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ART HORLOGER DE HAUT NIVEAU
POUR LES GRANDS FONDS MARINS
AQUATIMER CALENDRIER PERPÉTUEL DIGITAL DATE ET MOIS
L’Aquatimer Calendrier Perpétuel Digital Date et Mois, limitée à cinquante exemplaires, conjugue
prouesses techniques et esthétique raffinée. Le boîtier, qui se caractérise par une association inhabituelle de matériaux tels que le titane recouvert de caoutchouc et l’or rouge 18 carats, abrite un calendrier perpétuel avec grand affichage digital de la date et du mois. Le mécanisme sautant intégré régissant le changement de mois a en commun avec les iguanes marins des Galápagos une maîtrise exceptionnelle de l’énergie.
Il y a des millions d’années, quelques iguanes se sont
échoués par hasard sur les îles Galápagos. Comme ils ne
trouvaient pas assez de nourriture sur l’archipel aride, ils
allèrent la chercher dans la mer. Mais dans l’eau froide, leur
température corporelle baissait très vite. Au cours du
temps, les iguanes marins sont passés maîtres en gestion
de l’énergie. Ils se prélassent sur les rochers volcaniques
chauffés par le soleil afin d’accumuler un maximum de
forces pour leurs épuisantes plongées, et, dans l’eau, le
ralentissement de leurs pulsations cardiaques leur permet
de réduire leurs besoins énergétiques. C’est ainsi que la
nature utilise l’énergie à bon escient. L’énergie joue un rôle
crucial non seulement en biologie, mais également en
mécanique horlogère. Le remontage automatique d’une
montre mécanique fournit au mouvement l’énergie motrice
requise, dont, cependant, seule une partie peut être engrangée,
vu la longueur réduite du ressort-moteur. Pour
mesurer le temps, et même pour des complications requérant
beaucoup de puissance, comme le calendrier perpétuel,
l’énergie est suffisante. Toutefois, lorsqu’il s’agit d’un
calendrier perpétuel avec grand affichage digital de la date
et du mois ainsi que de l’année bissextile, jusqu’à cinq
disques d’affichage doivent être actionnés simultanément,
et c’est là que le remontage automatique classique rencontre
ses limites. C’est pourquoi les ingénieurs d’IWC
Schaffhausen ont développé ce qu’on appelle le mécanisme
sautant. Le mécanisme séparé stockant l’énergie
engrange en continu pendant tout le mois la force requise
pour faire avancer les disques d’affichage des mois. Pour
ce faire, le levier à ressort du mécanisme sautant est tiré
chaque jour d’une petite valeur angulaire via une came. À
la fin du mois, le levier atteint sa tension maximale, et la
force décisive se libère: le levier du mécanisme sautant
revient brusquement à sa position initiale et fait avancer les
deux disques d’affichage des mois au mois suivant, seuls
ou ensemble, selon le mois. Durant la nuit du 31 décembre,
le disque de l’année bissextile est aussi actionné par ce
système. Et ce, bien sûr, sans aucun impact sur la précisionde
marche du mouvement de la montre. Stocker l’énergie
et y recourir au bon moment – le mécanisme sautant et les
iguanes marins appliquent le même principe.
DIGITAL OU ANALOGIQUE –
DE TOUTE FAÇON NOVATEUR
En 2014, le calendrier perpétuel avec grand affichage digital
de la date et du mois avec mécanisme sautant fait son
entrée dans la famille des montres de plongée d’IWC
Schaffhausen.
L’Aquatimer Calendrier Perpétuel Digital
Date et Mois (réf. IW379401), limitée à cinquante exemplaires
et disponible uniquement dans les boutiques IWC,
est le vaisseau amiral de la nouvelle collection Aquatimer.
Le design technique marqué du cadran se distingue par les
très grands chiffres du calendrier perpétuel, programmé
mécaniquement jusqu’en 2100. Les disques de la date et
du mois sont couverts de grilles perforées, des éléments
pour lesquels les designers se sont inspirés des systèmes
filtrants omniprésents dans les véhicules sous-marins. Cela
permet d’observer le mécanisme de commutation complexe:
un spectacle fascinant à la fin du mois surtout, quand
tous les quatre disques de la date sont simultanément en
mouvement. Le cycle quadriennal des années bissextiles
est lui aussi représenté de manière digitale. L’affichage
digital en grands chiffres appartient à la tradition d’IWC
Schaffhausen
depuis plus de cent ans, IWC ayant déjà
lancé sur le marché les premières montres de poche avec
affichage sautant digital des heures et des minutes en
1884. Les montres dites Pallweber, du nom du titulaire du
brevet, furent très appréciées dans un premier temps, mais
l’affichage digital de l’heure, contrairement à celui de la
date, n’a pas pu s’imposer. Aujourd’hui encore, la plupart
des gens préfèrent l’indication analogique de l’heure au
moyen d’aiguilles, parce qu’elle se lit plus rapidement et
plus intuitivement, et permet de mieux appréhender la
notion de durée. Les ingénieurs d’IWC ont tenu compte de
cet état de fait pour concevoir le deuxième type d’affichage
novateur dont est dotée l’Aquatimer Calendrier Perpétuel
Digital Date et Mois, l’affichage du chronographe. Il permet
par exemple de respecter aisément la pause en surface
requise entre la première plongée et la suivante. Un guichet
à «12 heures» indique très simplement les temps chronométrés
entre une minute et 12 heures comme l’heure sur
le cadran de la montre, au moyen d’une aiguille des heures
et d’une aiguille des minutes. L’aiguille centrale indique les
secondes chronométrées. Une fois que l’on a expérimentécet
affichage analogique du chronométrage, on ne revient
pas volontiers au chronométrage des temps additionnels
réparti sur plusieurs compteurs. La fonction flyback intégrée
permet, sur simple pression d’un poussoir, de remettre
à zéro les aiguilles du chronographe lors d’un
chronométrage en cours, et de relancer immédiatement un
nouveau chronométrage.
En plongée, cet affichage permet
aussi de contrôler la vitesse de la remontée.
DESIGN FONCTIONNEL,
ESTHÉTIQUE ÉLÉGANTE
La vraie grandeur de l’Aquatimer Calendrier Perpétuel Digital
Date et Mois ne se voit pas seulement à son affichage
digital de la date, mais aussi à son boîtier: d’un imposant
diamètre de 49 millimètres, c’est la deuxième plus grande
montre-bracelet de l’histoire d’IWC, après la Grande Montre
d’Aviateur de 1940. La lunette tournante externe est en or
rouge 18 carats, tout comme la protection, ajoutée sur le
côté gauche, qui recouvre le système d’embrayage raffiné
transmettant le mouvement rotatif de la lunette tournante
externe à la lunette tournante interne. Le système SafeDive
d’IWC garantit que la rotation de la lunette ne puisse
s’effectuer que dans le sens inverse des aiguilles d’une
montre, afin que le temps zéro ne puisse pas être dépassé
par inadvertance. Le cercle d’emboîtage, les poussoirs et
la couronne sont en titane recouvert de caoutchouc. Tandis
que l’attrayant bracelet en caoutchouc noir incrusté
d’alligator noir garantit un confort optimal et une solidité à
toute épreuve, l’association inhabituelle d’or rouge, de
caoutchouc et de cuir confère à la montre un look à la fois
noble et sportif. Le fond transparent en verre saphir permet
d’admirer le mouvement de manufacture IWC 89801 comprenant
474 composants, avec remontage automatique à
doubles cliquets particulièrement efficace. Le look technique
et fonctionnel de la masse oscillante évoque la fiabilitédes
bathyscaphes. L’enduit Super-LumiNova®* qui recouvre
les aiguilles et les index est particulièrement luminescent
dans l’obscurité, en deux couleurs: vert pour les affichages
relatifs au temps de plongée et bleu pour le temps en heures.
