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Comme tous les ans, Maximilian Büsser et son équipe (MB&F) préparent le lancement d’une pièce « artistique », c’est-à-dire d’une « machine horlogère » revue et corrigée par un artiste (Sage Vaughn ou Huang Hankang pour Only Watch), un designer (Alain Silberstein) ou même un joaillier (Boucheron).

Cette année, la collection « Performance Art » va s’augmenter d’une pièce un peu inattendue, revue et corrigée par un créateur qui ne relève d’aucune des catégories ci-dessus...

Ce re-créateur – bien connu des initiés – a réinterprété de façon aussi personnelle que magistrale un des modèles-phare de l’offre MB&F, dans un sens très horloger (pour la complication mécanique), mais avec beaucoup d’humour dans la proposition graphique.

On devine des étoiles découpées dans la platine (?) ou dans le composant de la « photo volée » ci-dessus : la complication s’annoncerait-elle sidérale ? Serait-ce pour y sertir de nouvelles pierres précieuses, avec des pierres dures « planétaires » dans le goût de la place Vendôme ? A moins que ce ne soit un hommage à quelques Angel Dust (PCP) d'un artiste californien particulièrement allumé...

A force de regarder nuitamment dans son téléscope, Maximilian Büsser a fini par en acquérir le rictus de l’astronome surexposé aux rayons cosmiques : il nous dira tout le 2 mai prochain, en direct de Singapour et en duplex avec New York. D'ici là, restez en ligne pour quelques précisions supplémentaires...