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OCULUS CHRONO : Argentique Grise

La photographie argentique est une technique qui permet de fixer les images sur papier en utilisant la lumière émise par un objet ou un paysage. Le terme argentique désigne en fait
les émulsions d’argent utilisées par les pellicules, en opposition à la photographie numérique.

À l’occasion de Baselwolrd 2014, Valbray dite l’Oculus Chrono Argentique en version grise.
Hommage à l’univers de la photographie, dont d coule le syst me d’ouverture à diaphragme circulaire de Valbray, ce garde-temps d’exception offre des finitions et des coloris qui rappellent
celles des appareils photographiques 35 mm, comme les mythiques Leica M6 et M7 ou encore les Contax.

Le joli contraste de noir et blanc est le leitmotiv de la montre. Il est premièrement présent entre le boîtier en titane grade 5 et le noir du rehaut et des poussoirs. Ensuite, il est également offert par le cadran, où la fine grille acier en nid d’abeille survole une base en noir mat.

Le jeu d’opposition est aussi exprim par les finitions, qui alternent le satin au poli.

La lunette est ornée de gravures blanches rappelant celles présentent sur les objectifs des appareils photo. Dans le même esprit, son profil ainsi que la couronne offrent une finition «clous de Paris» qui intensifie le lien avec l’univers de la photo. Enfin la touche de vert de l’aiguille chrono et du V. de la lunette, restent fid le à l’unique code couleur de ces appareils (avec le rouge, présent sur la version Argentique noir).

L’Oculus Argentique est équipée d’un mouvement Valjoux minutieusement terminé et visible par le fond en saphir, ainsi que d’un bracelet en alligator brun et écailles carrées aux coutures blanches.

OCULUS MINOTAURUS : un défi entre horlogerie et mythologie

À l’occasion de Baselwolrd 2014, Valbray dévoile un garde-temps d’exception inspiré du thème énigmatique du labyrinthe. La montre deux aiguilles, à l’apparence sage et classique, cache un surprenant cadran en dédale, qui nous plonge en un quart de tour dans la mythologie grecque.

Selon la légende, le labyrinthe de Cnossos fut construit par le roi Minos, sur l'île de Crète, pour y emprisonner le Minotaure, monstre fabuleux possédant le corps d'un homme et la tête d'un taureau.
Une fois la construction terminée, l’œuvre était un tel enchevêtrement de rues, salles et galeries, que même son ingénieur Dédale et son fils Icare se trouvèrent prisonniers à l’intérieure.
Chaque année, la ville d'Athènes, alors soumise à Minos, devait offrir en sacrifice sept hommes et sept femmes Athéniens au Minotaure, qui se nourrissait de chair humaine.
Jusqu’au jour ou Thésée, fils du roi d’Athènes, tua le Minotaure et réussit à trouver la voie de sortie du labyrinthe, grâce au fil donné par Ariane, fille de Minos, qu'il avait fait dérouler le long du chemin.

L’ouverture circulaire de 16 lames du diaphragme, actionnée manuellement par la rotation de la lunette, dévoile un labyrinthe tridimensionnel sous-jacent, façonné dans l’or. Habilement positionnée sous une fine vitre en saphir, une bille en acier laquée blanc circule librement dans ce tracé sinueux.

C’est là que commence le jeu : faire glisser la bille parmi les embranchements, les impasses et les fausses pistes, dans le but de rejoindre l’arrivée, le centre.

Les détails de la montre, tels que les plaquettes en or sur les côtés, les heures en or sur le rehaut ou encore les plaquettes de la couronne, exaltent la technicité et précision de ce garde-temps.

Enfin, une somptueuse gravure représentant le Minotaure apparaît sur le fond.

À la fois classique et impertinente la Minotaurus est une évocation à la mythologie,
un clin d’œil à un jeu d’enfance.

Editée en deux versions : boîtier en acier PVD noir et lunette or rouge ou boîtier en acier PVD noir et lunette or blanc, chacune est limitée à 77 pièces, numérotées.


Texte original en français