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RJ-ROMAIN JEROME BY JOHN M ARMLEDER
Place à l’Art contemporain chez RJ-Romain Jerome. Pour sa première collaboration de ce genre, la maison horlogère a choisi de s’associer avec un artiste suisse de renommée internationale, John M Armleder. De cette rencontre exceptionnelle entre l’Art contemporain et la haute horlogerie sont nés dix garde-temps uniques qui reprennent un motif récurrent dans l’oeuvre de John M Armleder : le crâne. Déjà déclinée en peinture murale ou découpée dans un miroir, cette tête de mort inspirée de la culture amérindienne vient habiter les cadrans des montres RJ-Romain Jerome pour une collection inédite.
Manuel Emch, CEO de RJ-Romain Jerome, est un fervent collectionneur d’Art contemporain. Il a toujours admiré le travail de l’artiste genevois qui refuse tout processus de classification de ses oeuvres, préférant un principe d’incessante « remise en jeu » au profit de l’hybridité des genres. C’est donc tout naturellement que les deux hommes ont uni leur talent et leurs idées au service de l’art.
« Je voulais depuis longtemps associer mes deux passions, à savoir l’Art contemporain et l’horlogerie, et appliquer le principe de l’oeuvre d’art unique ou en édition limitée à une montre », précise Manuel Emch. « Il était important pour moi de travailler avec un artiste suisse au vu des origines de la marque et mon admiration pour l’oeuvre de John M Armleder et son rôle modèle pour les jeunes artistes ont fait que mon choix s’est vite arrêté ! »
Conçues comme de véritables oeuvres d’art, les pièces Art-DNA sont en acier poli. L’applique reprenant le motif de la tête de mort est surélevée et vient orner le cadran lui-même martelé et poli. Le dessous de l’applique est laqué d’une couleur révélée par un subtil jeu de reflets sur le cadran. Chaque pièce unique revêt une couleur différente. Le fond de la montre est numéroté et on y retrouve un médaillon gravé de la signature de l’artiste.
Pour John M Armleder, « le crâne rappelle le memento mori et l’allégorie du temps qui
passe, un sujet tout à fait approprié pour un garde-temps et qui intéresse à la fois les collectionneurs d’art et de montres ». Et à l’artiste d’ajouter : « Toutes ces montres qui donnent l’impression de se ressembler vont bien avec la mort qui, dans le fond, est la même pour tout le monde, mais dont la réalisation est à chaque fois différente. »
Contact Charlotte Balmelle-Firquet / PR / media@romainjerome.ch
Langue d'origine: Français |