L’imposante Aquatimer Calendrier Perpétuel Digital Date
et Mois étanche 10 bar suscite l’admiration, tant sous l’eau
que sur terre. C’est aussi cela qu’elle a en commun avec
les iguanes marins des Galápagos.
PROFONDEUR PUISSANCE TROIS
AQUATIMER DEEP THREE
L’Aquatimer Deep Three constitue déjà la troisième génération de montres de plongée IWC avec
profondimètre mécanique. Le développement continu du profondimètre et du système de lunettes tournantes témoigne de la volonté qu’a la manufacture horlogère de Schaffhausen de poursuivre son avance technologique en matière de solutions mécaniques complexes.
Tous les passionnés de plongée s’entendent pour dire que
ce sport est palpitant et sûr si l’on peut se fier à son équipement
et que l’on respecte quelques règles de base: ne
jamais plonger seul, mais toujours être accompagné d’un
autre plongeur. Les systèmes techniques d’importance
vitale tels que le détendeur et le profondimètre devraient
toujours être en double. Pendant la plongée, il est essentiel
en outre d’avoir constamment un oeil sur des paramètres
comme la profondeur à laquelle on se trouve et la profondeur
maximale atteinte ainsi que sur la durée de plongée,
afin de pouvoir remonter assez lentement et respecter les
paliers de décompression nécessaires. Concernant la première
règle, il y a le ou la partenaire de plongée, pour la
deuxième, le détendeur de secours octopus, et pour tout
le reste, la nouvelle montre Aquatimer Deep Three d’IWC.
Car en cas de panne de l’ordinateur de plongée, le profondimètre
et le chronomètre de plongée mécaniques de Schaffhausen
offrent un système de back-up fiable pour calculer
toutes les données relatives à la plongée.
SAFEDIVE D’ IWC – L’ÉVOLUTION DU
SYSTÈME DE LUNETTES TOURNANTES
Après la GST Deep One (réf. 3527) de 1999 et l’Aquatimer
Deep Two (réf. 3547) de 2009, IWC Schaffhausen lance déjà
sur le marché la troisième génération de montres de plongée
avec profondimètre mécanique. L’Aquatimer Deep
Three (réf. IW355701) est un exemple éclatant de l’évolutionde
la technique horlogère de Schaffhausen. Le développement
continu de la montre s’exprime notamment dans les
trois différents concepts du système de lunettes tournantes
destiné à mesurer le temps de plongée. La GST Deep One
était pourvue d’une lunette tournante interne que l’on pouvait
régler au moyen d’une couronne à «2 heures». Grâce à
cette solution techniquement très élaborée, il était pratiquement
impossible que l’heure marquant le début de la plongée
puisse être déréglée par inadvertance, ce qui aurait eu
pour conséquence une durée de plongée plus longue que
ne l’aurait permis l’air comprimé à disposition. De plus, la
graduation se trouvant sous le verre et recouverte d’un
enduit luminescent très sensible était parfaitement protégée
de l’eau, de la saleté et des rayures. Par contre, la
couronne n’était pas aussi facilement maniable qu’une
lunette tournante externe en portant des gants de plongée
ou en cas de mauvaise visibilité. C’est pourquoi en 2009,
IWC avait choisi d’équiper les montres de la collection
Aquatimer d’une lunette tournante externe que l’on pouvait
facilement tourner même avec des gants – et, par sécurité,
seulement vers la gauche, dans le sens inverse des aiguilles
d’une montre. En cas de déréglage involontaire, cela ne
permettait que d’afficher un temps de plongée plus court,
ce qui pouvait peut-être gâcher le plaisir du plongeur, mais
évitait tout risque. Sur la lunette en plusieurs parties venait
s’insérer un anneau en verre saphir, large de 4 millimètres,
avec marquage au verso, dont la partie inférieure était
recouverte de l’enduit luminescent Super-LumiNova®*. La
construction du boîtier de l’Aquatimer Deep Three conjugue
les avantages de la lunette tournante interne, par exemple
la protection de l’échelle graduée contre la saleté et les
rayures, avec le confort d’utilisation de la lunette tournante
externe. Et ce grâce à une invention IWC: le système d’embrayage
raffiné transmet le mouvement rotatif de la lunette
tournante externe à la lunette tournante interne, à l’intérieur
du boîtier. Dans ce cas également, par sécurité, la
lunette tournante interne, précisément crantée en minutes,
ne peut être tournée que dans le sens inverse des aiguilles
d’une montre, grâce au système SafeDive d’IWC.
POINT FORT: LE PROFONDIMÈTRE
Le profondimètre mécanique est la prouesse technique de
l’Aquatimer Deep Three résistant à une pression de 10 bar.
Petit retour en arrière: dans les années 1990, la GST Deep
One en titane était l’un des projets les plus ambitieux d’IWC
en termes de technologie. À cette époque, les montres de
plongée équipées d’un profondimètre mécanique étaient
rares, les instruments de mesure électroniques dominant
le marché. La construction du boîtier, le système d’étanchéité
et le mécanisme de mesure pour des montres de
plongée mécaniques paraissaient trop compliqués. Pourtant,
les ingénieurs d’IWC ne se laissèrent pas arrêter par
la difficulté. Ils dotèrent la GST Deep One d’un tube de
mesure interne enroulé autour du mouvement de la montre,
qui, par le biais de micro-alésages sur une couronne, se
remplissait d’eau lors de l’immersion et se déroulait sous
la pression hydraulique croissante, transmettant ainsi la
pression ambiante à un indicateur à deux aiguilles, par le
biais d’un mécanisme à levier. Une aiguille blanche partant
du centre du cadran indiquait la profondeur à laquelle
le plongeur se trouvait, jusqu’à 45 mètres, tandis qu’une
rattrapante supplémentaire, elle aussi centrale, indiquait en
permanence la profondeur maximale atteinte. Comme les
axes des aiguilles de mesure passaient par le centre du
mouvement, il n’y avait cependant pas de place pour une
grande aiguille des secondes. Les plongeurs apprécient les
aiguilles des secondes non seulement pour chronométrer
la durée des paliers de décompression, mais aussi pour
pouvoir effectuer des contrôles constants. C’est pourquoi,
dix ans plus tard, pour l’Aquatimer Deep Two, on faisait
passer les aiguilles du profondimètre autour du mouvement:seules
les extrémités courbes des deux aiguilles pointaient
à travers une fente semi-circulaire du cadran et se déplaçaient
sur l’échelle graduée latérale. Une solution raffinée
qui évitait de devoir faire passer les axes à travers le mouvement
et permettait d’intégrer une aiguille des secondes au
centre.
