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GREUBEL FORSEY - SIHH 2014
 
Le 22-01-2014
de Greubel Forsey

Tourbillon 24 Secondes Contemporain Serti

A l’occasion de son dixième anniversaire, Greubel Forsey pare de diamants un de ses Garde-temps emblématiques, le Tourbillon 24 secondes Contemporain, le transformant en une sculpture étincelante, un joyau horloger.

Bienfacture : nom féminin, mais c’est surtout un helvétisme. Ce mot, typique de la Romandie, n’existe pas dans le dictionnaire français. Les longs hivers calfeutrés dans les vallées horlogères ont développé un immense souci du détail, et cette ultra-qualité, typiquement suisse, a été progressivement désignée par ce terme de bienfacture.

La bienfacture, c’est avant tout l’art de la finition, la transformation d’éléments bruts en joyaux brillants. Et si la joaillerie demeure périphérique à la haute horlogerie, la taille des gemmes en est toutefois une forme connexe.

Avec ce Garde-temps serti, nous nous sommes lancé un nouveau défi bienfacturier. Nous avons désiré travailler d’emblée la quintessence du règne minéral, à savoir des diamants « baguette » de la meilleure qualité (Pureté IF / Couleur D-E) afin d’élaborer l’architecture de notre Garde-temps.

Il y a environ 1.5 milliard d’années, à plus de 150 km sous terre, des particules de carbone ont subi, à une température supérieure à 1000 °C, une pression de plus de 50 millions d’atmosphères. Ainsi sont nés les diamants, cristaux de carbone pur dont seulement 0,001% obtiendront, après taille et polissage, le label IF / D-E.

L’éclat du diamant met en valeur les oscillations du Tourbillon 24 secondes. Un jeu de lumière inédit s’instaure, grâce à la réfraction exceptionnelle de la lumière d’un diamant taillé aux normes parfaites..
Pour la haute horlogerie, les tailles de pierres précieuses sont beaucoup plus contraignantes que pour la joaillerie traditionnelle. Le sertissage de nos Garde-temps requière un calibrage des pierres au micron près. Les diamants doivent être ajustés tels des mécanismes d’horlogerie.

Le boitier en or gris de 43.5mm sur 16mm est également serti de diamants « baguette », tant sur le pourtour de la lunette que sur les faces des cornes. Ainsi les gemmes deviennent partie intégrante du boitier afin d’en souligner l’aspect sculptural. La montre est sertie de 9.71 carats de diamants, au total 272 pierres.

La première version de notre Tourbillon 24 sec Contemporain, entièrement bleue, évoquait un univers céleste. Cette création sertie ouvre une image d’un monde plus « maritime » évoquant l’océan du titane bleui, l’écume des diamants étincelants et les oscillations du Tourbillon 24sec. Le suivi du regard
diffère en suivant la course des aiguilles. Celles-ci s’effacent pour céder la place au pavé diamanté puis la dimension horlogère reprend le dessus avec les fascinantes circonvolutions du tourbillon.

Pour animer ce Garde-temps, nous avons choisi le tourbillon 24 secondes incliné à 25°, cadencé à 21600a/h (pour 72h de RdM chronométrique via deux barillets superposés à rotation rapide et dispositif anti surtension). Cela autorise un grand balancier à inertie variable et donc une large cage. L’inclinaison de cette dernière conditionne une hauteur de mouvement de 10.9mm et 36.4mm de diamètre, pour 267composants et 40 rubis.

Double Tourbillon Technique 30° Bi-color.

Le Double Tourbillon Technique 30° Bi-color réinterprète notre première invention: le Double Tourbillon Incliné à 30°, que nous avons initialement implanté dans des Garde-temps de facture plus « classique », d’un point de vue esthétique et architectural. Nous souhaitions proposer une nouvelle manière de plonger dans les arcanes de cette invention, en suscitant un contraste saisissant entre le métal du boitier (platine ou or rouge 5N) et le traitement en chrome noir profond du mouvement. Chaque version (platine ou or rouge 5N) est ainsi déclinée dans une édition unique de 22 Garde-temps. Toutes deux sont « Bi-color », mais elles présentent toutefois des caractères bien distincts.

