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CHRISTOPHE CLARET - Semaine horlogère à Genève
 
Le 27-01-2014
de Christophe Claret SA

Poker
Un nouveau coup bluffant de Christophe Claret


Nouvelle démonstration de l’audacieux savoir-faire de Christophe Claret : la montre Poker. L’horloger abat une nouvelle carte dans le brelan de ses créations de Haute Horlogerie interactive.

Il y a eu la 21 Blackjack et la Baccara. Voici Poker, dernière née de la trilogie des montres de jeux de Christophe Claret. Ou comment un maître horloger à l’imagination fertile parvient à concevoir la mécanique d’un jeu de cartes sophistiqué et à l’enfermer dans un boîtier de 45 mm de diamètre avec un nombre incroyable de possibilités de jeu, le tout pour trois joueurs et la banque. S’il s’ingénie à relever les défis les plus invraisemblables, Christophe Claret aime aussi lier l’agréable à l’utile.

Poker devait en réalité être le premier des garde-temps ludiques lancés par la manufacture du Soleil d’Or. Si le jeu paraît simple à organiser sur une table, sa version horlogère est une performance de haut vol. Aucune solution technique n’avait été trouvée par les cinq constructeurs de la manufacture, en relation avec la complexité du jeu. Pour l'anecdote, c'est Christophe Claret qui a rêvé de l'idée géniale permettant enfin sa réalisation il y a deux ans. Seulement, du rêve à la réalité, le chemin est souvent long. En concevoir les engrenages et les réunir dans un mouvement mécanique – autrement dit instrumenter un jeu complet de 52 cartes et y inclure les règles du poker – est un réel exploit qui offre à la Haute Horlogerie de nouvelles perspectives techniques. Au total, la montre combine 32'768 parties de jeu différentes, soit 98'304 pour trois joueurs. Les probabilités de gain ont été calculées de sorte qu’ils aient tous sensiblement les mêmes chances de l’emporter.

Aujourd’hui la manufacture est fière de présenter cette nouvelle montre automate, exceptionnelle à bien des égards. Elle permet en effet de s’adonner à de véritables parties à trois joueurs, selon la variante la plus populaire du poker : le Texas Hold’em. Pour rappel des règles, une partie de Texas Hold’em débute avec la distribution de deux cartes fermées par joueur, c’est à dire visibles par lui seul. Progressivement s’ajoutent cinq cartes ouvertes : trois appelées le flop, après le premier tour de mise ; une carte supplémentaire, le turn, après une nouvelle mise ; et enfin une dernière, la river. Pour avoir la meilleure main au Texas Hold’em poker, il est nécessaire d’avoir la meilleure combinaison possible de cinq cartes parmi les sept dont le joueur dispose.

Ainsi est né le mouvement PCK05. Pas moins de 655 pièces composent ce calibre manufacture à remontage automatique, entièrement inédit, doté de deux barillets pour une réserve de marche de 72 heures environ. Les nuits s’annoncent blanches… Qu’à cela ne tienne, outre ses fonctions ludiques, la montre n’omet pas de donner l’heure à l’aide d’un duo d’aiguilles central.

Personne jusqu’ici n’avait la compétence de transposer le jeu du poker sur une montre automate. Une gageure en soi. La simplicité d’utilisation de Poker est aussi impressionnante et inattendue que sa complexité intrinsèque. Trois joueurs se confrontent autour de la montre. La première donne s’effectue via un poussoir à 9h. Celui-ci arme un ressort qui lance simultanément quatre disques concentriques, dont un en saphir, sur lesquels sont imprimées les cartes. Aucun moyen de spéculer selon la position des disques. Après quelques instants, des sautoirs viennent les immobiliser au hasard. Tous les disques sont montés sur des roulements à billes en céramique ou en rubis afin de tourner le plus librement possible.

