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ROMAIN JEROME - Baselworld 2014
 
Le 25-04-2014
de Romain Jerome - RJ Watches SA

RJ-Romain Jerome à l’origine d’une collision cosmique !

En combinant son ADN avec un tout nouveau design de boîtier, RJ-Romain Jerome mélange deux univers que tout sépare en lançant sa nouvelle collection, 1969.

Poursuivant sa conquête du système solaire et flirtant une nouvelle fois avec l’infinité de l’espace, RJ-Romain Jerome présente le nouveau fer de lance de sa collection, 1969, déclinée en quatre modèles.

Cette nouvelle pièce de 43mm au design vintage reflète la nostalgie des années durant lesquelles l’esthé- tique était inspirée par des lignes épurées et géométriquement sobres. Contrastant avec l’esthétisme retro, les cadrans aux couleurs soutenues transporteront leurs propriétaires dans un univers mystérieux au fond d’une galaxie lointaine.

Sur la première déclinaison, la Maison avant-gardiste met en avant un cadran venant tout droit du grand cosmos et créé en plein cœur d’une nébuleuse solaire il y a des milliards d’années : la météorite. Souvent dé- signée comme la « croûte d’autres mondes », la météorite est la plus dure des roches extraterrestres jamais trouvée sur Terre. RJ-Romain Jerome a choisi de tailler ses cadran dans des « Chondrites », une sous catégorie de météorites beaucoup plus rare que l’or ou le platine, et de mettre en valeur cette pierre cosmique dans un boitier en acier satiné. Les 1969 sont imprégnées de la rêverie et des ambitions de l’homme à conquérir les astres, c’est pourquoi la marque à choisi cet élément si rare formé entre Jupiter et Mars.

En quête de matériaux innovants pour les trois autres cadrans de 1969, RJ-Romain Jerome a trouvé son inspiration dans les trésors de Mère-Nature. Abrégé par le sigle « SI » dans le tableau périodique des éléments, le Silicium est un matériau naturel couvrant près de 90% de la surface de la planète. Souvent utilisé dans l’électronique, son improbable collision avec le monde horloger se matérialise chez RJ-Romain Jerome sur les cadrans de ses 1969.

Cette matière naturelle, translucide et très fragile peut être colorée grâce un processus spécial de vaporisation de matière (PVD). Les cadrans en silicium bleu et gris sont emboités dans un boîtier en acier satiné tandis que le cadran brun est parfaitement intégré dans un boîtier en acier PVD noir.

La petite seconde décalquée à 9h00 évoque le viseur utilisé par les astronautes pour guider le LEM vers la surface de la lune alors que la face de la couronne est décorée par quatre empreintes rappelant les marques laissées par les « pieds » du LEM dans le sol lunaire. Autres détails, les griffes qui sécurisent la lunette suggèrent le X emblématique de la marque alors que les extrémités des aiguilles ont été recouvertes de superluminova émettant une couleur bleue dans l’obscurité. L’arrière de chaque montre est quant à lui un témoin de l’épopée spatiale dans laquelle gravitent les modèles 1969, il est décoré d’un médaillon en Moon Silver représentant la surface visible de la lune.

L’utilisation de matériaux innovants et la radicalité du design reflètent l’engagement de RJ-Romain Jerome à poursuivre sa conquête de l’espace et à continuer d’honorer les légendes contemporaines ainsi que la précision horlogère.


Le renouveau du Moon Orbiter de RJ-Romain Jerome.
Après avoir voyagé une année à travers l’espace, le Moon Orbiter est revenu de ses nombreuses missions intergalactiques pour se poser sur la Terre en révélant une physionomie nouvelle et surprenante !


Le Moon Orbiter aurait traversé la couche atmosphérique à 3h34 le mercredi 26 mars et selon de récentes informations, il aurait été localisé pour la dernière fois à Bâle en Suisse.

