer la traditionnelle targette, habituellement observée sur le flanc des boîtiers de répétition minutes, répond à la volonté de diminuer le rapport masse boîte / masse timbre qui détermine la puissance de vibrations. Plus petit et surtout concentré en un point de la boîte, le poussoir permet ainsi d’alléger significativement la masse de la boîte.
Pour passer l’heure du son
Les amateurs de belle mécanique ne manqueront pas de retourner cette pièce une fois actionné son poussoir placé à 8 heures pour profiter de la chorégraphie exécutée par les rouages, râteaux et autres étoiles et limaçons de la fascinante mécanique de répétition minutes. Cette pièce de 45 mm de diamètre disponible en titane ou en or rose, au mouvement 9402 MC constitué de 447 composants et 47 rubis, orné du poinçon de Genève - signe de son irréprochable qualité de fabrication - et dont on appréciera l’incroyable légèreté à travers le traitement très aérien de sa mécanique, fera la démonstration à qui veut l’entendre combien son timbre est clair et puissant.
Pièce d’exception, cumulant deux grandes complications traditionnelles de l’horlogerie, la montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant s’inscrit comme la première représentante d’une nouvelle génération d’instruments horlogers de haute volée. Proposée en édition limitée et numérotée de 50 pièces en titane et de 50 pièces en or rose, cette nouvelle création Cartier se décline également dans une version sertie de diamants baguette.
La Maison Cartier a, depuis ses origines, pour exigence de satisfaire les amateurs de belle horlogerie en leur offrant des créations aux lignes classiques et originales servies par des développements mécaniques irréprochables agrémentés d’utiles fonctionnalités.
La nouvelle montre Rotonde de Cartier Quantième Annuel s’inscrit dans cette volonté. Garde-temps efficace et pertinent, elle est l’expression de cet équilibre entre tradition et modernité que seules les grandes manufactures savent trouver.
Invention récente dans l’univers horloger puisqu’il a été mis au point il y a un peu moins de 15 ans, le quantième annuel s’est très vite révélé être l’arme absolue en matière d’affichage de la date pour des instruments destinés à être portés au quotidien. En effet, souple d’emploi et ne nécessitant pas de réglages pour son ajustement, ce mécanisme manquait jusqu’à présent dans la collection Cartier. En l’intégrant dans le boîtier de la montre Rotonde de Cartier, l’équipe chargée du développement des nouveaux calibres au sein de la Manufacture a souhaité répondre aux attentes des passionnés d’avoir des informations calendaires justes et complètes au cadran tout au long de l’année.
Aux origines du quantième
Un quantième simple, autrement dit un mécanisme laissant apparaître la date dans un guichet ou à la pointe d’une aiguille, doit être ajusté manuellement à la fin de chaque mois de 30 jours (les mois pairs) pour garantir à la montre d’être en phase avec l’éphéméride. Cette correction simple à faire, mais régulièrement oubliée, peut engendrer chaque mois de petites erreurs qu’il est nécessaire de corriger manuellement.
Cette obligation de devoir se surimposer à la mécanique en agissant manuellement sur la couronne de remontoir pour faire s’effacer le chiffre du 31 afin d’y placer le 1er se révèle, dans les faits, fastidieux. Voilà pourquoi, depuis l’invention du quantième perpétuel par les horlogers du Siècle des Lumières, il est possible d’obtenir des informations calendaires justes au cadran sans retouches et cela, aussi longtemps que fonctionne le garde-temps. Seulement, les propriétaires de ces instruments fascinants pour leur mémoire des nombres sont parfois dans l’embarras en cas d’arrêt prolongé de leur montre. Car la remise en ordre des affichages calendaires de ces pièces hautement sophistiquées nécessite toujours de nombreuses manipulations qui imposent parfois au possesseur de l’objet de devoir faire appel à un spécialiste.
Pour éviter ces contraintes au moment de mettre sa montre en marche, l’équipe de conception mouvement de la Manufacture Cartier a mis au point un mécanisme fiable, efficace et robuste pour la Rotonde de Cartier Quantième Annuel, permettant l’ajustement automatique de la date en fin de mois (gestion des mois de 30 et de 31) mais également l’affichage des jours et des mois, l’année durant sans aucune intervention manuelle à l’exception du passage du 28 février ou 29 février au 1er mars.
