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QUI SE DÉROULERONT DU 23 AOÛT AU 7 SEPTEMBRE PROCHAINS
Fervent soutien du monde équestre depuis plus de cinquante ans, Rolex apportera une fois encore son concours en tant que partenaire des Jeux équestres mondiaux qui se dérouleront en Normandie du 23 août au 7 septembre prochains.
L’impressionnant portefeuille des événements parrainés par Rolex compte quatre des concours de saut d’obstacles les plus suivis au monde. Mettant en scène les meilleurs cavaliers que ce sport n’ait jamais connus, les « Majors », comme ils sont couramment appelés, comprennent les trois principaux Grands Prix de saut d’obstacles dont Rolex est Sponsor Titre.
Outre la solide réputation dont jouit Rolex parmi les adeptes du saut d’obstacles, la marque s’est également imposée en concours complet et en dressage, leur apportant un prestige et une dimension tels qu’il est désormais superflu de présenter le Rolex Grand Slam of Eventing ou le Global Dressage Festival par exemple. L’association emblématique de la marque avec les Jeux équestres mondiaux remonte à 2002, à Jerez de la Frontera; chaque édition de ces Jeux réunit les meilleurs cavaliers mondiaux qui concourent dans l’espoir de remporter le titre tant convoité de champion du monde.
Rolex sera en toute première ligne des Jeux équestres mondiaux 2014, qui se dérouleront dans la région de Caen. Un nombre record de 72 pays ont annoncé leur participation.
Les liens exceptionnels qui unissent Rolex aux Jeux équestres mondiaux ont sans conteste contribué à convaincre douze nouveaux pays à participer pour la première fois cette année à cet événement phare – un fabuleux succès pour le développement mondial des sports équestres.
8 disciplines officielles
15 jours d’épreuves
72 nations
1000 concurrents
1000 chevaux
27 podiums
7 sites officiels consacrés aux compétitions
3000 exposants
300 photographes
1200 journalistes
3000 volontaires
12 000 accréditations
500 000 spectateurs
500 millions de téléspectateurs
Kevin Staut
« J’ai participé à mes premiers Jeux Équestres Mondiaux en 2010, dans le Kentucky. C’est un endroit extraordinaire, qui de fait ressemble un peu à la Normandie. La première journée fut catastrophique pour moi. Normalement, ma jument Silvana n’est jamais impressionnée, mais pour je ne sais quelle raison, nous avons eu un refus et une barre tombée lors de l’épreuve de vitesse d’ouverture, une énorme déception. Toute la nuit, j’ai pensé à rester motivé pour l’équipe de France.
Je n’avais plus aucune chance d’obtenir une médaille en individuel, mais je pouvais aider l’équipe à en gagner une. Le lendemain, Silvana et moi étions les derniers à nous élancer et nous devions faire un sans-faute pour assurer à l’équipe de France de rester dans la course aux médailles. Silvana réalisa un excellent parcours sans-faute.
Et pour la manche finale du concours, alors que beaucoup de français étaient venus nous voir et nous soutenir, elle a de nouveau fait un sans-faute. Nous avons en quelque sorte fait d’une catastrophe un succès, avec une médaille d’argent à la clé. »
Eric Lamaze
« Mon meilleur souvenir, ce fut Kentucky en 2010, lorsque j’ai compris que j’étais qualifié pour la Finale à quatre sur Hickstead. Le format des Jeux équestres mondiaux fait que vous pouvez réussir la meilleure semaine de votre vie, puis faire tomber deux barres lors du dernier jour et être éliminé. Tout reste totalement incertain jusqu’à la fin, et ma qualification pour la Finale à quatre reste définitivement mon meilleur souvenir des Jeux équestres mondiaux.
Je suis particulièrement fier que Hickstead ait fait quatre parcours sans faute avec chacun de ses cavaliers et que le titre de Meilleur Cheval lui ait été décerné. J’étais si content pour le cheval. Savoir qu’il a remporté ce titre est un souvenir mémorable. »
Steve Guerdat
« Bien que j’aie participé à mes premiers Jeux équestres mondiaux en 2010, cela n’a pas été un concours fantastique pour moi. Mon meilleur souvenir des Jeux équestres mondiaux remonte à 1998, lorsque Rodrigo Pessoa a remporté le titre en individuel. J’avais alors 16 ans, et j’ai suivi l’événement à la télévision, depuis chez moi, en Suisse. Rodrigo était l’une mes idoles, et je me suis dit: «Je veux faire pareil». Le cavalier suisse Willi Melliger était l’un des quatre cavaliers qualifiés pour le barrage final, et voir Calvaro V, son grand cheval blanc, aligner les parcours sans faute était grandiose. Calvaro était un cheval très particulier, avec une manière de sauter à nulle autre pareille, et c’était passionnant de le suivre, ainsi que de regarder tous ces célèbres cavaliers monter à tour de rôle les chevaux des uns et des autres. »
Rodrigo Pessoa
« Mon meilleur souvenir des Jeux équestres mondiaux remonte à 1998, à Rome. Je ne montais Lianos que depuis le début de l’année, mais nous avions bien travaillé dans les mois qui avaient précédé, et j’avais un bon pressentiment pour les Jeux. Mais rien n’est joué d’avance, un championnat mondial réserve toujours des surprises.