Une fois le poussoir à 9h actionné, les cartes ainsi mélangées sont distribuées à 6h, 10h30 et 2h30 dans des guichets. Un ingénieux mécanisme de persiennes orientées les rend invisibles aux autres joueurs. Après cette première mise, le poussoir à 10h révèle le flop, soit trois cartes qui apparaissent à gauche du cadran. Un autre poussoir à 8h dévoile à son tour le turn, une carte à droite du cadran. Enfin, le même poussoir distribue la river, également à droite du cadran. Fidèle à sa maîtrise des montres à sonnerie, Christophe Claret n’a pas omis de doter celle-ci d’un timbre cathédrale qui retentit à chaque pression des correcteurs flop et turn/river. Le temps du showdown est arrivé.

Entièrement fabriqué et assemblé au sein de la manufacture, le cadran de la montre Poker a été réfléchi pour atteindre une parfaite lisibilité de l’heure et du jeu. Décor subtil, un anneau noir mat, ajouré de cartes à jouer, se pose sur un fond argenté. Emblématiques de la marque, les aiguilles en rubis et en titane – parmi les plus coûteuses à réaliser en raison de la complexité d’usinage de ces matériaux précieux – sont rehaussées de matière luminescente. Les heures sont suggérées directement sur la lunette afin de ne pas alourdir la scène. Comptant tout de même 77 composants, le cadran parfaitement équilibré permet aux trois protagonistes de jouer avec toute la concentration requise. Dernier détail que les aficionados apprécieront, un simple souffle d’air formant de la buée sur le saphir de la montre fera apparaître une pin-up… Bienvenue dans l’univers du casino !

Un univers qui se poursuit au dos de la montre. Le fond transparent ouvre en effet le panorama sur la roulette, incarnée par la masse oscillante. Cette construction du rotor de remontage est iconique de la collection de montres interactives de Christophe Claret. Une fois lancée par un ou deux mouvements ondulatoires, la masse oscillante pivote quelques instants avant de s’immobiliser : les jeux sont faits ! Une flèche pointe l’un des 37 chiffres apposés sur un réhaut interne. Serait-ce par hasard votre chiffre fétiche ? S’il l’était, il aurait été placé à l’aide d’une clé spéciale face à une émeraude verte sertie sur le fond. Une personnalisation très appréciée par ceux qui croient en leur Lucky Number.

Disponible en quatre versions – bicolore en titane grade 5 noirci PVD et or gris ou titane grade 5 noirci PVD et or rose – monochrome en titane grade 5 PVD noir avec aiguilles en spinelle bleue ou en rubis rouge - la montre Poker dispose d’un brevet mondial. Chaque exécution est limitée à 20 exemplaires. Un garde-temps d’exception qui, tel un coup de poker, ne sera remporté que par quelques amateurs avertis et joueurs passionnés.

Il était une fois…

… un jeune horloger passionné par la mécanique complexe du temps, né à Lyon en 1962.
Diplômé de l’Ecole d’Horlogerie de Genève, il prend ses marques auprès du cabinotier Roger Dubuis avant d’ouvrir son propre atelier de restauration de pièces anciennes dans la maison familiale. Si le destin de Christophe Claret semble tracé, 1987 sera l’année de la reconnaissance par ses pairs : Rolf Schnyder, alors propriétaire de la marque Ulysse Nardin, impressionné par un mouvement à répétition quarts avec Jacquemart conçu par Christophe Claret, lui commande vingt calibres à répétition minutes avec Jacquemart San Marco. La scène se déroule à Bâle, lors du Salon International de l’Horlogerie. Sous cette impulsion, l’horloger français fonde en 1989 la Manufacture Claret à la Chaux-de-Fonds, berceau mondial de l’industrie horlogère. Le temps ne se fera pas attendre avant que la manufacture ne s’impose dans la cour des grands pour sa maîtrise des mouvements à complications.

Travaillant dans l’ombre de marques prestigieuses, Christophe Claret honore également des commandes spéciales pour des collectionneurs avertis, créations qu’il signe de son nom. Il faut attendre 2009 et la DualTow pour que le public découvre son talent d’horloger déjà plébiscité par la profession. Aujourd’hui, la marque Christophe Claret appartient de plein droit au cercle très exclusif des maisons indépendantes maîtrisant l’entier de la chaîne de fabrication d’une montre de Haute Horlogerie, de l’idée originelle aux réglages finaux.

