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La connectivité doit être vraiment utile, selon le patron de la marque indépendante, que l’on n’attendait pas si tôt dans le segment des montres connectées. Le prototype sera finalisé durant l’année en cours
Même si en 1995 Breitling avait sorti une montre capable d’envoyer des signaux de détresse, la marque fait partie de celles que l’on n’attendait pas, du moins pas si tôt, dans le segment de la montre connectée.
Par contre, son choix stratégique est tout à fait dans sa ligne habituelle. Le prototype de la B55 Connected se veut technique, utile et facile à utiliser, expose son patron Jean-Paul Girardin. Le téléphone sera au service de la montre, lui qui a l’avantage d’avoir une grande surface et une interface plus conviviale pour gérer les données (de vols) collectées au poignet. La version finale, disponible d’ici à fin 2015, sera peut-être différente. Même son design pourrait être revu. Un prix de 8000 euros a été articulé.
Servan Peca
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