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Repérées à la M.A.D. Gallery de Genève (MB&F), récemment ouverte par Maximilian Büsser, les machines Stirling de Hermann Böhm sont totalement fascinantes.
Un peu d’alcool (à brûler, pas à boire !), une allumette et elles s'emballent, en jouant du piston et de la bielle mieux que personne selon un principe physique simplissime (air chaud)...
Pourquoi faire, ces machines miniatures ?
Pour rien, pour le plaisir des yeux, pour profiter d’un mouvement gratuitement fonctionnel ou pour entraîner des animations tout aussi gratuitement dynamiques : incompréhensibles dans nos activités purement utilitaristes, mais diablement envoûtant...
Quelques exemples de ces machines, mais il y en a des dizaines sur le site Böhm-Stirling, qui explique le principe mécanique de ces mouvements « perpétuels » sans pour autant décoder le pouvoir hypnotisant qu’ils exercent sur les amoureux des « machines » :
••• Une présentation générale sur la page Machinator (Les Machinateurs Associés)...
••• La machine HB 34 (Max Tattoo) à plusieurs cylindres (ci-dessus : la HB 16, construite sur le même principe, mais avec moitié moins de cylindres). Cette machine est la plus grande de toutes les mécaniques Böhm-Stirling-Technik...
••• La Grande roue R3, entraînée par un petite machine toute simple à raison de vingt tours par minute (comme la Grande Roue du Wiener Prater de 1897)...
••• C’est Noël tous les jours pour les amateurs de « jouets de garçon » : Böhm-Stirling-Technik fait aussi des voitures miniatures sur le principe des moteurs Sterling (qui fonctionnent à l’air chaud)...
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