A savoir-faire complet et unique, collection exclusive qui repousse les frontières du possible et propose des manières inédites de lire le temps. Trois lignes cristallisent un savoir-faire nourri par le respect pour la tradition et la liberté de créer : la ligne Montres à Complications Traditionnelles accueille les pièces uniques et les modèles d’exception qui réinventent la mesure du temps ; la ligne Montres à Complications Extrêmes se dédie à des créations aussi audacieuses qu’insolentes ; la ligne Montres à Complications Ludiques Interactives s’ingénie à rappeler que le temps est aussi une récréation.

« En horlogerie, tout a été fait, tout reste à faire » : credo ou rituel, la formule de Christophe Claret investit chaque étape de conception dans les ateliers de la manufacture. L’horloger s’inspire du patrimoine et de la tradition pour créer l’exception et la surprise. Ses montres rivalisent de technicité et d’innovation, offrant aux plus classiques des grandes complications une nouvelle forme d’expression. Parfois ludiques, souvent spectaculaires, les garde-temps portent en eux l’émotion de la découverte, la discipline et l’intuition qui savent métamorphoser un horloger en un artiste.

Le maître horloger

Rien ne prédestinait le jeune Claret à faire sienne la ronde du temps. Ce n’est qu’au hasard d’une visite chez un horloger-restaurateur, alors qu’il n’a que 14 ans, que l’évidence s’impose. Dès lors, la mécanique du temps se meut en passion. Il n’a pas 20 ans lorsqu’il sort diplômé de l’Ecole d’Horlogerie de Genève et prolonge son cursus auprès du cabinotier Roger Dubuis qui lui transmet les secrets de la restauration et lui conte les mystères de la complication…

De retour dans sa ville natale, Christophe Claret installe son premier atelier d’horlogerie dans la maison familiale. Il se spécialise alors dans la réfection de pièces anciennes, se perfectionne dans les finitions et se lance dans la réalisation de montres squelettes.

1987, année de la révélation : au Salon International de l’Horlogerie de Bâle, où il se rend pour la première fois, Christophe Claret fait la connaissance d’une personnalité qui va changer sa vie. Rolf Schnyder, industriel suisse qui vient d’acquérir la marque Ulysse Nardin, lui commande vingt mouvements à répétition minutes avec Jacquemart San Marco. L’impulsion est donnée. Après avoir créé une première société deux ans plus tard, il porte sur les fonts baptismaux la Manufacture Claret.

En une décennie, son nom devient une référence dans le domaine des mouvements à complications. Après Ulysse Nardin, dix-sept autres clients prestigieux - parmi lesquels Franck Muller, deGrisogono, Girard-Perregaux, Jean Dunand et Harry Winston - s’adressent à lui pour leurs calibres les plus complexes. Christophe Claret décide alors de donner à sa société un nouvel écrin, digne de sa réputation et de ses ambitions. En 1999, il fait l’acquisition d’une ancienne bâtisse sur les hauteurs de la ville du Locle, à deux pas du Musée d’Horlogerie des Monts : le Manoir du Soleil d’Or. Il y emménage ses ateliers, redonnant son âme à cette demeure, jadis propriété de l’horloger Urban Jürgensen.

De 2002 à 2008, la Manufacture ajoute à ses ateliers 2000 m2 supplémentaires. Aujourd’hui à la pointe du savoir-faire et de la technologie, elle emploie près d’une centaine de personnes parmi les plus qualifiées et réunit plus de trente métiers.

Tout en concevant des mouvements hors norme pour de prestigieuses marques, Christophe Claret réalise des montres signées de son nom, souvent pièces uniques commandées par des collectionneurs séduits par sa maîtrise. Une activité discrète dans un premier temps, qui va se révéler au grand jour en 2009 lorsqu’à l’occasion de la célébration des 20 ans de la Manufacture, Christophe Claret conçoit la DualTow. Ce concentré mécanique de tout le talent de l’horloger inaugure alors une liberté de créer qui verra naître des pièces exclusives d’une grande complexité.