Le tout nouveau calibre Manufacture 9908 MC se distingue par son mécanisme de réglage permettant de gérer l’ensemble des informations du quantième annuel (jour, date, mois) par la couronne de remontoir. Ce réglage simple, sans aucun correcteur sur la boîte, offre un confort d’utilisation optimal au quotidien.
Un mouvement créatif et fonctionnel
Cartier a choisi pour la montre Rotonde de Cartier Quantième Annuel de faire appel à un mécanisme de quantième annuel directement intégré à la platine du calibre 1904 MC. Cette solution, particulièrement appréciée des amateurs de belle horlogerie, a fait l’objet de nombreuses études pour permettre l’affichage de la grande date à deux chiffres indépendants à 12 heures et le réglage rapide en cascade par la couronne de remontoir des différentes indications du calendrier annuel. Original, ce mouvement épuré, développé à l’interne, dispose de plusieurs particularités significatives dont un mécanisme semi-instantané de passage de grande date à deux chiffres indépendants (passage en une heure) pour garantir à ce coeur de haute horlogerie une stabilité chronométrique optimale. Dans cette construction, ce sont les ergots portés par le grand disque des unités qui font tourner l’étoile à quatre branches des dizaines. Ce même disque des unités -véritable coeur du système de calendrier-, possède également un autre secret : celui d’emporter un dispositif simple et intelligent permettant, grâce à une came de mémoire des mois intégrée à même la serge allégée des unités du dateur, de faire s’afficher sans erreur possible ceux de 30 ou de 31 jours une fois réglé le mois en cours.
Cette mécanique est imparable d’efficacité et programmée pour tenir compte de la longueur des mois pairs et impairs sauf pour le mois de février (28 ou 29 jours une fois tous les 4 ans), elle est strictement désindexable même en cas de gros choc.
Ce quantième annuel automatique, dont les concepteurs Cartier sont parvenus à rationaliser le fonctionnement en couplant la présentation de la date à un affichage du jour et du mois par aiguille traînante, est soumis à de sévères tests afin de répondre à toutes les sollicitations de la vie quotidienne.
Une montre harmonieuse et contemporaine
L’élégance est un art de l’équilibre et la somme d’une équation que les amateurs de beaux objets définissent comme le nombre d’or. Avec ses volumes harmonieux et son diamètre contemporain de 45 mm, la montre Rotonde de Cartier Quantième Annuel proposée en or gris ou en or rose 18 carats exprime, dans chaque détail, un véritable sentiment d’harmonie et d’équilibre.
Sa fine lunette au doux galbe met ainsi en valeur un cadran très architecturé à plusieurs plans, doté pour la partie supérieure d’une grille argentée « soleillée » avec des chiffres romains décalqués noirs, au-dessus duquel gravitent des aiguilles glaives en acier bleui au feu. Cet agencement, tout en volume offre à l’oeil de saisir les différents niveaux de lecture du temps, et délimite deux zones argentées radioconcentriques où sont décalqués, vers le centre, les noms des jours de la semaine et à la périphérie, ceux des mois. Glissant au fond de ces fines creusures, deux aiguilles « marteaux » dont seules sont visibles les extrémités rouges, indiquent, une fois dûment réglées, les informations calendaires destinées à enrichir la présentation de la grande date visible, elle, dans un double guichet ouvert à 12 heures. Dans cette configuration, la couronne de remontoir dont les mensurations ont été révisées pour être aisément préhensile, permet le réarmement du calibre 9908 MC Quantième Annuel, mais également les ajustements calendaires en fonction de la position de celle-ci sur ses différents crans. Cette montre à complication à la sobriété fascinante arbore un fond transparent permettant d’apprécier les finitions manuelles caractéristiques des garde-temps de haute horlogerie.
Chaque création de la Maison Cartier se doit d’être une leçon de style. Les lignes pures du boîtier de la montre Rotonde de Cartier Tourbillon Cadran Lové assurent aux concepteurs visionnaires de disposer d’un écrin où transfigurer les compositions mécaniques appelées à l’habiter.
Le défi étant par essence au coeur du métier d’horloger, parvenir à faire se concentrer l’attention sur un mouvement à tourbillon minimaliste et sur un affichage subtilement décentré définit les contours d’un style où l’essence de la tradition se découvre des accents de modernité. S’emparant du cadran comme d’un espace propice à l’expansion de leur imaginaire, les concepteurs proposent au regard une interprétation inspirée de la lecture de l’heure, dans laquelle trois parties distinctes forment une harmonie commune.