Nous avons fait deux beaux parcours à la Coupe des Nations, et j’ai donc commencé à croire que c’était du domaine du possible. Lianos a fait un sans-faute dans le deuxième parcours individuel, et nous nous sommes retrouvés en finale, ce qui était déjà un bel exploit. La finale, où les quatre meilleurs cavaliers échangent leurs montures, est un exercice très particulier, et je concourais contre des cavaliers de dix ans mes aînés et beaucoup plus expérimentés. De fait, je n’avais rien à perdre, et je me suis présenté dans un état d’esprit très positif.
Je n’ai sans doute jamais connu de meilleures sensations que lors de mon parcours sur Calvaro V, le cheval de Willi Melliger, et je n’oublierai jamais ces dix obstacles. Résultat des courses: j’ai été sacré champion du monde. C’était fabuleux. »
Meredith Michaels-Beerbaum
« Lors des Jeux équestres mondiaux, deux grands moments resteront gravés dans ma mémoire. J’ai gagné le bronze en équipe et en individuel à Aix-la-Chapelle en 2006, sur Shutterfly, un cheval fantastique – c’est un moment inoubliable. Mais mon souvenir le plus merveilleux fut de gagner la médaille d’or avec l’équipe d’Allemagne sur Checkmate aux Jeux de Kentucky en 2010. C’était seulement six mois après la naissance de ma fille Brianne, et l’on m’avait dit que je ne pourrais pas être qualifiée dans l’équipe cette année-là. J’ai gagné les Championnats d’Allemagne, ils m’ont intégrée à l’équipe, et nous avons gagné l’or ! Comme je suis Américaine de naissance, gagner une médaille d’or dans le pays où je suis née a été quelque chose d’extraordinaire. »
Zara Phillips
« Après avoir gagné deux médailles d’or aux Championnats d’Europe de 2005, je suis venue aux Jeux équestres mondiaux d’Aix-la-Chapelle en 2006 pour essayer de reproduire ce que nous avions réussi l’année précédente, mais au niveau mondial cette fois et face à l’élite de ce sport. Aix-la-Chapelle est comparable à Wimbledon ou Twickenham, un site de compétition incroyable avec un public de fins connaisseurs. Ce fut une sensation de soulagement incroyable lorsqu’à l’issue du concours final de saut d’obstacles, j’ai su que j’avais gagné. Je savais que je montais un cheval d’exception, et c’est extraordinaire lorsque vous mettez toute votre confiance dans quelqu’un d’autre et que tout fonctionne à merveille.
Nous étions partenaires et nous nous sommes soutenus l’un l’autre durant une semaine vraiment riche en émotions. J’ai appris que dans les sports équestres, il faut absolument savourer les bons moments, parce qu’il y a tellement de hauts et de bas. Ce moment-là fut la cerise sur le gâteau. »
Isabell Werth
« Mon meilleur souvenir des Jeux équestres mondiaux remonte à 2006 à Aix-la-Chapelle. Ma participation a été quelque peu mouvementée : il était prévu que je monte Warum Nicht, mais il s’est blessé juste avant la compétition et j’ai été, à ma plus grande joie, autorisée à monter Satchmo. Je pense que les Jeux équestres mondiaux d’Aix-la-Chapelle ont été le plus grand championnat jamais organisé, exception faite des Jeux olympiques, et l’ambiance fut remarquable de bout en bout. Je montais dans ce stade géant sous les yeux de 50 000 spectateurs, lorsque l’écran afficha qu’Anky van Grunsven était en tête pour la médaille d’or ; « c’est ce que l’on va voir ! » me suis-je dit. Remporter la médaille d’or en individuel et en équipe pour l’Allemagne, mon pays d’origine, fut un moment exquis. »
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