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LE 360° DU LUNDI : J – 30 pour Baselworld, avec une actualité horlogère tétanisée par l'échéance
 
Le 13-02-2012
de Business Montres & Joaillerie

Peut-on être sans avoir été ? On se posera la question avec le retour en fanfare de Badollet...

Tout changer pour que rien ne change ? Le prince Salina (Le Guépard, de Lampedusa) doit avoir son palais à Genève, chez Rolex...

POUR CE DÉBUT DE SEMAINE, FIDÈLE AU POSTE DANS SON NID-DE-PIE, LA VIGIE DU LUNDI VOUS SIGNALE...


1)
••• LE GRAND RETOUR DE BADOLLET DANS LE CONCERT
DES MARQUES INDÉPENDANTES VRAIMENT CRÉATIVES...
On croyait la marque moribonde, après son entrée en scène raté de 2009, pour cause de mix marketing aberrant et d’impavide arrogance. Cette fessée lui a permis de mieux apprendre le marché : l’investisseur revient y tenter sa chance, après avoir réinitialisé son logiciel grâce à Philippe Dubois (CEO) et Eric Giroud (concept et design). La nouvelle proposition est nettement plus consistante, à commencer par son mouvement, un tourbillon manufacture superbement cintré, avec des détails qui vont enchanter les connaisseurs (révélation Business Montres du 12 février)...


2)
••• LA TRADITIONNELLE SÉANCE DE RATTRAPAGE POUR NE RIEN MANQUER
DES INFORMATIONS LES PLUS INTÉRESSANTES DE LA SEMAINE DERNIÈRE...
Et si le SIHH n’invitait plus les détaillants ? Est-ce que Sotheby’s peut reprendre la main pour les enchères horlogères à Genève ? Beat Haldimann a-t-il « fumé la moquette » ? Doit-on perdre son âme pour gagner de l’argent en Chine ? Roland G. Murphy (RGM) est-il le nouveau Breguet américain ? Jean-Claude Biver dort-il parfois ? Karsten Frasdorf a-t-il « pété un plomb » ? Jean-Marc Wiederrecht confond-il cacahètes et caviar ? Les marques LVMH gagnent-elles de l’argent ? Et tout le reste (compilation Business Montres du 12 février)...


3)
••• LA CRISE DE « ROLEXOMANCIE » (L’ART DIVINATOIRE PAR OYSTER DE CRISTAL)
TOUJOURS TRÈS DRAMATIQUE À QUELQUES SEMAINES DE BASELWORLD...
Quelles seront les nouveautés Rolex de l’année 2012 ? C’est en général le feuilleton des trois premiers mois de l’année sur les sites fréquentés par les adorateurs de la secte Rolex. On sait que la marque à la couronne a pour (déplorable) habitude de ne montrer ses nouveautés de l’année qu’à Baselworld : même les vitrines du stand sont opacifiées jusqu’à l’heure légale d’ouverture du salon, le mercredi, en fin de matinée ! Donc, les supputations des uns et les oracles des autres s’enchevêtrent dans un grand maelström divinatoire – dont les pronostics sont parfois exacts : c’était en grande partie le cas, l’année dernière, dans Business Montres)...
••• Nos suppositions pour les ouveautés Rolex 2012 les plus vraisemblables : pas forcément un vrai nouveau modèle, mais un restylage possible de quelques icones basiques, comme un nouveau boîtier pour la GMT-Master II en acier ou la Submariner sans date en acier. Ceci s’accompagnant de nombreuses versions plus précieuses des autres piliers de la collection, selon une double démarche marketing (rendre l’accès à la marque plus contemporain, notamment pour des questions de taille et d’esthétique, et mieux capitaliser sur les stars de l’offre). Hormis ces retouches, 2012 pourrait bien être pour Rolex l’« année de la céramique », avec des lunettes de ce type adoptées sur les modèles qui en sont encore dépourvus. Il existe une forte probabilité pour que Rolex tente une lunette céramique bicolore : des essais plutôt concluants ont été tentés et le marché rêve d’une GMT-« Pepsi » – rouge-bleu – à lunette céramique - même la maîtrise d’un rouge homogène, sans migration indésirable de la couleur, semble avoir été maîtrisée. Pour mémoire, Rolex a déposé plusieurs brevets dans ce sens, comme le n° EP 1 887 052 A1...
••• Côté mécanique, il faut s’attendre à une allocation supplémentaire de spiraux Parachrom dans les différents calibres de la marque. Pour l’habillage, il semblerait que Rolex ait enfin compris les attentes des amateurs en matière de bracelets nylon (dits « NATO ») : Tudor a défriché le terrain, mais ce serait la moindre des choses que d’avoir des « NATO » Rolex d’origine sur nos montres !