La version en platine opère un contraste radical entre le gris clair du boitier et le traitement chrome noir, profond, mais lumineux. Les ponts en acier de la cage du Double Tourbillon 30° entrent en résonnance avec le platine. Sur le flanc du boitier, les plaquettes en titane noir ADLC, gravées d’un texte résumant notre philosophie, redoublent le noir du calibre et apportent ainsi une touche finale d’équilibre.
La version en or rouge 5N semble quant à elle moins « tendue » du point de vue des jeux de contraste. Elle joue une partition plus douce et moelleuse, entre la chaleur de l’or rouge 5N du boitier (toujours flanqué de plaquettes noires) et les divers composants en chrome noircis du mouvement, chacun concourant à l’harmonie du tableau en tenant un rôle coloriste bien précis.

Voyage au cœur du mécanisme
Interprétation originale et innovante de notre première invention fondamentale (le Double Tourbillon 30°), le Double Tourbillon Technique 30° Bi-color en réinvente l’architecture sur un mode diamétralement opposé, si bien qu’on assiste à une véritable leçon de mécanique.
Cette nouvelle architecture permet une immersion totale dans le mécanisme horloger. La glace-saphir devient une sorte de fenêtre qui permet d’observer un monde miniature tout en mouvements, riche d’éléments imbriqués, renvoyant l’œil d’un rouage à l’autre. En gravitant autour du Garde-temps, notre regard peut merveilleusement détailler chaque composant.

Transparence et harmonie
Le nouveau Garde-temps reflète parfaitement la philosophie et l’état d’esprit de Greubel Forsey : la transparence à tout prix. Chaque élément du mécanisme est magnifié sans pour autant éclipser son voisin, quand bien même le cœur de ce Garde-temps demeure le Double Tourbillon 30°.

En hommage au métier ancestral d’horloger, mais aussi pour l’ancrer profondément dans le 21e siècle, des nouveautés ont été incluses au Garde-temps, notamment un quadruple barillet, couplé à un différentiel sphérique de réserve de marche, qui assure une autonomie de 120 heures. Lorsque l’on remonte le mécanisme, on voit les barillets se mouvoir et effectuer plusieurs rotations. Le cadran saphir transparent, sur lequel sont inscrits les indexes, n’occupe que le pourtour intérieur de la lunette ; il laisse ainsi pénétrer la lumière dans toutes les strates du mécanisme. Dans un même souci de finesse et de délicatesse, les aiguilles sont ajourées pour favoriser la lumière et la transparence. À 3 heures, on retrouve le petit cadran sectoriel de la réserve de marche et, à 9 heures, celui, circulaire, de la petite seconde. Leurs aiguilles rouge vif, couleur qui symbolise l’air et la vie, illustrent bien notre soif de modernité technique.

État d’esprit
Une fois encore, nous avons désiré signifier, par l’architecture ouverte de ce Garde-temps, un savoir-faire exempt de mystification, en toute honnêteté : nous privilégions en effet la visibilité, dans les inventions, comme dans le souci de bienfacture, de qualité et de bon fonctionnement. Ce Double Tourbillon Technique 30° Bi-color se veut un objet de partage. C’est là l’engagement que nous prenons avec le message gravé en relief sur la plaquette apposée sur le flanc gauche du boitier. Le texte évoque notre dévouement total à notre art, ainsi qu’une volonté farouche de le faire progresser par la recherche fondamentale et une réflexion sur l’architecture complexe des mouvements. Mais, encore et surtout, il y est question du besoin de partage de notre passion insatiable pour la chronométrie. Côté couronne de remontoir, quelques mots-balises résument encore ces valeurs fondamentales.