Tant pour l’Aquatimer Deep Two que pour l’actuelle Aquatimer
Deep Three, le système manométrique se trouve dans
une deuxième grande couronne pourvue d’un clapet et
située sur le côté gauche du boîtier. L’eau exerce une pression
directement sur une membrane logée dans cette couronne
et pousse une cheville à l’intérieur du boîtier. Ce
mouvement actionne un mécanisme à levier et fait osciller
les aiguilles de mesure. Lors de la plongée, l’aiguille bleue
se déplace sur le champ blanc en fonction de la profondeur,
plus ou moins grande, à laquelle se trouve le plongeur,
et indique toujours la profondeur effective. À l’aide
de l’aiguille des secondes et du profondimètre, la vitesse
maximale pour remonter, soit 10 mètres par minute, peut
être contrôlée. L’aiguille rouge indique la profondeur maximale
atteinte, jusqu’à 50 mètres, une valeur importante
pour calculer les paliers de décompression requis. De ce
fait, un plongeur expérimenté dispose de toutes les informations
lui permettant de terminer la plongée en toute
sécurité. L’amélioration constante du système de lunettes
tournantes et du profondimètre au cours des trois générations
de montres est une belle illustration de la citation bien
connue de Charles Darwin: «Ce n’est pas le plus fort de
l’espèce qui survit, ni le plus intelligent. C’est celui qui sait
le mieux s’adapter au changement.»
PLUS LÉGÈRE, ET VISUELLEMENT
PLUS FINE
Grâce à son boîtier en titane, l’Aquatimer Deep Three est
plus légère que le modèle précédent en acier fin. De plus,
la lunette tournante externe plus étroite, avec ses poignées
encastrées arrondies, paraît moins volumineuse, bien que
le diamètre du boîtier soit resté le même, 46 millimètres, et
que deux nouveaux éléments fonctionnels aient été ajoutés
sur le côté droit. Le poussoir de remise à zéro pour l’aiguille
indicatrice de la profondeur maximale atteinte n’est plus
situé à «8 heures», mais à «2 heures». À l’aide du poussoir
en céramique, l’indication de la profondeur maximale atteinte
peut être remise à zéro. Sous la protection en titane
à «4 heures» se cache le mécanisme d’embrayage du nouveau
système de lunettes tournantes. Malgré les nombreux
affichages, le cadran noir est sobre et très lisible. Le revêtement
de Super-LumiNova®* garantit une excellente lisibilitédans
toutes les conditions de visibilité. De plus, les deux
couleurs permettent de mieux voir les informations du cadran
dans l’obscurité: le revêtement luminescent signalant
les données concernant la plongée, soit la profondeur atteinte,
le temps de plongée et le chronométrage en minuteset
en secondes, est de couleur verte, tandis que celui des
aiguilles et des index des heures est de couleur bleue. Le
mouvement automatique calibre 30120, très fiable, avec
affichage de la date, garantit une confortable réserve de
marche de 42 heures. Le fond du boîtier tenu par cinq vis
s’orne d’un casque de plongeur artistement gravé en relief,
un symbole qui montre bien que la Deep Three est un instrument
de plongée professionnel. Le bracelet en caoutchouc
extensible design «vagues» s’adapte en souplesse à la
circonférence du poignet, susceptible de varier lors de la
plongée ou au gré des changements de température.
LES TITANS DES
PROFONDEURS MARINES
AQUATIMER AUTOMATIC 2000
Avec la nouvelle Aquatimer Automatic 2000, IWC Schaffhausen reste fidèle à sa tradition: les gardetemps d’une très grande résistance à la pression. Son boîtier en titane et son design sobre rappellent une icône du design, la montre Ocean 2000 de 1982, conçue par Ferdinand A. Porsche.
La «success story» d’IWC Schaffhausen dans la construction
de montres de plongée commence en 1967 avec la
première Aquatimer affichant une résistance à la pression
de 20 bar, une révolution pour l’époque. Lorsque, dans
les années 1980, IWC reçoit le mandat de construire des
montres spéciales pour des nageurs de combat, des plongeurs
et des plongeurs démineurs, l’excellente renommée
de la manufacture de Schaffhausen dans la fabrication de
montres de plongée professionnelles s’est depuis longtemps
répandue. De plus, à cette époque, IWC est la seule
entreprise horlogère à maîtriser l’usinage du titane. Ce matériau
résistant à la corrosion, léger et cependant presque
inusable se prête particulièrement bien à la fabrication de
montres de plongée. En collaboration avec Ferdinand A.
Porsche, le designer de la légendaire Porsche 911, six versions
de montres de plongée militaires voient le jour, notamment
une montre pour plongeurs démineurs équipée du
premier mouvement mécanique entièrement amagnétique,
une caractéristique vitale lorsque l’on désamorce des dispositifs
d’allumage par magnéto. Parallèlement, IWC produit
dès 1982 la montre de plongée de sport Ocean 2000
avec lunette tournante externe, également conçue par
FerdinandA. Porsche. C’est la première montre de plongéede
série en titane avec résistance attestée à une pression
de 200 bar, ce qui correspond à une profondeur de
2000 mètres. «La première Porsche capable de plonger»,
comme le dit un slogan publicitaire, fait date dans l’histoire
de la plongée, et pas seulement à cause de sa résistance
à la pression. Le design rigoureusement fonctionnel, le matériau
novateur du boîtier et les trois vis assurant la fixation
de la couronne marquent une étape importante dans le
développement des montres de plongée IWC. Aujourd’hui,
les montres Ocean 2000 design Porsche sont des objets
cultes recherchés par les collectionneurs. En 1998, IWC
renoue avec le nom traditionnel Aquatimer et intègre l’Aquatimer
GST Automatic 2000 en titane au sein de la nouvelle
gamme de montres de sport. Six ans plus tard, l’Aquatimer
Automatic 2000 est présentée pour la première fois au
public. Comme la première Aquatimer de 1967, elle est
dotée d’une lunette tournante interne qui se règle au moyend’une
couronne auto-étanche située à «4 heures». Toutefois
en 2009, avec la génération suivante de l’Aquatimer
Automatic 2000 déjà, IWC revient à la lunette tournante
externe,qui a fait ses preuves. Avant le lancement sur le
marché de la nouvelle «2000», ses fonctions ont été testéesdans
la mer Rouge par des plongeurs de l’ancien équipage
de Cousteau, dont l’évaluation s’est avérée positive.
