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Artprecium
Vendredi 25 Mai 2012 à 14h00 PARIS - DROUOT - Salle 3
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Un peu plus de 300 montres-bracelets mais aussi des pendulettes et des montres de poche se partagent les vitrines de cette salle, estampillées des principales fabriques d'horlogerie, françaises mais surtout suisses, de Lip à Tissot en passant pat Breguet, Jaeger-LeCoultre, Breitling, Oméga, Ulysse Nardin, Patek Philippe, Hermès, Movado, Rolex, Bulgari ou Cartier.
Les pièces les plus prisées ? Une Patek Philippe de 1960 en or jaune, cadran satiné, index et aiguilles bâtons or estimée 14 000/18 000 euros, un exemplaire de la Sic vos non vobis en or, louant le premier empereur romain Auguste, de la maison Movado de la même époque, dont le cadran émaillé cloisonné polychrome représente un glaive devant une flamme rougeoyante à décrocher entre 16 000 et 20 000 euros ; mais aussi un chronographe Royal oak offshore alingh i polaris (2006) estampillée Audemars Piguet à boîtier acier octogonal (édition limitée n° 1400/2000), cadran noir, chiffres arabes, livré dans son écrin et avec ses documents d'origine pour lequel 15 000 euros seront à engager. Deux pendulettes Atmos retiendront plus particulièrement l'attention : un exemplaire du modèle "Radiologie" (pendule perpétuelle atmosphérique) des années 1920 en marbre et chrome et une pendule perpétuelle art déco, vers 1930, cadran crème, index et chiffres arabes cuivrés, aiguilles bâtons blanches.
Comptez pour l'une comme pour l'autre, 15 000/18 000 euros. Mention spéciale enfin pour une montre "Monnaie" de chez Vacheron Constantin de la même époque, ultraplate et à secrets en ors rose et jaune dont le boîtier est réalisé dans la fameuse pièce de vingt dollars américains, Liberty Head : 5 000/7 000 euros en sont demandés.
Artprecium, SVV
Tél. 01.47.27.93.29
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