Dans l’arène des heures
La surface de fond de la montre a été élégamment guillochée par d’habiles artisans avant d’y recevoir un traitement galvanique couleur ardoise. Voilà posée la base d’une oeuvre que l’on devine déjà aérienne. Glissant sur ce fond, une sculpture semblable à un croissant de lune déploie son ajourage élégant de chiffres romains ciselés dans l’or blanc.
Tournoyant dans un espace excentré légèrement sur la droite, le manège des aiguilles donne plus de sens à leur chorégraphie en réveillant chez celui qui les observe le sentiment qu’il se passe quelque chose de rare. Un rehaut déplace le cadre habituel des chiffres romains. Les aiguilles glaives en acier bleui se décalent légèrement vers la droite, pour se rapprocher de la couronne de remontoir en or gris sertie d’un saphir cabochon.
L’art de se laisser voir
Autour de ces marqueurs rythmant de leur ronde régulière les jours, se mettent à nu les rouages afin que le spectateur, toujours ébahi par autant de légèreté et autant de précision, apprécie leur délicat ballet. Mais cette ronde rythmée par le calibre à remontage manuel référencé 9458 MC a un chef d’orchestre à qui il n’est pas question de voler la vedette. En effet, dans cet assemblage presque fractal de cercles petits et grands, seul le tourbillon volant dont la pointe du « C » de Cartier fait office de trotteuse, semble être visuellement animé d’un mouvement. Dans cette configuration aérienne où rien ne semble pouvoir le retenir et où tout contribue à faire se concentrer l’attention sur lui, cet élément aérien trouve un cadre où, observable de tous côtés, il est enfin vraiment libre de révéler combien la plus pure mécanique peut recéler de magie, et tout autant de savoir-faire horloger.
L’apesanteur maîtrisée
Ce nouveau calibre Tourbillon Volant, développé avec soin au sein des ateliers de la Manufacture Cartier, arbore tous les symboles d’une horlogerie au patrimoine riche et renouvelé.
Ce tourbillon d’exception, animé des battements alternatifs du calibre 9458 MC Poinçon de Genève, fait battre le coeur de cette montre Rotonde de Cartier de 46 mm, véritable manifeste de haute horlogerie.
Au lieu de placer la cage de tourbillon de manière traditionnelle, protégée entre les ponts et la platine du mouvement, le tourbillon volant de la montre a été conçu afin d’en magnifier l’esthétique. La cage de tourbillon semble « voler » sur les ponts, comme en apesanteur au-dessus du cadran, davantage exposée aux chocs qui pourraient la déséquilibrer. Cette construction, plus esthétique mais techniquement plus délicate, a conduit les maîtres horlogers à porter une attention toute particulière à sa conception.
En inversant le tourbillon de ce calibre classique, Cartier choisit de révéler au regard ce qui, souvent, reste caché. Comme pour tout mouvement de haute horlogerie, les composants constituant ce mouvement mécanique à remontage manuel doté de 50 heures de réserve de marche et référencé 9458 MC sont tous terminés à la main. Ainsi en va-t-il des côtes de Genève présentes sur le dos de la platine observable par le fond transparent du boîtier exclusivement proposé en or gris. Dans cette création, les finitions sont toutes conformes aux exigences permettant d’obtenir l’apposition sur l’un de ses ponts du Poinçon de Genève, gage d’un travail soigné exécuté dans le respect de la tradition : ainsi, les ponts sont anglés, les flancs étirés et les têtes de vis polies.
Chaque pièce est assemblée par un seul horloger et individuellement numérotée sur une édition de 100 pièces en or gris et de 20 pièces en or gris serties de diamants baguette.