Des témoins rapportent que le garde-temps intergalactique a connu un changement esthétique lors sa traversée atmosphérique et dans le processus, son boîtier s’est noirci pour laisser place à un revêtement énigmatique grâce au PVD noir, mais aussi à un nouveau nom, le Moon Orbiter Speed Metal.

Suite au succès du modèle originel, RJ-Romain Jerome présente aujourd’hui le Moon Orbiter Speed Metal. Son boîtier généreux dépourvu de lunette de 49 mm de largeur, 45 mm de longueur et 20 mm d’épaisseur, bénéficie désormais d’une finition en PVD noir. Fidèle à ses origines cosmiques, le nouveau boîtier noirci du Moon Orbiter Speed Metal mêle acier horloger et acier d’Apollo 11.

En créant un boîtier constitué de cinq glaces saphir parfaitement ajustées, RJ-Romain Jerome permet ainsi d’apprécier pleinement le cœur de ce garde-temps contemporain. Le design conceptuel donne une vue complète sur l’architecture et la géométrie uniques de ce tourbillon volant tridimensionnel, logé à 9 heures. Le mouvement à remontage automatique est mis en avant grâce au fond du boîtier transparent qui offre une vision directe sur la masse oscillante. En hommage aux générations bercées par la science-fiction, la marque s’est inspirée du vaisseau
spatial « Enterprise » de Star Trek, par lequel tous les principaux ponts menaient au poste de commandement central, pour élaborer son tourbillon volant.

Le nouveau boîtier en PVD noir renferme des surprises telles que la poussière de Lune incrustée dans le cadran. La lecture des heures et des minutes se fait sur le compteur excentré à 3 heures. Les pointes des aiguilles squelettes sont laquées de couleur rouge, en accord avec le curseur de la réserve de marche de 42 heures, indiquée dans un cadran séparé entre les cornes inférieures à 6 heures. Des récits spatiaux fascinants ont été encryptés dans le cadran, sous forme de nombreuses constellations entre les cornes supérieures à 12 heures.

Une des caractéristiques les plus remarquables du Moon Orbiter Speed Metal sont les cornes. Ces dernières, articulées, sont composées d’un système exclusif à vérins mécaniques généralement utilisés pour les motos. Ce nouveau système breveté et innovant permet non seulement d’améliorer le confort au porté, mais également s’adapte à toutes les tailles de poignet.

Cette édition limitée de 25 pièces bénéficiant d’une nouvelle finition en PVD noir et métal, joue un rôle essentiel dans la stratégie de la marque de faire constamment évoluer ses modèles clés et de faire grandir la collection Moon-DNA pour continuer à transporter ses fans dans des galaxies lointaines.


Nose Art-DNA: RJ-Romain Jerome courtise les patriotes de charme.
Reconnaissant l’aptitude des hommes à se surpasser et à réaliser ses rêves les plus fous, RJ-Romain Jerome honore l’aventurier contemporain en créant une nouvelle légende, le Nose Art-DNA.


RJ-Romain Jerome célèbre les esprits audacieux et aventuriers du 20ème siècle en introduisant une nouvelle montre au design charistmatique, empreinte de fortes références historiques. Puisant son inspiration dans les prémices de l’aviation et les talismans de l’époque, la marque dévoile deux nouveaux garde-temps, Nose Art-DNA, issus de la collection Capsules.

Fidèle à sa créativité, RJ-Romain Jerome a infusé les boîtiers de ses nouveaux modèles d’acier appartenant au fameux Boeing F-17 Forteresse Volante. Mis en circulation en janvier 1945, le B-17 « Pink Lady » combattit pendant la Deuxième Guerre Mondiale sous l’égide de l’armée Américaine basée en Angleterre. Suite au dénouement de la guerre, la « Lady » fit le tour du monde à plusieurs reprises et devint la star de plusieurs long-métrages tels que « La Grande Vadrouille » en 1966, « Memphis Belle » en 1990 ou plus récemment, en 2012, dans le film « Red Tails ». La « Pink Lady » a laissé son empreinte dans le ciel et le cœur des hommes au travers de son histoire, marquée notamment par un moment inoubliable, le survol des Champs-Elysées le 14 juillet 1984 suite à la demande de l’ex- Président français, François Mitterand.