UNE PARTENAIRE DE PLONGÉE FIABLE
Construite pour affronter les grands fonds, la nouvelle
Aquatimer Automatic 2000 (réf. IW358002) étanche
200 bar s’inscrit dans la tradition des garde-temps résistantà
des pressions extrêmes, construits par IWC pour des
plongeurs professionnels ou des adeptes de plongée ambitieux.
La mission principale de l’Aquatimer est de mesurerfiablement
la durée de plongée, limitée par la provision
d’air comprimé à disposition. Si les ordinateurs de plongée
numériques sont depuis longtemps en mesure d’enregistreren
continu le temps de plongée, les plongeurs chevronnés
ne jurent que par un garde-temps supplémentaire comme
système de back-up pour leurs interventions sous l’eau.
Par sa fiabilité, le mouvement de manufacture IWC 80110
remplit parfaitement cet objectif. L’étanchéité du boîtier
jusqu’à une profondeur de 2000 mètres est considérée
comme une sécurité complémentaire. Par ailleurs, à la pression
hydraulique statique lors de la plongée vient s’ajouter
une pression dynamique, notamment du fait du mouvementdes
bras. Avec l’Aquatimer Automatic 2000, on plonge en
toute sécurité, même dans les plus grandes profondeurs
jamais atteintes.
INSPIRÉE DU DESIGN PORSCHE
DE L’OCEAN 2000
Comme toutes les nouvelles montres de plongée IWC de
la collection actuelle, l’Aquatimer Automatic 2000 est pourvue
du nouveau système de lunettes tournantes externe
et interne. La lunette tournante interne ne peut être manipulée
que dans le sens inverse des aiguilles d’une montre,
une garantie que même en cas de déréglage involontaire
de la lunette, on ne puisse pas dépasser le temps zéro,
soit l’heure à laquelle on peut sans risque remonter à la
surface sans observer des paliers de décompression. Un
système d’embrayage, caché sous la protection située à
«9 heures», transmet le mouvement rotatif de la lunette tournante
externe à la lunette tournante interne, à l’intérieur du
boîtier. Les amateurs de montres reconnaîtront le designPorsche
de l’Ocean 2000 aux poignées encastrées arrondies
de la lunette en titane et au design du cadran réduit à
l’essentiel. Le bord typique en biseau ne facilite pas seulement
le maniement de la lunette tournante externe lorsque
l’on porte des gants de plongée. Il confère également à
l’Aquatimer Automatic 2000 un look allégé, bien que le
diamètre du boîtier ait été porté à 46 millimètres, soit
2 millimètres de plus que celui du modèle précédent en
acier fin. Le traitement du boîtier, présentant comme d’habitude
des surfaces polies et satinées, contribue à l’esthétique
élégante de la nouvelle collection. Le cadran noir à
structure tridimensionnelle compense visuellement l’imposante
taille du boîtier. En hommage aux anciennes montres
de plongée, les index recouverts d’enduit luminescent vert
sont divisés au centre par une petite rainure. Pour éviter
toute confusion sous l’eau, la couche luminescente de
Super-LumiNova®* est de deux couleurs: vert pour les indications
relatives à la plongée, bleu pour le temps en heures.
La montre est dotée d’un affichage de la date avec réglage
rapide. L’aiguille des secondes au centre peut être arrêtée
en tirant sur la couronne pour régler la montre.
SYSTÈME BREVETÉ IWC DE
BRACELET INTERCHANGEABLE
Le bracelet en caoutchouc design «vagues» s’adapte en
souplesse à la circonférence du poignet, susceptible de
varier. Grâce au nouveau système breveté IWC de bracelet
interchangeable, le changement de bracelet s’effectue
rapidement et sans peine. Pour que la montre puisse être
portée par-dessus une combinaison étanche, un modèle
de bracelet plus long est inclus. Avec la nouvelle collection
Aquatimer, IWC renoue avec l’ancienne indication de l’étanchéité
sur le fond du boîtier: à côté d’un poisson stylisé se
trouve l’indication de la résistance à la pression exprimée
en bar. Le fond est orné d’une gravure représentant un
casque classique pour plongeurs de grands fonds.
ENSEMBLE POUR LES
GÉNÉRATIONS FUTURES
AQUATIMER CHRONOGRAPHE EDITION «GALAPAGOS ISLANDS»
AQUATIMER CHRONOGRAPHE EDITION «50 YEARS SCIENCE FOR GALAPAGOS»
Avec l’édition spéciale Aquatimer Chronographe Edition «50 Years Science for Galapagos», limitée à cinq cents exemplaires, IWC Schaffhausen célèbre le 50e anniversaire de la station de recherche Charles Darwin, une institution scientifique créée par la Fondation Charles Darwin sur les îles Galápagos. L’Aquatimer Chronographe Edition «Galapagos Islands», de construction identique, est l’expression de l’engagement d’IWC en faveur de l’archipel menacé. Pour la première fois, cette édition spéciale s’enorgueillit d’un mouvement de manufacture IWC. Les deux montres sont animées par le calibre de manufacture 89365 et se distinguent
par un élégant revêtement de caoutchouc noir.
Rares sont les savants qui ont autant changé la représentation
du monde que Charles Darwin. L’expédition de ce
naturaliste britannique, qui découvrit la clé de sa théorie
de l’évolution il y a environ 180 ans sur les îles Galápagos,
est illustrée de façon vivante dans la station de recherche
basée sur l’île de Santa Cruz. La station de recherche
Charles Darwin a été construite en 1964 sur la deuxième
plus grande île de l’archipel, et aujourd’hui, elle est sans
conteste le centre scientifique des Galápagos. Plus d’une
centaine de scientifiques, d’étudiants, d’enseignants et de
bénévoles du monde entier y travaillent pour étudier la flore
et la faune indigènes et préserver de la destruction le patrimoine
mondial des Galápagos. La station forme des guides
du parc national, organise des séminaires pour les enseignants
et les étudiants, publie le résultat de ses recherches
et collecte des dons. Les jeunes et les enfants sont sensibilisés
à la protection de l’environnement dans le cadre de
cours, d’activités artistiques et de divertissements. Car ce
«laboratoire de l’évolution» est massivement menacé. «Nous
sommes confrontés à de grands défis pour préserver la
diversité biologique de la flore et de la faune indigènes sur
les îles Galápagos pour les générations à venir», déclare
Swen Lorenz, CEO de la Fondation Charles Darwin. «À eux
seuls, la lutte contre les espèces invasives et le développement
de concepts de durabilité pour un tourisme respectueux
de l’environnement prennent énormément de temps
et sont très coûteux. Nous sommes très reconnaissants
du soutien que nous apporte IWC Schaffhausen, notre
partenaire de longue date.» L’entreprise suisse apporte son
aide à la Fondation Charles Darwin depuis 2009, contribuant
ainsi grandement à la poursuite de ses travaux de
recherche. Georges Kern, CEO de la manufacture horlogère:
«IWC Schaffhausen revendique sa responsabilité écologique
et poursuit une stratégie d’entreprise axée sur la
durabilité. En tant que manufacture de montres de plongée,
IWC se doit de participer à la sauvegarde de l’univers
unique des Galápagos, tant sur terre que sous l’eau. Nous
savons que le travail de la station de recherche Charles
Darwin pour la conservation de la diversité des espèces
sur les îles Galápagos est indispensable et lui adressons nos
meilleurs voeux pour son 50e anniversaire.» À cette occasion,IWC
lance l’édition spéciale Aquatimer Chronographe
Edition «50 Years Science for Galapagos» (réf. IW379504),
limitée à cinq cents exemplaires. L’Aquatimer Chronographe
Edition «Galapagos Islands» (réf. IW379502), de
construction identique, symbolise depuis 2009 l’engagement
de la manufacture horlogère de Schaffhausen en faveur
de l’archipel menacé. Pour la première fois, cette édition
spéciale est dotée du calibre de manufacture 89365,
ce qui confère une valeur particulière à ce modèle. Une
partie des revenus de la vente est versée à l’organisation
à but non lucratif pour soutenir ses activités scientifiques.
