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Dom Pérignon compte fleurette à Chaumet
 
Le 10-12-2007

Cocktail select hier soir à Genève pour célébrer l’alliance des deux filiales de LVMH autour d’une collection en série limitée.

L’amour n’a pas de frontières. L’adage a des airs de rengaine venue d’un autre temps, et pourtant. Il était dans toutes les pensées des invités venus célébrer hier soir l’événement La belle le jéroboam à la bouti­que Chaumet de la rue du Rhône.
Vous l’aurez compris: La belle et le jéroboam, c’est une histoire romantique. Une pas­sion entre un collier et un champagne, des diamants et des bulles, des araignées et un nectar. C’est surtout une al­liance inhabituelle entre deux filiales du groupe LVMH, Dom Pérignon et Chaumet.
Mais à quoi peut donc abou­tir la rencontre entre un joaillier de renom et un maître en champagne? Un collier de perles de diamants enfilées sur une dentelle de fils d’or arach­néens, qui s’amourache d’un magnifique jéroboam de Dom Pérignon 1995 recouvert d’or blanc.

Présent prestigieux
«Chaumet et Dom Pérignon étant deux créateurs d’excep­tion dans leurs domaines d’ac­tivité, l’idée était de réunir leur savoir-faire dans un présent extrêmement prestigieux», explique Carole Kittner, porte­parole de Dom Pérignon. Le tout avec humour, enrobé d’un conte de fées où une bouteille de grand champagne vient compter fleurette à un collier précieux.
Un concept original et tota­lement exclusif: édité en série limitée – la Suisse ne dispose que 10 jéroboams —, le duo n’a été présenté que sur très peu de marchés clés des filiales, dont Londres en novembre dernier. A Genève, le cocktail organisé hier soir à la rue du Rhône se voulait ainsi très se­lect en réunissant les ambassa­deurs et les amis les plus fidè­les des enseignes. Les pièces misent quant à elles sur les qualités uniques des deux mar­ques.
Partie de la célèbre collection «Attrape-moi» de Chaumet, le collier témoigne d’un véritable travail d’orfèvre: au total, près de 688 diamants sertis sur des médailles ajourées et travaillés en taille brillant ou en perles tissent la dentelle du collier semi-pavé en or blanc totali­sant ainsi 3,58 carats. Un jeu de cache-cache de 42 cm qui coûte 37 950 francs.

Côté bagatelle, Dom Péri­gnon n’est pas en reste. Proté­geant trois litres de Dom Péri­gnon Vintage 1995, le jéro­boam a été trempé dans un bain d’or blanc qui lui confère ainsi une allure des plus de­sign. Le nectar, lui, a été butiné selon les traditions du moine Pierre Pérignon. Un travail d’affinement et d’innovations techniques fait d’audace et de patience. Prix de l’oeuvre: 20 000 francs, un chiffre qui fait de ce jéroboam tout sim­plement le plus cher du monde.

Au total, le duo frise donc à l’achat les 60 000 francs suis­ses. Mais l’amour n’a pas de prix. Cette chanson aussi est fort connue.

Tribune de Genève / (fn)

 



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