4)
••• LA BONNE HUMEUR DU SALON INHORGENTA MUNICH
(UN EXCELLENT INDICATEUR DE TENDANCES JUSTE AVANT BÂLE)...
Apparemment, le marché allemand a le moral, en dépit des inquiétudes sur l’euro. Il faut dire qu’on travaille ici, à Inhorgenta Munich (10-13 février), dans l’entrée de gamme et dans les montres de mode. Quelques exclusivités et différentes informations glanées au hasard des allées :
•• Tendance générale : le retour de la couleur, après des années de gris et de métal poli, avec beaucoup de brun chocolat, de rose, d’ivoire, de caramel ou des touches plus « primaires »...
•• Les premières montres de la collection Karl Lagerfeld étaient présentées par le groupe Fossil (révélation Business Montres du 31 octobre dernier, info n° 7) : pas de quoi s’extasier, mais les modèles ne sont pas définitifs, l’arrivée sur le marché nedevant pas intervenir avant l’année prochaine...
•• Emotions fortes chez Lotus (groupe Fossil), avec la campagne marketing orchestrée au du concept « Lotus 2012 » – l’annéeoù il faut profiter de la vie avant l’apocalypse maya...
•• Quelques « fuites » organisées chez Swarovski sur les nouvelles collections masculines dont Business Montres reparlera bientôt (Piazza et Octea Abyssal, dans le style des montres de plongée) : aux garçons la céramique, aux filles les cristaux...
•• Chez Junghans, grosse opération sportive autour de l’ex-champion Willy Bogner, pour commémorer les jeux Olympiques de Munich (1972), dont Junghans était chronométreur officiel
•• Un clone parfait de Flik Flak avec les collections Scout Uhren, qui s’affirment aussi « pédagogiques » que les montres du Swatch Group, mais sans la moindre imagination créative supplémentaire...
•• La relance de la marque Kraftworws par Anton Kraft, sur la base de nouvelles technologies de luminescence sur les cadrans - voir ci-dessous : info n° 00...
•• Et un nouvel alliage précieux, « Infinity White Platinum », qui marie or et platine 950 dans une couleur capable de mettre en valeur les pierres de couleur dont la mode se renforce (Hans Dieter Krieger)...

6)
••• LES GRAVES ACCUSATIONS LANCÉES CONTRE L’ANGOLA
PAR LES DÉFENSEURS DES DROITS DE L’HOMME, À PROPOS DES « DIAMANTS DE SANG »...
L’extraction des diamants est un point critique pour la situation des droits de l’homme en Afrique. Si la pression internationale à ce sujet a fini par déterminer les responsables du Processus de Kimberley a interdire toutes les exportations de diamants en provenance du Zimbabwé, c’est à présent l’Angola qui se trouve accusée de violations graves et répétées de ces droits de l’homme, notamment pour ce qui concerne les mineurs indépendants. En cause : l’absence totale de contrôle local par les observateurs du Processus de Kimberley et le rôle trouble des autorités angolaises à propos de ces « diamants de sang » (blood diamonds). L’industrie diamantifère et les instances gouvernementales sont si imbriquées qu’il est impossible de les distinguer, pas plus qu’il n’est possible de savoir su les interventions des généraux de l’armée angolaise relèvent d’intérêts privés ou de missions d’intérêt public. Beaucoup d’observateurs pointent du doift le rôle actif joué par la propre fille du président Dos Santos. Même le prudent JCK online s’en est ému (pour mémoire : un article du Guardian britannique daté de novembre 2011)...