NOIRE COMME LA LAVE
DES ÎLES VOLCANIQUES
L’attrayant revêtement de caoutchouc noir mat du boîtier
en acier fin est une caractéristique des deux éditions Galapagos.
Il est appliqué au moyen d’un procédé complexe
de vulcanisation au cours duquel chaque boîtier est fixé au
caoutchouc sous pression et sous chaleur dans un moule
spécial. Ce matériau d’apparence chaude, à la fois résistant
et maniable, rend le port et l’utilisation des deux chronographes
particulièrement agréables. Tandis que l’AquatimerChronographe
Edition «Galapagos Islands» (réf. IW379502)
fait la part belle au contraste habituel noir-blanc – noir
comme la lave des îles volcaniques, blanc comme la
brume dont ces dernières sont souvent enveloppées –, les
aiguilles et les index de la montre anniversaire Aquatimer
Chronographe Edition «50 Years Science for Galapagos»
(réf. IW379504) se signalent par un bleu vif prononcé. Ceux
qui connaissent la faune des Galápagos associeront peutêtre
cette couleur aux exotiques fous à pieds bleus. Ce
sympathique oiseau, dont la docilité confiante et la démarche
dandinante amusaient les anciens navigateurs, est
un champion de vol et de piqué quand il fond sur sa proie.
Du plus haut du ciel, des escadrilles de fous à pieds
bleus plongent dans la mer de manière synchronisée telle
une pluie de flèches, offrant un spectacle inoubliable. Les
aiguilles et les index des deux montres sont recouverts de
plusieurs couches de Super-LumiNova®* et brillent de deux
couleurs sur le cadran dans l’obscurité. Ainsi, le plongeur
peut tout de suite voir quels sont les affichages correspondant
à l’heure ou au temps de plongée. Les nouvelles
lunettes tournantes externe et interne facilitent le maniement
lorsque l’on porte des gants de plongée ou que les
doigts sont engourdis par le froid. Le mouvement rotatif de
la lunette tournante externe est transmis à la lunette tournante
interne, à l’intérieur du boîtier,par un système d’embrayage
raffiné. Le système SafeDive d’IWC empêche que
le temps de plongée mesuré soit plus court, suite à un
déréglage involontaire. Le mouvement de manufacture IWC
calibre 89365 permet d’afficher sur le compteur du haut
les minutes chronométrées; l’aiguille du chronographe au
centre mesure les temps jusqu’à une minute. L’aiguille des
secondes dans le compteur du bas sert à contrôler le fonctionnement
et peut être arrêtée pour procéder à une synchronisation.
La fonction flyback permet de remettre le
chronomètre à zéro sur pression d’un poussoiret
de relancer instantanément un nouveau chronométrage
– l’idéal pour chronométrer les paliers de décompression.
Comme toutes les montres de la génération Aquatimer 2014, les
deux éditions Galapagos sont dotées du nouveau système
breveté IWC de bracelet interchangeable,
particulièrement pratique.
LES CINQUANTE ANS DE
LA FONDATION CHARLES DARWIN
Au cours des cinquante ans qui ont suivi son inauguration,
la station de recherche Charles Darwin a entrepris de nombreuses
initiatives pour étudier et sauvegarder l’un des
derniers paradis naturels de la planète. Des programmes
scientifiques d’élevage ont permis de préserver de la disparition
quelques espèces des légendaires tortues géantes
des Galápagos. Les animaux domestiques et sauvages
invasifs, tels que les chèvres, les chiens, les chats et les
porcs, qui représentent un immense danger pour les espèces
indigènes, ont pu être refoulés, au terme d’une lutte
qui a duré des dizaines d’années. Grâce à un programme
de quarantaine, l’introduction d’espèces invasives a été
entravée. Cela représente une tâche titanesque compte
tenu des plus de 180 000 touristes par an, des bateaux de
croisière qui accostent et d’un trafic aérien intense. D’importants
succès ont pu être obtenus, non seulement pour
les îles, mais également pour les eaux qui les entourent.
Ainsi, une réserve marine protégée a été aménagée en 1998
tout autour des îles, pour devenir en 2001 l’une des plus
grandes aires marines protégées au monde, inscrite sur la
liste du patrimoine mondial. Les îles Galápagos font partie
des biens naturels du patrimoine mondial depuis 1978 déjà.
Beaucoup d’animaux des Galápagos, comme les iguanes
marins, les oiseaux et les lions de mer, qui vivent à la fois
sur terre et dans l’eau, profitent de ces mesures de protection.
À présent, les autorités équatoriennes prennent les
mesures adéquates contre le «finning», cette pêche cruelle
qui consiste à couper les ailerons des requins. Mais il y a
encore beaucoup à faire. Actuellement, la station de recherche
lutte surtout pour préserver de la disparition les
géospizes des mangroves, une sous-espèce du pinson de
Darwin particulièrement menacée et dont il ne reste qu’environ
soixante-dix exemplaires. La fierté de n’avoir jamais
eu à déplorer la perte d’une seule espèce d’oiseau sur les
îles Galápagos motive l’ambition de ne jamais avoir à le
faire. Avec les éditions spéciales Aquatimer Chronographe
Edition«50 Years Science for Galapagos» et Aquatimer
Chronographe Edition «Galapagos Islands», IWC Schaffhausen
contribue à ce que la station de recherche Charles
Darwin puisse poursuivre ses importantes recherches sur
le terrain et son travail de sensibilisation, en versant à la
Fondation Charles Darwin une partie des revenus de la
vente, aidant ainsi à préserver l’univers fascinant de l’archipel
des Galápagos.