La marque Christophe Claret fait aujourd’hui partie du cercle très fermé des maisons de Haute Horlogerie, qui plus est indépendante, concevant, développant et produisant l’entier de ses mouvements et boîtes à l’interne. Une situation exceptionnelle dans le paysage helvétique, qui la place à l’avant-garde de la création et de l’innovation horlogères.

La manufacture

Imposer son nom dans l’univers de la Haute Horlogerie est un défi que très peu d’horlogers sont capables de relever aujourd’hui. Pour se faire, les critères de qualité et de qualification sont perpétuellement remis en question chez Christophe Claret. Le respect de la tradition horlogère, de même que celui des savoir-faire ancestraux, s’accompagne de la quête d’innovation et d’excellence.

Parce qu’il a compris que l’environnement influence la créativité et la qualité, Christophe Claret a toujours veillé à offrir à son personnel un cadre de travail privilégié. Les bureaux et les ateliers sont régulièrement améliorés, de même que l’organisation du travail qui favorise la communication et l’échange. Les employés bénéficient d’un équipement ultramoderne dans un lieu baigné de sérénité.

Christophe Claret investit en effet chaque année dans l’outil de production, n’hésitant pas à concevoir ses propres machines sous le nom de Christophe Claret Engineering. La machine à découpe laser « Flashcut Laser » conçue par l’entreprise permet d’atteindre une précision et une rapidité de découpe jusqu’à ce jour inégalées. La CNC de 16 axes simultanés, dont la conception et la mise au point ont demandé trois ans de travail, est dédiée à la fabrication des platines et des boîtes les plus compliquées de la manufacture.

Les nouveaux modèles de montres prennent vie dans le bureau d’études. Constructeurs de mouvements, concepteurs habillage, designers et infographistes donnent formes et couleurs à des complications exceptionnelles imaginées par Christophe Claret. Puis les ateliers prennent le relais. Les centaines de composants des mouvements sont patiemment façonnés par des artisans de haut vol, assistés par des technologies de dernier cri. Opérateurs CNC, décolleteurs, galvanoplastes, acheveurs ou opérateurs de traitements thermiques reproduisent des gestes précis répondant aux plus hautes exigences du métier.

Aux côtés des machines, les petites mains de l’horlogerie, celles des artisans et des horlogers, pratiquent leur métier comme un art issu de temps révolus, mais plus que jamais vivace. La Haute Horlogerie, comme peu d’autres secteurs, ne pourrait perdurer sans ces qualifications extrêmement pointues, souvent artisanales. Une part importante du travail reste ainsi exclusivement réalisée manuellement. Là réside la magie de la Haute Horlogerie. Les spécialistes de l’anglage, de l’ébavurage, de l’étirage ou de la décoration font valoir leurs années d’expérience transmise bien souvent de génération en génération. Les travaux de guillochage, de gravure ou d’émaillage sont confiés aux plus grands artisans d’art de Suisse. Enfin, les maîtres horlogers de la manufacture ont la responsabilité d’assembler leur mouvement de A à Z.

Toutes les pièces sont ensuite minutieusement contrôlées dans l’atelier THF (Test, Homologation, Fiabilité) et reçoivent un certificat de production. Les montres à sonnerie font l’objet d’une attention particulière : pour garantir une mélodie parfaite, la qualité des timbres, la fréquence et la durée des notes ainsi que leurs intervalles sont vérifiés par ordinateur. Chaque pièce est finalement validée par Christophe Claret en personne.

Les collections

Montres à Complications Traditionnelles

Kantharos

Chronographe mono-poussoir à sonnerie sur timbre cathédrale avec force constante, la montre s’offre un échappement à force constante qui lui assure une précision extrême en diminuant sensiblement ses écarts de marche. En continuel mouvement, ce mécanisme s’admire sous un pont saphir minutieusement anglé qui ne cache rien du savoir-faire du maître horloger.