7)
••• LES « SIGNAUX FAIBLES » DE LA DÉCROISSANCE
ET D’UN CHANGEMENT RADICAL DES ACTUELS PARADIGMES ÉCONOMIQUES...
Il est encore un peu tôt pour parler de « déconsommation », mais c’est au moins de la « décroissance » ! Il ne faut pas négliger un « signal faible » de plus en plus lancinant : nous consommons – en Europe occidentale – moins d’énergie, moins de textile, moins de papier, moins de viande et moins d’énergie, alors même que le PIB et la population augmentent. Bref, nous consommons moins d’objets : nous avons commencé à rompre avec le système productiviste de la société de consommation avancée. Ce n’est pas seulement un problème de crise économique ou monétaire : la baisse du pouvoir d’achat s’est objectivement muée en baisse du vouloir d’achat. C’est une mutation sociéto-culturelle profonde, et sans doute irréversible. Nos rêves se déplacent : nous restons des « machines à désirer », mais nous vivons ces désirs dans la qualité plus que dans la quantité. La société se cherche de nouvelles raisons d’être plus que de nouvelles occasions d’avoir. C’est tout aussi valable pour le marché horloger : les Européens – on exclut ici les touristes émergents, toujours hypnotisés par les mirages du « toujours plus » consumériste – consomment moins de montres, mais sans doute mieux de montres, dans toutes les gammes de prix.
••• Ce n’est donc plus avec une croissance débridée – sans jeu de mots (encore que !) – que nous pourrons maintenir une industrie horlogère en pleine forme, mais avec une allocation plus judicieuse des ressources productives vers la qualité et vers l’exclusivité, plus que vers les seuls quantités exportables. Il n’est pas humiliant d’afficher des chiffres de croissance « normaux » (à un tout petit chiffre) et de ne produire que ce que le marché peut absorber : nous sommes tous gravement intoxiqués par une décennie d’hyper-croissance aberrante, qui ne correspondait pas à une augmentation qualitative de nos performances horlogères, mais à un simple élargissement quantitatif de la taille de nos marchés. Il fallait à tout prix « fournir » et s’aligner sur cette nouvelle demande, créée ex nihilo par la bonne santé de l’économie mondiale (celle des pays énergents) plus que par le génie particulier de l’industrie horlogère. Il faut maintenant gérer l’atterrissage en douceur et le retour à la vraie vie – celle des rythmes naturels d’une horlogerie cinq fois séculaire...


8)
••• QUELQUES INFORMATIONS HORLOGÈRES NOTÉES
À LA VOLÉE, EN VRAC, EN BREF ET EN TOUTE CURIOSITÉ ÉDITORIALE...

••• CHAISES MUSICALES (1) : Mike Margolis, qui assurait le développement de la marque Hublot aux Etats-Unis, quitte l’équipe de Jean-Claude Biver pour prendre en mains la relance du groupe Sowind (Girard-Perregaux et JeanRichard) sur le marché américain, en remplacement de Frédéric Leys, qui venait de passer sept ans à ce poste...

••• CHAISES MUSICALES (2) : Thierry Kenel, qui veillait déjà sur les dossiers financiers du Swatch Group, intègre la direction exécutive du groupe (il ne siégeait jusqu’ici, et depuis 2009, qu’à la direction générale élargie)...

••• NOUVELLES MARQUES 2012 : Kraftworks (référence # 26/Génération 2012) n’est pas à proprement parler une vraie nouvelle marque, puisque son créateur, Anton Kraft (qui a notamment lancé le concept The One et son affichage binaire), l’a déjà utilisée dans le passé, mais il la repositionne sur une nouvelle idée de design et avec une nouvelle technologie d’« éclairage » des cadrans (Neoluxs) qui permet d’intégrer la lumière comme élément marquant du style de la montre. Plusieurs collections pour porter ce nouveau message, au carrefour de l’horlogerie et de la technologie, avec des effets luminescents saisissants pour des montres plutôt bien dessinées : Transmitter, Sparks ou Deeper (style plongée : sous l’eau, ça doit attirer les poissons)...