DU BRONZE POUR LE
FONDATEUR DE LA THÉORIE
DE L’ÉVOLUTION
AQUATIMER CHRONOGRAPHE EDITION «EXPEDITION CHARLES DARWIN»
Avec l’Aquatimer Chronographe Edition «Expedition Charles Darwin», IWC Schaffhausen poursuit le développement de montres de plongée novatrices et modernes. Ainsi, l’entreprise utilise pour la première fois le bronze pour un boîtier de montre: cet alliage métallique compte parmi les matériaux couramment utilisés dans la construction navale à l’époque de Charles Darwin. Ce garde-temps de sport est un hommage à l’un des naturalistes les plus importants, qui, aux îles Galápagos, a fait des découvertes fondamentales sur la diversité des espèces.
Octobre 1835. Après quatre ans de navigation autour du
monde, le navire hydrographique britannique HMS Beagle
jette l’ancre au large des îles Galápagos, à 1000 kilomètres
du continent sud-américain. À bord, le jeune chercheur
Charles Darwin note dans son journal de voyage la présence
d’«un groupe extrêmement bizarre de pinsons»: «Ce
qu’il y a de plus curieux, c’est la taille du bec variant d’une
espèce à l’autre. ... On] peut vraiment s’imaginer qu’à
l’origine, suite au manque d’oiseaux sur cet archipel, une
seule espèce y a pris ses quartiers et s’est différenciée
pour répondre à divers besoins.» Ensuite, le naturaliste
observe d’autres espèces d’animaux. Charles Darwin ne se
doute alors pas que cette observation et celles qui suivront
le feront parvenir à une conclusion qui bouleversera la
science naturelle ayant eu cours jusqu’ici: le monde n’est
pas immuable! Il est au contraire constamment soumis à
un processus d’adaptation. La théorie de l’évolution des
espèces et de l’origine commune de tous les êtres vivants
de Charles Darwin s’est forgée sur les îles Galápagos. En
2014, IWC Schaffhausen dédie à l’expédition historique aux
Galápagos une montre de plongée spéciale, l’Aquatimer
Chronographe Edition «Expedition Charles Darwin»
(réf. IW379503).
UNE PREMIÈRE D’ IWC EN BRONZE
L’édition spéciale Charles Darwin n’est pas seulement une
particularité de la nouvelle collection Aquatimer 2014, c’est
aussi une première pour la manufacture de Schaffhausen.
Car pour la première fois, IWC recourt au bronze pour un
boîtier de montre. L’utilisation de ce matériau de grande
tradition, produit et travaillé par les hommes depuis cinq mille
ans, s’inspire du célèbre navire d’expédition HMS Beagle.
À l’époque où il n’y avait pas encore d’acier fin, le bronze,
résistant à la corrosion, était un matériau très fréquemment
utilisé dans la construction navale, notamment pour les
hublots, les cloches, les ferrures et les instruments nautiques.
En écho au credo de Charles Darwin selon lequel
rien n’est plus constant que le changement, le bronze se
patine légèrement au cours du temps, en fonction de l’utilisation
de la montre, et prend une teinte plus foncée, ce qui
lui confère un charme particulier. Alors que le cuivre pur est
relativement tendre, le bronze high-tech utilisé par IWC est
très dur et très solide, de par l’aluminium dont est composé
l’alliage. Par ailleurs, le bronze résiste à l’usure et a
une longue durée de vie: l’idéal pour une montre d’expédition
et de plongée robuste. Le boîtier ainsi que les nouvelles
lunettes tournantes externe et interne sont en bronze.
La teinte chaude se retrouve également dans l’enduit
luminescent recouvrant les aiguilles, les index et l’échelle
graduée en quarts d’heure de la lunette tournante interne.
Le caoutchouc noir mat revêtant la couronne et les poussoirs
offre un contraste saisissant. Ce matériau résistant
permet aussi de manier plus facilement les éléments de
commande du chronographe. Le bracelet doté du nouveausystème
breveté IWC de bracelet interchangeable est également
en caoutchouc noir.
NOUVEAU SYSTÈME DE LUNETTES
TOURNANTES EXTERNE ET INTERNE
AVEC SYSTÈME SAFEDIVE D’ IWC
Comme tous les modèles de l’actuelle génération de montres
Aquatimer, ce chronographe est équipé des lunettes tournantes
externe et interne avec système SafeDive d’IWC.
Pour marquer l’heure du début d’une plongée ou d’un autre
événement, on tourne la lunette par paliers d’une minute,
précis et sonores, jusqu’à ce que le triangle de la lunette
tournante interne pointe sur l’aiguille des minutes. En cours
de plongée, le plongeur peut constamment voir sur la graduation
de la lunette tournante interne depuis combien de
temps il est sous l’eau. Le système SafeDive garantit que
la lunette tournante interne ne puisse être tournée que
dans le sens inverse des aiguilles d’une montre. Ainsi, le
temps de plongée affiché pourra à la limite être plus long,
suite à un déréglage involontaire, mais jamais plus court,
et il restera dans tous les cas assez d’air comprimé à
disposition pour remonter à la surface. Un système d’embrayage
nouvellement développé transmet le mouvement
de la lunette tournante externe à l’intérieur du boîtier. Ce
mécanisme raffiné se trouve sous la protection à «9 heures»
et caractérise la nouvelle génération Aquatimer.Les
ingénieurs ont équipé la «salle des machines» de ce
chronographe du mouvement de manufacture IWC calibre
89365, entièrement construit à Schaffhausen. Le système
efficace de remontage IWC à doubles cliquets allié à une
remarquable résistance aux chocs et aux vibrations forme
un ensemble parfait pour une montre qui peut se porter
dans toutes les situations mouvementées. L’aiguille centrale
du chronographe indique les secondes chronométrées,
tandis que la petite aiguille dans le guichet situé à «12 heures»
montre les minutes chronométrées. La fonction flyback
intégrée permet de remettre l’aiguille du chronographe à
zéro sur pression d’un poussoir et de relancer instantanément
un nouveau chronométrage. La petite aiguille des
secondes qui tourne à «6 heures» assure un contrôle
constant du fonctionnement. Elle peut en tout temps être
arrêtée pour procéder à une synchronisation. La gravure
ornant le fond du boîtier représente un portrait expressif
de Charles Darwin, dont la théorie révolutionnaire de l’évolution
a bouleversé pour toujours la pensée humaine. Cette
édition spéciale étanche 30 bar convient aussi bien à des
expéditions sur terre que sous l’eau.
PARTENARIAT AVEC LA
FONDATION CHARLES DARWIN
IWC Schaffhausen est partenaire de la Fondation Charles
Darwin depuis 2009 et vient en aide à cette organisation à
but non lucratif par des contributions substantielles. Plus
d’une centaine de collaborateurs s’engagent pour protégerles
îles Galápagos du peuplement, du tourisme de
masse, de la pêche illicite et des espèces envahissantes.
Les espèces animales et végétales invasives représentent
aujourd’hui la plus grande menace pour les espèces indigènes
car elles détruisent leurs ressources vitales. Le géospize
des mangroves surtout, une sous-espèce du pinson
de Darwin, est extrêmement menacé par une espèce
d’insectes envahissante. Il n’existe actuellement plus que
soixante-dix exemplaires environ de ces oiseaux intelligents,qui
utilisent même des outils pour se procurer leur nourriture.