Kantharos intègre à la mesure des temps courts un système de sonnerie intelligent qui se déclenche à chaque mode, start, stop et reset. Le chronographe fait preuve d’une fiabilité et d’une performance hors pair. Son système d’embrayage à roue à colonnes, inspiré des mécanismes automobiles, permet d’éviter le saut de l’aiguille au démarrage et ainsi d’augmenter la précision de la mesure. Utile, fonctionnel, le dispositif, également ludique, joue sur l’interactivité sensorielle – manuelle et acoustique – entre l’instrument et son détenteur.

Le calibre Kantharos, mouvement mécanique à remontage automatique, dispose des premiers composants fabriqués en M-15X. Ce matériau jamais encore utilisé dans l’horlogerie et développé avec la société L.Klein SA, témoigne de l’attention particulière portée par Christophe Claret pour la R&D, que ce soit en termes de complications horlogères, de machinerie ou de matériaux. Acier issu de la métallurgie des poudres, une technique de fabrication lui garantissant une microstructure homogène et un grain extrêmement fin, le M-15X permet d’obtenir des terminaisons polies bloquées d’une qualité remarquable.

Soprano

Soprano associe deux des plus belles complications horlogères, tourbillon et répétition minutes avec carillon Westminster, mises en valeur par des ponts ajourés inspirés du style Charles X. La boîte ronde marie subtilement les métaux précieux, or et titane, dans un esprit réunissant tradition et modernité, deux valeurs fondatrices de la manufacture.

Totalement inédit, le mécanisme de répétition minutes est capable de jouer les quatre notes du carillon londonien. Cette complication supplémentaire suppose la présence de quatre timbres cathédrale et quatre marteaux, visibles grâce à l’absence de cadran. Un soin particulier a été apporté à la qualité sonore de la pièce. Pour cette réalisation comme pour les précédentes répétitions minutes, Christophe Claret a mis l’accent sur la fabrication du timbre, en acier tréfilé, sur la qualité de son accordage, sur la conception de la boîte, de même que sur l’interconnexion entre le mouvement et la boîte. Ils bénéficient également d’une invention déjà brevetée par la manufacture, consistant à éviter vibrations et chocs.

Adagio

De facture classique, faisant la part belle à la plus pure tradition horlogère technique et esthétique, Adagio est équipée d’un calibre entièrement conçu, développé et réalisé à l’interne. Constitué de 455 composants, il instrumente les fonctions heures et minutes, petite seconde, grande date et second fuseau horaire avec indication du jour et de la nuit.

En clin d’œil à sa première création, Christophe Claret a voulu équiper ce garde-temps d’une répétition minutes, complication majeure de la Haute Horlogerie devenue l’une des grandes spécialités de la manufacture. Sonnant à la demande les heures, les quarts et les minutes, les timbres cathédrale du mécanisme sont munis d’un dispositif breveté leur évitant de s’entrechoquer lorsqu’ils vibrent sous les coups des marteaux. Brevetée également, la grande date, dont la construction est novatrice.

Montres à Complications Extrêmes

X-TREM 1

X pour Experimental, T pour Time, R pour Research, E pour Engineering, M pour Mechanism. Montre tourbillon utilisant un système d’aimantation pour l’affichage des heures et des minutes, X-TREM 1 incarne la volonté de Christophe Claret de repousser les limites de la mécanique horlogère en y intégrant des domaines de recherche inédit.

Un pari plus qu’audacieux : introduire des champs magnétiques - les pires ennemis de la mécanique horlogère - au cœur d’une montre. Christophe Claret a conçu un système composé de deux sphères d’acier qui indiquent les heures et minutes, isolées à l’intérieur de tubes de saphir de part et d’autre de la carrure, qui se meuvent grâce à des aimants miniatures. Les sphères, qui paraissent flotter à l’intérieur des tubes, n’ont aucune connexion mécanique avec le mouvement.

L’ensemble de la construction et des finitions de ce garde-temps répondent aux exigences extrêmes de la manufacture. La platine curvexe en trois dimensions et les ponts sont en titane ultra-léger, une première pour un calibre aussi complexe. Le tourbillon volant est muni d’un double roulement à billes en céramique qui accroît sa résistance aux chocs.