Ce cadre philosophique permet une expressivité maximum dans les finitions ! Les anglages sont systématiquement rentrants et réalisés à la main. Selon la grande tradition horlogère, les platines et les ponts sont en maillechort « grainé » et bénéficient d’un traitement en chrome noir. Le pont supérieur du tourbillon reste en acier poli bloqué et anglé main. Il contraste avec les aiguilles en or, assorties au nouveau boitier en or rouge 5N ou platine. Ce boitier mesure 47.5mm sur 16.84mm, et il est rehaussé de plaquettes latérales en titane noirci ADLC, ces dernières contant l’histoire des Inventeurs. À 1h30, on retrouve le différentiel sphérique Greubel Forsey, ici utilisé pour indiquer la durée de RDM. À 3 heures se tient l’affichage de la réserve de marche avec son « pont » découpé en forme de cou de cygne, et l’aiguille en guise de bec. À 6 heures, il y a le point d’orgue : le Double Tourbillon Technique cadencé à 21600a/h. Sa première cage évolue à plat en quatre minutes, et la seconde, inclinée à 30°, tourne en une minute. À 9 heures, la petite seconde. Enfin, à 11 heures, en écho au double tourbillon, un quadruple barillet superposé, à rotation rapide et dispositif anti surtension, fournit 120h de réserve de marche chronométrique (pour plus de 160h maximal). Au centre, enfin, on notera l’emploi d’une armature spéciale, un tripode, qui assure un maximum de stabilité au canon des aiguilles. Dernier clin d’œil, une structure similaire soutient le différentiel sphérique de remontage au dos.

Le GMT de Greubel Forsey se pare de platine

En 2011, Greubel Forsey a révolutionné le domaine des montres GMT avec un Garde-temps novateur d’un point de vue technique, esthétique et ergonomique. Son exceptionnel mouvement chronométrique, doté d’un tourbillon 24 secondes incliné à 25°, est désormais serti dans un écrin en platine.


Allusion au « Greenwich Mean Time », l’heure du méridien de référence, l’acronyme GMT désigne, dans le vocabulaire horloger, l’indication d’un second fuseau horaire. Animés d’un esprit de recherche, Robert Greubel et Stephen Forsey ont largement outrepassé l’affichage conventionnel d’un fuseau dans un guichet ou à l’aide d’une aiguille, en incluant à leur Garde-temps un globe terrestre effectuant une rotation complète en 24h, dans le sens contraire des aiguilles de la montre, c’est-à-dire celui qu’emprunte notre planète.



Ce planisphère matérialise les fuseaux en temps réel, depuis le point de vue du pôle nord vers lequel ils convergent. Un seul regard permet de les saisir tous. Il est 12h en Grande Bretagne, c’est le début de l’après-midi à Rome ou à Genève. Les rayons du soleil éveilleront bientôt la côte Est des États-Unis, tandis que l’Orient est plongé dans l’obscurité… Ce premier contact avec le Garde-temps invite dores et déjà à un poétique voyage transcontinental. La GMT de Greubel Forsey est bien plus qu’une montre. Elle se révèle une carte temporelle portative.
Une fenêtre latérale ménagée dans le boîtier offre un point de vue sur l’hémisphère austral. Si le pôle Sud n’apparaît pas, c’est qu’il constitue le point d’ancrage du globe, qui est doté d’un mécanisme à pivotement volant. Le choix de Greubel Forsey s’est porté sur le titane, travaillé ici dans les trois dimensions avec une extrême précision pour représenter les continents à une échelle réduite.

Le globe occupe une proéminence à 8h, tandis que le tourbillon 24 secondes est placé à 5h dans une deuxième excroissance. Le boîtier en platine en comporte une troisième à 1h : les informations horaires de base ont été regroupées dans cette partie supérieure du côté cadran, avec en cascade une petite seconde à 2h et un indicateur sectoriel de la réserve de marche à 3h. On retrouve à 10h un affichage GMT pour le second fuseau horaire.

Au dos du Garde-temps apparaît l’heure universelle des 24 fuseaux, sous la forme d’un véritable disque des heures du monde. Celui-ci égraine le nom de 24 villes, et un affichage différencié par cartouches pour l’heure d’été (pour les cités soumises à ce régime) se fait de manière particulièrement lisible. Ultime clin d’œil, un Soleil à l’apogée des heures du monde illumine l’arrière du boîtier, laissant le devant de la scène à la Terre.