••• CARTIER : Bernard Fornas, le président de Cartier, invité sur France 24 (« L’invité de l’éco ») pour parler de l’économie du luxe. « Nous sommes les managers du désir » ! Il confirme l’ouverture à Paris - chez Old England - d’une boutique qui vendra l’ensemble des gammes Cartier et il annonce la création d’un film qui fera voyager la panthère iconique de Cartier dans les pays du monde entier. « Nos marges ne se sont pas érodées en dépit du franc fort et de la hausse des matières premières ». Pour 2012 ? « Optimisme et prudence », avec toujours plus de nouveautés et de nouvelles prises de parts de marché...

••• HERITAGE WATCH MANUFACTORY : pourquoi faut-il treize (13 !) aiguilles à Karsten Frasdorf pour sa nouvelle montre planéto-sidérale ? Et pourquoi a-t-il besoin de 92 rubis ? Il s’est lancé dans un calcul de l’heure « plus précis que la nutation de la Terre », qui est de 1,1 seconde par an. Nutation ? Un nouveau mot pour un nouveau concept horloger, qui devrait provoquer une belle déflagration à Baselworld (Business Montres du 11 février)...

••• MARCH LA. B : sympathique et décidée à faire valoir son concept horlo-bonapartiste ultra-tendance, la jeune marque March LA.B (Los Angeles-Biarritz) débarque chez Colette (paris), avec une montre de poche-réveil « 1805 Imperial Phantom » – la plus impériale des montres de gousset, dont on ne regrettera qu’un défaut, celui d’être animé par un mouvement à quartz. Une montre de poche dans la vitrine de Colette ? Attention : « signal faible » !

••• MONTBLANC : bonne initiative de Montblanc, qui vient d’exporter au Bubai Mall (Dubai) l’exposition sur les chronographe (« Ecrire le temps ») déjà présentée au Musée international de La Chaux-de-Fonds (compte-rendu Business Montres du 8 avril, infos n° 1 à 3). Jolie mise en scène (on se croirait au MIH), même si la marque Montblanc a tendance à tirer un peu trop la couverture à elle, à travers Rieussec, mais le positionnement historico-culturel est habile...

••• PARMIGIANI : ça se passe comme ça dans les ateliers Parmigiani, ces boutiques ouvertes dans les capitales horlogères les plus sensibles (Moscou, Istanbul, Beijing -- deux chances : Sparkle Roll Luxury World et Legedale Hotel -- ou Shanghai). Une visite rapide d’un nouveau concept de boutique horlogère de luxe, entre lounge cossu et atelier artisanal. On y trouve des pièces exclusives « Atelier » : si vous n’habitez pas dans une de ces capitales, un espace à découvrir en vidéo sur la chaîne images de Business Montres (01:40 mn)...

••• SWATCH GROUP : derrière l’avalanche d’excellents chiffres publiés par le groupe pour 2011, une donnée qui intrigue ! Les stocks de pièces détachées sont en forte augmentation, à 450 millions de francs suisses. Ce qui peut signifier deux choses : soit les calibres finis partent moins vite que prévu (et nous sommes dans l’amorce d’une phase de surstockage, exactement comme en 2008) ; soit il existe toujours – et c’est ce que Nick Hayek suggère – des goulets d’étranglement dans la production et des maillons faibles dans la supply chain, bloquée faute de composants mineurs (et nous serions alors toujours dans une phase de croissance, les 2 800 embauches annoncées pour 2011 servant à éliminer ces points critiques dans les fabriques)...