C’est une course contre la montre pour préserver de
la disparition ce merveilleux exemple de l’évolution. L’infatigable
chercheur Charles Darwin (1809-1882) a dit une fois:
«Un homme qui ose perdre une heure de son temps n’a
pas découvert la valeur de la vie.» L’oeuvre de sa vie est à
elle seule une incitation à tout faire pour conserver la diversité
des espèces sur les îles Galápagos.
UN HOMMAGE À
L’«AVOCAT DES MERS»
AQUATIMER CHRONOGRAPHE EDITION «EXPEDITION JACQUES-YVES COUSTEAU»
Pour son film «Les Dragons des Galápagos», Jacques-Yves Cousteau, le plus célèbre pionnier de
la recherche océanographique, partit en expédition sur les îles lointaines dans le Pacifique en 1971. Il en ramena non seulement d’exceptionnelles prises de vue sous-marines des iguanes marins des Galápagos, mais découvrit également leur mystérieux mode de vie. IWC Schaffhausen dédie l’Aquatimer Chronographe Edition «Expedition Jacques-Yves Cousteau» à ce voyage de recherche riche d’enseignements.
La Calypso fend avec ardeur les eaux du Pacifique. Appuyé au
bastingage, l’indispensable bonnet rouge tiré sur son
front, l’océanographe Jacques-Yves Cousteau (1910-1997)
observe la côte avec attention. Sur les rochers volcaniques,
les iguanes marins des Galápagos se prélassent au soleil
avant de glisser dans l’eau pour se nourrir d’algues au fond
de la mer. Personne auparavant ne les a observés systématiquement
sous l’eau. Nous sommes en 1971, et l’exploration
scientifique des mers n’en est qu’à ses débuts. Plongeur
aventurier, défenseur engagé de l’environnement et
cinéaste sous-marin couronné de nombreux prix, Cousteau est
depuis longtemps une légende. Pour sa série télévisée
«L’Odyssée sous-marine du Commandant Cousteau», il part
en expédition avec ses compagnons de lutte sur les îles
lointaines des Galápagos, pour prouver l’existence de ces
fossiles vivants. Ce pionnier de la plongée plein d’enthousiasme
est fasciné par la capacité qu’ont les iguanes,
dépourvus de branchies, de rester pendant 30 minutes
sous l’eau, à une profondeur pouvant atteindre 15 mètres.
«L’équipage de la Calypso a une raison particulière de
s’intéresser aux iguanes marins, confie Cousteau dans son
film «Les Dragons des Galápagos», car nous cherchons toujours
de nouvelles possibilités de faire de l’homme un meilleur
plongeur.» Codéveloppeur du premier détendeur, cet
ingénieur passionné de technique a grandement contribué
à la popularité du sport de plongée. C’est même finalement peut-
être à lui que l’on doit le fait qu’IWC se soit intéressée
au marché croissant des montres de plongée au milieu des
années 1960 et a présenté en 1967 la première Aquatimer
étanche 200 mètres, ce qui a fait sensation à cette époque.
La manufacture de Schaffhausen n’a pas seulement en
commun avec Jacques-Yves Cousteau un esprit pionnier
sur le plan technique et la passion de la perfection, elle
partage aussi avec lui son engagement en faveur d’un
environnement intact et propice à la vie. C’est la raison
pour laquelle elle a déjà dédié six éditions spéciales à cet
«avocat des mers» visionnaire. En 2014, année des montres
de plongée IWC, l’Aquatimer Chronographe Edition
«Expedition Jacques-Yves Cousteau» (réf. IW376805)
rappelle la fantastique expédition de la Calypso à l’archipel
des Galápagos.
UNE MONTRE TYPIQUE COUSTEAU
La nouvelle édition spéciale IWC est reconnaissable au
premier coup d’oeil comme une montre typique Cousteau:
le cadran bleu marine avec lunette tournante interne et la
petite aiguille des secondes rouge corail dans le compteur
à «9 heures» sont un hommage à la passion que Cousteau
a entretenue toute sa vie pour les récifs de coraux. De
construction identique à celle de l’Aquatimer Chronographe,
ce garde-temps en acier fin dispose de toutes les propriétés
attendues d’une montre de plongée adaptée aux
expéditions. Le mécanisme nouvellement développé de lunettes
tournantes externe et interne, avec système SafeDive
d’IWC prévenant un déréglage involontaire, rend l’utilisation de
la montre de plongée plus pratique, de même que
l’étanchéité, portée de 12 à 30 bar. La fonction du chronographe
permet de chronométrer des temps intermédiaires
et additionnels jusqu’à 12 heures, bien entendu aussi sous
l’eau. Cela fait de cette montre un précieux système de
back-up pour la plongée, notamment pour mesurer le
temps de décompression. L’enduit luminescent Super-LumiNova
®* assure une excellente lisibilité sous l’eau, que
ce soit dans l’obscurité ou en cas de mauvaise visibilité.
Pour éviter toute confusion, le revêtement luminescent des
aiguilles et des index est de deux couleurs: vert pour les
affichages relatifs au temps de plongée, bleu pour le temps
en heures, la petite aiguille des secondes rouge corail brillantaussi
dans l’obscurité, ce qui permet le contrôle constant
des fonctions. La montre est dotée d’un affichage du jour
de la semaine et de la date. La gravure sur le fond montre
le Commandant, comme on surnomme Jacques-Yves
Cousteau, avec son bonnet en laine caractéristique. La
montre est livrée avec un bracelet en caoutchouc noir et
est dotée du nouveau système breveté IWC de bracelet
interchangeable. Le remplacement du bracelet en caoutchouc
par le bracelet en acier fin disponible en option peut
ainsi s’effectuer aisément chez soi.
IWC ET THE COUSTEAU SOCIETY
Pendant l’expédition aux Galápagos, l’équipage de Cousteau
a accompagné jusqu’au fond de la mer les iguanes
marins ressemblant à des dragons préhistoriques. Vu le
peu de nourriture à disposition sur l’archipel, ils doivent
aller la chercher dans les eaux froides de l’océan, bien que,
comme tous les animaux à température variable, ils n’aiment
pas l’eau froide. «Ils ne plongent que pour rester en
vie», disait Cousteau en plaignant ces créatures capables
de s’adapter. Lui, par contre, plongeait parce qu’il aimait la
mer. Avec ses films et les articles qu’il a publiés, Cousteau
a permis à des millions de personnes de découvrir avec
fascination un monde inconnu jusqu’ici et les a fait participer
à la découverte des derniers mystères de la planète
bleue. En 1973, Jacques-Yves Cousteau fonda The Cousteau
Society, une organisation à but non lucratif consacrée à la
protection de la vie marine. Depuis 2004, IWC est partenaire
de The Cousteau Society et soutient l’organisation dans la
création d’aires marines protégées («Marine Protected
Areas»), l’une des manières les plus efficaces de préserver
le fragile univers sous-marin de la surpêche, de la pêche
illicite et de la destruction de l’environnement. Une partie
des revenus de la vente de chaque Aquatimer Chronographe
Edition «Expedition Jacques-Yves Cousteau» est
reversée à The Cousteau Society et contribue ainsi à réaliser
les dernières volontés de l’écologiste engagé.