DualTow

Réalisé à l’occasion du vingtième anniversaire de la Manufacture Claret, ce chronographe mono-poussoir planétaire à sonnerie et tourbillon est pourvu de plusieurs inventions, dont une brevetée. DualTow propose en outre un affichage inédit de l’heure et des minutes par courroies. Son calibre mécanique à remontage manuel abrite de multiples innovations et raffinements, tel un timbre qui résonne chaque fois que le poussoir du chronographe est actionné.

Imaginée comme une montre « à la carte », elle n’a été produite qu’à 68 exemplaires, tous uniques par leur esthétique. Parmi eux, la DualTow NightEagle fait référence à divers univers : celui des avions furtifs à l’image du F-117 Night Hawk américain, celui de la Reventon de Lamborghini et celui des machines lourdes et puissantes, telles les modules lunaires, dont les chenilles ont inspiré l’affichage par courroies de la montre.

Montres à Complications Ludiques Interactives

Poker

Montre automate d’exception ayant nécessité deux constructeurs à temps plein et plus de deux ans de recherche, Poker permet de s’adonner à de véritables parties à trois joueurs, selon la variante la plus populaire du poker : le Texas Hold’em. La gageure : mécaniser un jeu complet de 52 cartes tout en respectant les règles du poker et en prévoyant un nombre important de possibilités de jeu : au total, la montre combine 32'768 parties de jeu différentes, soit 98'304 pour trois joueurs. Les probabilités de gain ont été calculées de sorte qu’ils aient tous sensiblement les mêmes chances de l’emporter.

Deux poussoirs actionnent les donnes flop, turn et river à chaque tour de mise. Sur le cadran, trois guichets dotés de persiennes accueillent les cartes de chaque joueur, rendues invisibles aux autres par un système de persiennes orientées. Fidèle à sa maîtrise des montres à sonnerie, Christophe Claret n’a pas omis de doter Poker d’un timbre cathédrale qui retentit à chaque pression des correcteurs.

Baccara

Créative, ludique et non conventionnelle, Baccara s’inspire librement du monde du jeu. Elle abrite un casino miniature qui, aux fonctions traditionnelles du garde-temps, ajoute des complications totalement originales, tels un baccara, une roulette et des dés, le tout avec effets sensitifs. Les cartes du baccara sont distribuées par une simple pression sur les poussoirs correspondant au joueur ou à la banque. Dès qu’une carte est dévoilée, une sonnerie retentit. Les dés sont logés dans une cage placée à 4h ; la roulette figure sur le fond de la montre, où la masse oscillante joue le rôle de plateau tournant.
Selon le modèle, un dragon, un serpent ou un tigre, en titane noir, lapis-lazuli ou jade, trône sur le cadran comme signe de bonne fortune.Une symbolique également exprimée dans l’idéogramme chinois de la chance qui se révèle sur le verre saphir lorsqu’on souffle sur la montre : la chaleur de l’air expiré le fait apparaître quelques secondes, grâce à un procédé de métallisation de la glace saphir développé spécialement pour Christophe Claret.

21 Blackjack

Casino miniature alliant mécanique de précision et univers du jeu, 21 Blackjack instaure le concept de montre récréative. Les dés logés dans une cage sont visibles par une fenêtre latérale dans la carrure. La roulette se situe au dos de la montre, tandis que la masse oscillante prend des allures de plateau tournant. Enfin, le blackjack impose ses règles sur le cadran.

Sur la section inférieure du cadran apparaissent dans des guichets les quatre cartes du joueur. Dans la partie supérieure sont disposés trois guichets supplémentaires proposant les cartes de la banque. Un poussoir arme un ressort qui lance simultanément les sept disques en or sur lesquels sont imprimées les cartes. Après quelques secondes, des sautoirs viennent les immobiliser au hasard. A chaque ouverture de volet, de la part du joueur ou de la banque, résonne une sonnerie.

Langue originale: français

 



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