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DIOR - My Dior
 
Le 26-02-2013
de Dior (Montres)

Imaginée par Victoire de Castellane, la collection My Dior est comme une maille d’or, comme une paille tressée, comme un ruban précieux. Comme des liens d’amour ou d’amitiés entrelacés. My Dior : mon Dior rien qu’à moi, mon « english cannage », comme lorsque le premier parfum de monsieur Dior joua les anglicismes – c’était alors Miss Dior.

My Dior est un souvenir persistant, une mélodie qui n’a jamais quitté la Maison et dont chacun se souvient à sa manière.

Paris, années 1950-1960. Les bustes de paille de l’artiste Janine Janet décorent les vitrines Dior de leur étrange sophistication.

Paris, début des années 1970 : avenue Montaigne, les femmes entrent parfois dans la boutique Dior juste pour un parfum ou une paire de bas. Elles sont souvent accompagnées d’un homme, d’une amie, de leur enfant aussi. Ainsi cette petite fille qui découvre les codes de la Maison discrètement soulignés par la mise en scène des lieux : le gris perle, les moulures, le noeud Fontanges… et le cannage de paille que l’on retrouve sur les chaises Napoléon III, les jours de défilés, et qui s’affiche en trompe-l’oeil sur les coffrets du parfum Eau fraîche.

Cette petite fille qui accompagnait sa mère chez Dior, c’est Victoire de Castellane ; sa nouvelle collection est un souvenir de la boutique et des femmes qu’elle y croisait. Classiques ou modernes.

Toujours raffinées.

Ici, hier comme aujourd’hui, le glamour a du caractère et s’affirme avec détermination. Les femmes ont du chien. Si seulement Christian Dior pouvait les voir ! Sans doute applaudirait-il des deux mains leur attitude, lui qui les avait déjà accompagnées de son New Look en 1947. Le couturier n’est plus, mais la Maison qu’il a construite poursuit son ouvrage.

Paris, 2012. Au-delà du symbole du cannage, c’est tout l’esprit de la maison de couture que la créatrice fait revivre : une certaine idée de la femme Dior, des origines de la Maison, en 1947, à nos jours, inspirée par le code le plus emblématique de Dior. Un exercice de style où l’on découvre, au motif de paille, une délicatesse et un raffinement insoupçonnés.

My Dior écrit donc un nouveau chapitre de la grande histoire du cannage chez Dior. Sur les bagues, les bracelets ou les manchettes, les fils torsadés et les cordelettes donnent du relief au dessin. Les effets de ciselure ajoutent encore à la finesse des bijoux. Le travail est joaillier. La technique de la fonte à cire perdue assure à la collection ce supplément d’âme que seule la main de l’homme sait rendre aux objets. Comme toujours chez Dior Joaillerie, les savoir-faire sont ceux des meilleurs ateliers parisiens, l’usinage est le pire ennemi de la poésie.

My Dior. Une collection à la signature manifeste, un classique intemporel, celui de toutes les femmes, naturelles ou sophistiquées. Une collection qui a du chien.


Langue d'origine: Français

 



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