••• SWATCHGATE (supposé) : le front reste calme dans l’affaire des accusations de corruption lancées par la justice indienne contre le Swatch Group, formellement accusé – à travers la direction de Swiss Timing, qui assurait le chronométrage officiel des jeux du Commonwealth de New Dehli, en 2010 – d’avoir truqué les appels d’offre à hauteur de 23 millions de francs suisses. Les avocats indiens du groupe jouent pour l’instant la procédure, en accusant le ministère public de mettre une « pression déloyale » sur les accusés – du moins pour le volet « chronométrage officiel » du dossier. Les citations à comparaître n’auraient pas été délivrées dans les formes prévues par les traités internationaux, ni correctement traduites. Il s’agit évidemment de repousser le plus loin possible dans le temps – et d’éviter autant que possible – l’audition en Inde des accusés suisses, toujours « présumés innocents » (source : Jagran Post)...

••• TISSOT : bizarre procès de cyberpiratage entre la maison suisse Tissot et une entreprise irlandaise, Holmbrook Ltd, qui affirme détenir les droits sur le nom de quelques marques suisses déposées en .ru (Russie). Si le Swatch Group a gagné devant la justice russe pour ce qui concerne les adresses Longines et Rado, que Holmbrook ne pourra plus exploiter, il n’en est pas de même pour tissot.ru, adresse qui sert de prétexte – le gag est un peu téléphoné – à présenter l’œuvre du peintre français... James Tissot (Jacques-Joseph Tissot à l’état civil : 1836-1902) ! La société Holmbrook semble surtout spécialisée dans le cybersquatting<.EM>, les adresses en .ru étant privilégiées pour cause de laxisme local à propos des droits de propriété intellectuelle. L’affaire est en appel, mais d’autres procès devraient suivre à propos des autres marques du Swatch Group pour leur dépôt en .ru !

••• « MONTRE DE L’ANNÉE 2011 » : un concours ni meilleur, ni pire que les autres, peut-être « moins pire » si on considère que le classement final sera celui du public, sans pollution par des considérations marchandes. A suivre sur TimeZone, avec, comme finalistes : A. Lange & Söhne, Baume & Mercier, Grönefeld, Jaeger-LeCoultre, Patek Philippe et Vacheron Constantin. Un fourre-tout pas évident...

••• BASELWORLD DANS UN MOIS : sur place, dans le froid polaire des grandes halles ouvertes à tous les vents, c’est le ballet incessant des chariots élévateurs et des diables, des bleus de chauffe et des casques de chantier. Pour avoir une idée de l’ambiance, une vidéo sur la chaîne images de Business Montres (00:57 mn)...

••• LA PLUS BELLE INVITATION POUR BASELWORLD : c’est – à ce jour – le petit clip vidéo réalisé par la manufacture russe Raketa, qui viendra présenter à Baselworld (Hall 4.1) ses mouvements mécaniques de facture on ne peut traditionnelle. Normal quand on est manufacture d’horlogerie depuis 1721, c’est-à-dire depuis le tsar Pierre le Grand et la création de Saint-Petersbourg. Une vidéo très bien conçue, réalisée avec une remarquable économie de moyens, mais très efficace, à découvrir sur la chaîne images de Business Montres...

••• FLIGHT TO BASEL : intéressantes rumeurs de création d’un musée de l’aviation à Saint-Louis, aux portes de Bâle (côté français), sur la base de la collection de Werner von Arx, un amateur suisse du canton de Soleure. Cette collection comprend notamment le fameux quadrimoteur Super Constellation dont Breitling est le parrain. Un projet franco-suisse, complexe à monter par les administrations respectives (dont l’armée française, très intéressée), sur l’emprise d’un aéroport lui aussi franco-suisse. Les collections sont aujourd’hui logées dans le hangar 112, côté suisse de l’EuroAirport...

••• COSTCO : en dépit de ses démêlés judiciaires avec Omega, le grand déstockeur américain Costco maintient ses offres de montres de luxe « dégriffées » à des prix inférieurs à ceux du marché. Il s’agit de montres provenant de revendeurs autorisés, qui les ont eux-mêmes acquises, puis déstockées. Derniers repérages signalés : Rolex (!), mais toujours Omega, Cartier, Panerai, Breitling et tous les autres...

 



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