Naturellement, et on reconnaît là aussi la « signature Greubel Forsey », un soin tout particulier est apporté à la décoration des composants jusque dans leurs moindres détails. Les finitions à la main déclinent toute la palette des techniques traditionnelles, du grenage à l’anglage, en passant par les nuances du polissage, du rodage, des traits tirés au poli bloqué noir. Le verre bombé, le fond et la fenêtre latérale sont en saphir. Le bracelet alligator noir cousu main avec boucle déployante en platine. C’est là une belle démonstration de savoir-faire mis au service de la bienfacture.

Le calibre GMT est alimenté par deux barillets fournissant une autonomie de 72h fréquencée à 21.600 alternances/heure. Le calibre comporte 443 composants. Il est doté d’un échappement tourbillon 24 secondes incliné à 25°, constitué de 87 composants pesant au total 0,36 gr.
Outre ses propriétés chronométriques et sa fiabilité, ce bloc d’échappement a été retenu pour ses dimensions réduites, ce qui permet de conserver un calibre d’un diamètre de 36.40mm (16 ½ lignes). Cela autorise un nouveau boîtier aux dimensions moyennes, 43,5mm de large pour une hauteur totale de 16,14mm. Constitué de platine 950 inaltérable, il présente une teinte légèrement plus claire que la précédente version en or blanc.

QP à ÉQUATION

Greubel Forsey ouvre de nouveaux horizons en révolutionnant une des plus anciennes complications horlogères : le quantième perpétuel, auquel les inventeurs de la Chaux-de-Fonds intègrent une équation du temps. Ou comment « complexifier » une complication tout en simplifiant dans le même temps l’ergonomie et la lisibilité des diverses fonctions.

Une nouvelle manière de sculpter le temps se dessine progressivement.
Jusqu’à présent, nous avons surtout travaillé les fondamentaux du tourbillon dans la perspective de les sophistiquer. Avec pas moins de six Inventions majeures touchant principalement aux tourbillons inclinés, nous avons repoussé les limites de l’horlogerie. Il est temps pour nous de réinventer les complications au sens premier du terme, et de démontrer que dans ce domaine également, l’histoire de l’horlogerie mécanique demeure en perpétuelle mutation. Le Double Balancier et le GMT, novateurs tant techniquement qu’en termes d’ergonomie et d’affichage, ont ouvert la voie. Aujourd’hui, nous poursuivons sur notre lancée en réinterprétant le prestigieux quantième perpétuel (QP).

Le renouveau du Computeur Mécanique.
Le quantième perpétuel demeure l’une des complications horlogères les plus emblématiques mais aussi l’une des plus anciennes, car il est l’héritier direct du Computeur Mécanique. Ce paléo-calendrier perpétuel, dont on trouve un des premiers exemples à la cathédrale de Strasbourg, est l’aboutissement mécanique de l’art du « Comput » (du Latin computare = calculer) pratiqué par les membres du clergé. Ces derniers déterminèrent durant des siècles les dates des fêtes religieuses, qui rythmaient alors les saisons et la vie paysanne.



Convivialité et lisibilité
La réinvention du quantième réside d’une part dans l’intégration de l’Équation du temps dans le mécanisme QP, mais aussi dans l’ajout de nouvelles fonctions et affichages, et ce dans un double objectif d’optimisation de l’ergonomie et de convivialité. La simplification de la correction, par la couronne bidirectionnelle, de l’ensemble des indications, était primordiale. En dépit de ses multiples affichages et fonctions, notre Computeur Mécanique intégrant une Équation du temps est aussi facile à régler qu’un quantième simple. Nul besoin d’instruments élaborés pour appuyer sur les multiples poussoirs, et encore moins de mode d’emploi hermétique. Vous devez prendre un vol urgent, et le Garde-temps est arrêté depuis quelques jours ? Il suffit de tirer la couronne, en vérifiant, via l’indicateur de position à 2h30, que vous êtes dans la bonne position. D’un simple aller ou retour, vous avancez tranquillement dans le temps, les différents affichages et indications se meuvent d’eux-mêmes sans manipulation supplémentaire. Si vous faites une erreur, il convient de tourner la couronne dans l’autre sens, afin de revenir, jour par jour, jusqu’à la bonne date. Simple, convivial et ludique.