Spécifications techniques
Montre Rotonde de Cartier Répétition Minutes Tourbillon Volant calibre 9402 MC, Poinçon de Genève
Boîtier : titane
Diamètre : 45 mm
Couronne perlée en titane ornée d’un saphir cabochon
Glace saphir
Fond saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Cadran galvanique guilloché, de couleur blanche, grille argentée ajourée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains
Aiguilles en forme de glaive en acier bleui
Bracelet : alligator noir
Boucle déployante à double réglage en or gris 18 carats
Mouvement mécanique manufacture à remontage manuel, calibre 9402 MC, certifié Poinçon de Genève, avec tourbillon volant et répétition minutes
Diamètre d’encageage : 14 ¾ lignes, soit 33,4 mm
Diamètre total : 39,7 mm
Épaisseur : 9,58 mm
Nombre de rubis : 45
Nombre de pièces : 447
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : environ 50 heures
Numérotation individuelle du mouvement
Montre Rotonde de Cartier Quantième Annuel calibre 9908 MC
Boîtier : or rose 18 carats
Diamètre : 45 mm
Couronne perlée en or 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace saphir
Fond saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Grille argentée ajourée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains et zone centrale galvanique guillochée, de couleur ardoise
Cadran inférieur galvanique guilloché, de couleur ardoise, avec zone des jours et des mois argenté effet soleil
Aiguilles en forme de glaive en acier bleui
Aiguilles marteaux avec extrémité rouge
Bracelet : alligator marron
Boucle déployante à double réglage en or rose 18 carats
Mouvement mécanique manufacture à remontage automatique, calibre 9908 MC, quantième annuel avec indication des jours et du mois par une aiguille, grande date à 12 h
Diamètre d’encageage : 11 lignes ½, soit 25,58 mm
Diamètre total : 30 mm
Épaisseur : 5,9 mm
Nombre de rubis : 32
Nombre de pièces : 239
Balancier : 28 800 alternances / heure
Réserve de marche : environ 48 heures
Montre Rotonde de Cartier Tourbillon Cadran Lové, calibre 9458 MC, Poinçon de Genève
Boîtier : or gris 18 carats
Diamètre : 46 mm
Couronne perlée en or 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Cadran galvanique guilloché, de couleur ardoise, grille en or gris 18 carats en forme de chiffres romains, finition satinée circulaire
Aiguilles en forme de glaive en acier bleui
Bracelet : alligator noir
Boucle déployante à double réglage en or gris 18 carats
Mouvement mécanique manufacture à remontage manuel, calibre 9458 MC, certifié Poinçon de Genève, tourbillon volant avec cage de tourbillon en forme de C
Diamètre d’encageage : 17 lignes, soit 38 mm
Diamètre total : 39 mm
Épaisseur : 5,58 mm
Nombre de rubis : 19
Nombre de pièces : 167
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : environ 50 heures
Numérotation individuelle du mouvement
Montre Rotonde de Cartier Quantième Perpétuel calibre 9422 MC
Boîtier : or rose 18 carats
Diamètre : 40,5 mm
Couronne perlée en or 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Cadran galvanique guilloché, de couleur blanche, grille argentée ajourée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains, arabes, des mois et jours de la semaine, compteur azuré
Aiguilles en forme de glaive en acier bleui
Aiguilles marteaux en acier bleui
Bracelet : alligator marron
Boucle déployante à double réglage en or rose 18 carats
Mouvement mécanique manufacture à remontage automatique, calibre 9422 MC, quantième perpétuel avec indication des jours par une aiguille rétrograde,
indication du mois et de l’année bissextile dans un compteur à 12 h
Diamètre d’encageage : 11 lignes ½, soit 25,6 mm
Diamètre total : 32 mm
Épaisseur : 5,88 mm
Nombre de rubis : 33
Nombre de pièces : 293
Balancier : 28 800 alternances / heure
Réserve de marche : environ 52 heures
Numérotation individuelle du mouvement
Montre Rotonde de Cartier Tourbillon Volant calibre 9452 MC, Poinçon de Genève
Boîtier : or rose 18 carats
Diamètre : 40 mm
Couronne perlée en or 18 carats ornée d’un saphir cabochon
Glace : saphir
Fond : saphir
Étanchéité : 30 mètres / 100 feet / 3 bars
Cadran galvanique guilloché, de couleur blanche, grille argentée ajourée satinée effet soleil avec décalque noire des chiffres romains
Aiguilles en forme de glaive en acier bleui
Bracelet : alligator marron
Boucle déployante à double réglage en or rose 18 carats
Mouvement mécanique manufacture à remontage manuel, calibre 9452 MC, certifié Poinçon de Genève, tourbillon volant avec indication de la seconde par la cage de tourbillon en forme de C
Diamètre d’encageage : 10 lignes ¾, soit 24,5 mm
Diamètre total : 24,9 mm
Épaisseur : 4,5 mm (5,45 mm avec tourbillon)
Nombre de rubis : 19
Nombre de pièces : 142
Balancier : 21 600 alternances / heure
Réserve de marche : environ 50 heures
Numérotation individuelle du mouvement |