UN SIGNAL LUMINEUX VENANT
DES PROFONDEURS
AQUATIMER CHRONOGRAPHE
AQUATIMER AUTOMATIC
Charles Darwin attribuait les meilleures chances de survie à l’espèce la plus apte à s’adapter. De
ce point de vue, les chances de succès de la nouvelle Aquatimer Chronographe et de la nouvelle
Aquatimer Automatic d’IWC Schaffhausen sont grandes. Car le perfectionnement par rapport aux modèles précédents est bien visible, non seulement par leur surcroît d’élégance, mais aussi en affichant une résistance à la pression nettement plus élevée.
C’est à leurs côtes escarpées en pierre volcanique noire
où viennent se briser les vagues argentées du Pacifique
et où les iguanes, amphibiens, se prélassent au soleil que
l’on reconnaît les îles Galápagos, une terre sauvage au
croisement de l’évolution. Les designers IWC se sont inspirés
de la juxtaposition des éléments pour l’élégante combinaison
du noir et de l’argent qui distingue la nouvelle
Aquatimer Chronographe (réf. IW376801/IW376802/
IW376803/IW376804) et la nouvelle Aquatimer Automatic
(réf. IW329001/IW329002/IW329003/IW329004). Chacune des
quatre variantes de ces deux garde-temps est proposée
avec un cadran noir ou argenté, et avec un bracelet
en caoutchouc noir ou en acier fin. Le design sobre du
cadran et l’échelle graduée en quarts d’heure sur la lunette
tournante interne renouent avec le look de la première
Aquatimer de 1967. Par contre, la forme étroite et biseautée de
la lunette tournante externe et ses poignées encastrées
arrondies s’inspirent du légendaire design Porsche de la
montre Ocean 2000 de 1982. Les nouvelles lunettes tournantes
externe et interne confèrent à l’actuelle collection
Aquatimer une esthétique d’ensemble raffinée, malgré
l’ajout d’une protection du système d’embrayage sur le
côté gauche du boîtier. Les surfaces polies et satinées contribuent
à l’élégance distinguée de ces modèles. Avec leurs
teintes et leur design sobres, les montres Aquatimer de
l’année 2014 peuvent se porter aussi bien pour la plongée
que pour une expédition aux îles Galápagos ou lors d’une
réunion d’affaires.
DEUX SYSTÈMES – UN SUCCÈS
D’un point de vue technique, le mécanisme de lunettes
tournantes externe et interne nouvellement développé représente
un formidable saut en avant dans l’évolution des
montres de plongée IWC. Pendant près d’un demi-siècle,
les Aquatimer de Schaffhausen ont été pourvues soit d’une
lunette tournante interne, soit d’une lunette tournante
externe, des arguments de poids plaidant pour chacune
des deux variantes. L’une des fonctions essentielles d’une
montre de plongée est que l’utilisateur puisse vérifier à tout
moment depuis combien de temps il est sous l’eau et qu’il
puisse calculer facilement combien de temps va encore
durer la réserve d’air comprimé dans la bonbonne. C’est
la raison pour laquelle le triangle signalant le début d’une
plongée, ledit point zéro, est synchronisé avec l’aiguille des
minutes. Désormais, l’échelle graduée qui tourne en même
temps que la lunette permet de lire précisément le temps
de plongée écoulé. Sur la lunette tournante interne des
anciens modèles, le réglage du temps zéro s’effectue
à l’aide d’une seconde couronne située à «4 heures», un
déréglage involontaire étant pratiquement exclu. De plus,
le revêtement luminescent sous le verre du cadran est
parfaitement protégé contre la saleté et les rayures. En
revanche, une couronne ne se manie pas aussi facilement
qu’une lunette tournante externe. C’est pourquoi les techniciens
IWC ont opté pour une lunette tournante externe
ne pouvant, par sécurité, être tournée que dans le sens
inverse des aiguilles d’une montre. En cas de déréglage
involontaire de la lunette, le plongeur peut seulement arriver à
la conclusion qu’il est sous l’eau depuis trop longtemps
et qu’il doit bientôt remonter à la surface, ce qui peut s’avérer
contrariant, mais sans risque. Les nouvelles lunettes
tournantes externe et interne avec système SafeDive d’IWC
de la collection Aquatimer 2014 réunissent confort d’utilisation
et sécurité. Le mouvement de la lunette tournante
externe est transmis via un système d’embrayage au
brevet déposé sur la lunette tournante interne dotée d’un
repère triangulaire et d’une échelle graduée indiquant le
temps de plongée.
PRÉCISION HORLOGÈRE JUSQUE
DANS LES GRANDS FONDS MARINS
Sur les deux montres, la résistance à la pression portée de
12 à 30 bar augmente la sécurité lorsque l’on plonge à
de grandes profondeurs. Le grand boîtier en acier fin de
44 millimètres de l’Aquatimer Chronographe abrite le robuste
mouvement de chronographe calibre 79320 offrant
44 heures de réserve de marche. La fonction du chronométrage
permet de chronométrer des temps intermédiaires
et additionnels jusqu’à 12 heures et se révèle également
un partenaire fiable lors de plongées prolongées. Même en
ce qui concerne les systèmes redondants, les plongeurs
attachent une grande importance à disposer en tout temps
d’un contrôle constant du fonctionnement. C’est ce qu’assure
dans le chronographe la petite aiguille des secondes
tournant en permanence dans le guichet à «9 heures».
Malgré les trois compteurs ainsi que l’affichage de la date
et du jour de la semaine, le cadran reste clairement agencé.
Avec son boîtier de 42 millimètres de diamètre, l’Aquatimer
Automatic est le plus petit modèle de la famille des montres
de plongée IWC. Elle est animée par le calibre 30120. Dans
la version avec cadran noir, le revêtement luminescent
recouvrant les affichages relatifs à la plongée est de couleur
verte. Dans la version avec cadran argenté, la couleur
de l’enduit luminescent est moins vive à la lumière du jour.
Dans l’obscurité et en cas de mauvaise visibilité, l’enduit
luminescent multicouche Super-LumiNova®* est de deux
couleurs et garantit une excellente lisibilité.
Le système breveté IWC de bracelet interchangeable, qui
caractérise la génération Aquatimer 2014 et dont sont dotés
les deux modèles susmentionnés, s’avère particulièrement
pratique et sûr. Il permet de remplacer rapidement et simplement
un bracelet en acier fin par un bracelet en caoutchouc
et vice-versa. Tous les nouveaux bracelets des Aquatimer
sont compatibles entre eux.
Langue originale: français
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