Pour réaliser ce tour de force, nous avons mis au point un «mobile codeur - cœur du Computer Mécanique », qui a donné lieu au dépôt de trois brevets. Il s’insère totalement dans le calibre sans pour autant augmenter ses dimensions. Notre mobile codeur est composé d’un empilement de cames idoines pourvues de « doigts » qui enclenchent les changements des indications sur les deux faces de la montre. Ainsi, le disque des mois conditionne le changement de mois dans le guichet du cadran, mais il meut aussi l’échelle de l’équation du temps au dos. Le disque des années actionne l’indicateur d’année bissextile sur l’endroit, et celui des saisons au dos. La création de ce « mobile codeur » révolutionne non seulement le réglage, mais aussi l’affichage dit « double face ».

Même d’un coup d’œil succinct dans le sous-cadran à 3h (la partie du cadran la plus visible), vous percevez sans ambigüité les trois guichets disposés en ligne, qui vous indiquent, avec un grand confort visuel, le jour, la date, le mois. La grande date renforce la notion de lisibilité et rend la lecture du calendrier particulièrement aisée.

Équation du temps
Plus haut, nous avons évoqué « l’Équation du temps », concept qu’il convient à présent de définir. En horlogerie, nous recherchons l’ultime régularité. Or, la Terre poursuit une trajectoire elliptique autour du soleil. Lorsqu’elle s’en rapproche, elle est propulsée par la force de gravité. Il en résulte que l’heure solaire réelle et l’heure moyenne se révèlent, décalées d’un intervalle de quelques secondes à plus de 16 minutes. L’Équation du temps formalise donc cette différence.

Pour connaitre, l’heure solaire réelle, il vous faut retourner votre Garde-temps afin de prendre connaissance de l’équation du temps du jour qui apparait à l’arrière.
Dans l’esprit convivial initié par notre GMT, le dos de la montre n’est plus seulement un lieu d’expression pour les finitions du mouvement ; il propose aussi une nouvelle manière de dire le temps. Les informations les plus fréquemment consultées, comme les guichets en ligne du Jour/Date/Mois, sont affichées sur le cadran principal, et les informations moins « quotidiennes » au dos du Garde-temps, qui revêt ainsi deux visages : l’un fonctionnel, et l’autre poétique et ludique.
Sur l’envers de ce QP à ÉQUATION, vous trouverez donc l’indication de l’Équation du temps, des saisons et de l’année en cours sur quatre chiffres.

Cette zone d’indication principale au dos est composée de deux disques transparents superposés.
Le premier disque en saphir est relié au quantième des mois et comporte une échelle graduée en minutes, qui détermine l’amplitude de la différence entre temps solaire et heure légale.
Le second disque (également en saphir) est relié) à l’affichage annuel et comporte une figure géométrique en forme de raie manta, dont les lignes sont découpées en quatre parties, deux rouges et deux bleues – dispositif représentant le type de décalage. Pour déterminer ce dernier, vous devez porter votre regard où la ligne rouge (décalage positif) ou bleue (décalage négatif) recoupe l’échelle. Cette présentation d’une Équation du temps est totalement inédite et permet de mieux comprendre les cycles elliptiques de la terre autour du soleil, avec ses équinoxes et solstices.

Le Garde-temps en or gris de 43,5mm sur 16mm de haut bénéficie d’un quatrième brevet, déposé il y à quelques années pour le tourbillon 24 secondes incliné à 25°. Il est cadencé à 21600a/h (pour 72h de RdM via deux barillets superposés à rotation rapide et dispositif anti surtension). Cela autorise un grand balancier à inertie variable. L’inclinaison de cette dernière conditionne une hauteur de mouvement de 9.55mm ; pour 37mm de diamètre, soit 16.41 lignes, 570 composants et 65 rubis.

Langue originale: français

 



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