Louée pour sa loyauté et son esprit malicieux, la « Pink Lady » est également admirée pour son Nose Art. Cette forme d’art fit son apparition pour la première fois sur des avions italiens et allemands pendant la Première Guerre Mondiale. Il semblerait cependant que l’essor de la tendance Nose Art se soit propagée pendant toute la durée de la Deuxième Guerre Mondiale. De nombreux soldats développèrent un lien affectif très fort avec leurs avions qu’ils décorèrent de Pin-Ups ou de machoires de requins, peintes à la main sur les fuselages. Ces peintures étaient tolérées par de nombreux pays car elles participaient à remonter le moral des troupes.

La forme artistique du Nose Art ayant pour but de donner de l’espoir et du courage aux soldats permit aux pilotes de transformer les Pin-ups ornant leurs appareils en talismans secrets. Reprenant cet esprit cachotier, la montre Nose Art-DNA joue à un timide jeu de cache-cache avec de belles et séduisantes Pin-ups. Ces dernières, inspirées des intemporelles « Varga girls », patientent sagement sur chaque fond de boîte, ajoutant ainsi un charme burlesque à votre poignet.

Bénéficiant d’un nouveau boîtier de 46mm, le modèle en acier PVD noir, tout en discretion, met en scène un cadran camouflage vert et brun, tandis que le second modèle met tout en œuvre pour faire briller l’or rouge qui contraste avec le cadran au camouflage gris. Les compteurs des minutes et des secondes à 3 heures et 9 heures, rappellent subtilement les instruments de bord du cockpit alors qu’une glace sapphire plate cèle le cadran.

Le moteur est, quant à lui, composé d’un mouvement automatique à remontage automatique sur une base Valjoux et doté d’une réserve de marche de 42 heures. Le fond de boîte abrite sous une glasse saphire transpa- rente, sa propre Pin-up individuellement peinte à la main. Pour parfaire son hommage aux aviateurs, RJ-Romain Jerome a choisi un bracelet NATO pour ses deux nouveaux modèles. En effet, ce type de bracelet était très prisé pour sa durabilité et permettait d’éviter que la montre ne glisse du poignet des soldats lors des combats.

La collection Nose Art-DNA, proposée en 99 pièces uniques par version, incarne les codes esthétiques de ces avions de combat et capture l’adrédaline des soldats. Ce garde-temps vous procurera un étonnant sentiment d’appartenance ainsi qu’un attrait naturel pour les patriotes de charme.


RJ-Romain Jerome met sa Skylab sur orbite.
Fasciné pas l’Univers ainsi que pas les exploits de l’Homme, RJ-Romain Jerome réinterprète notre Histoire contemporaine en créant une nouvelle pièce horlogère au design épuré et élaboré, la Skylab.


Depuis des siècles, l’Infinité de l’espace et ses mystères stimulent la curiosité de l’homme. Ainsi lorsque Magellan affirma que notre planète était sphérique ou lorsque Galilée, père de l’astronomie moderne a découvert l’héliocentrisme, l’Univers prit une nouvelle dimension dans l’esprit des hommes assoiffés de découvertes et rêvant de la conquête de l’espace.

Afin d’honorer ces découvertes, la marque iconoclaste a conçu cinq nouveaux garde temps au design avant-gardiste levant le voile sur son premier cadran squelette.
Baptisée du nom de la première station spatiale de la NASA et célébrant 40 ans de son lancement, RJ-Romain Jerome présente la réinterprétation horlogère du Skylab. Abrité dans un nouveau boîtier de 44mm, le mouvement squelette mécanique rend hommage à l’architecture révolutionnaire de la station spatiale combinant un habillage fin et un système de panneaux solaires complexes.

Les cinq niveaux du squelette permettent à chacun de s’évader dans un rêve éveillé. Chaque élément du mouvement semble flotter dans l’espace tout en étant délicatement retenu par des ponts anglés rappelant la sophistication graphique d’un circuit informatique.

La glace saphir transparente du fond de boîte accentue encore l’effet de gravité zéro en révélant le barillet à 12h et le mouvement régulier du balancier à 6h. Le monogramme RJ est, quant à lui subtilement placé au niveau inferieur du squelette.

Les quatre griffes enserrant la pièce ont été anglées et élargies afin d’accentuer encore la générosité du design de la boîte. Le raffinement de cette pièce va jusqu’à dans le dessin des cornes évidées afin d’alléger la montre. Cette particularité n’est pas uniquement stylistique, elle cache un ingénieux système de vissage des cornes.

L’éclat de l’architecture brossée anthracite du squelette met en lumière chaque élément du cadran alors que la finition en acier PVD noir absorbe le regard dans l’infinité de l’espace. Fidèle à l’ADN de marque, ces pièces contiennent de l’ADN d’Apollo 11 dans les lunettes et est également disponible en or rouge.

La montre Skylab rappelle l’éclat d’un système stellaire vu d’une station spatiale en orbite et concentre l’imaginaire des hommes ainsi que leur soif de savoir et de découverte. La Skylab est un hommage à la conquête de l’espace et aux rêves sous-jacents qui l’ont rendue possible.


La Spacecraft Black de RJ-Romain Jerome part en mission d’infiltration.
Suite au succès du lancement en 2013 de la Spacecraft originelle, RJ-Romain Jerome part cette année en mission d’infiltration grâce à une nouvelle finition furtive.


RJ-Romain Jerome dévoile sa nouvelle Spacecraft obscurcie, faisant ainsi écho aux systèmes de brouillage de l’armée. Révélant un look plus pointu, ce nouveau garde-temps s’inspire de l’esthétique des avions furtifs tels les fameux F-117 Nighthawk qui ont survolé la planète, invisibles, pendant plus de 20 ans.

Le trio de têtes pensantes derrière ce projet d’envergure, M. Manuel Emch, CEO de RJ-Romain Jerome, M. Eric Giroud, designer de renommée internationale et M. Jean-Marc Wiederrecht, horloger expert, a provoqué une explosion créative inégalée. Avec son allure à la Darth Vador et sa forme singulière en trapèze, la Spacecraft Black présente un boîtier en titane revêtu de PVD noir mat facetté. Les formes et les fonctions s’accordent parfai- tement pour offrir une nouvelle lecture du temps: l’heure linéaire, positionnée sur la tranche de la montre, se lit latéralement grâce au curseur orange. L’indicateur des minutes, également matérialisé par un curseur orange, est visible sur le dessus du boîtier et se présente sur un disque rotatif noir.

Ce garde-temps résolument futuriste, renferme un mouvement mécanique à remontage automatique développé par la manufacture genevoise Agenhor, en exclusivité pour RJ-Romain Jerome. La com- binaison de ces quatre fonctions, heure latérale, linéaire, sautante et rétrograde, est non seulement inédite mais aussi une des plus complexes jamais réalisées en horlogerie. Enfin, la mise à l’heure se fait par le biais d’une couronne vissée à 12h.

Le bracelet en cuir de buffle de couleur noir et orange, propre à cette édition furtive, a été conçu pour épouser la forme de la nouvelle Spacecraft Black, qui s’adapte au poignet à la perfection. Le dessous du bracelet en cuir orange fait écho aux indicateurs des heures et des minutes tout en donnant une allure plus sportive à ce garde-temps.

Limitée à 25 pièces uniquement, la nouvelle Spacecraft Black procurera une sensation de pouvoir et de liberté cosmique à tous les Easy Riders stellaires. RJ-Romain Jerome propose une fois de plus une lecture originale du temps et poursuit son exploration de nouveaux terrains créatifs.


Texte original en français

 



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