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Le jeune horloger crée l'«Automatic Chronograph Evolution»
UN PEU D’HISTOIRE
La majeure partie des montres mécaniques d’aujourd’hui utilisent le principe de remontage automatique dont la première version semble dater de 1778. Ce système rend plus simple et confortable le port d’une montre mécanique, puisque tant que celle-ci est portée, il n’est alors plus nécessaire de la remonter. Au contraire d’un chronomètre qui n’est pas pourvu d’un tel système, il faut passer par la rébarbative étape du remontage tous les deux ou trois jours dans le meilleur des cas. Cette fonction de remontage automatique est une aubaine pour bien des utilisateurs qui recherchent la noblesse mécanique. Paradoxe, le système devient pénalisant lorsque la montre est un beau chronographe haut de gamme.
TROP DE SACRIFICES AU NOM DE L’AUTONOMIE
La masse oscillante, souvent visible par un fond transparent est caractéristique du système de remontage automatique, ne présente donc pas que des avantages. Trop souvent, elle « compresse » la mécanique et dissimule de magnifiques finitions artisanales. Même le concepteur du calibre est contraint de ne pas pouvoir insérer un système à rattrapante simple ou double, ainsi que toute autre complication chère à tout collectionneur averti. Un compromis qui limite bien souvent l’offre de chronographes proposés par les marques.
THE FIRST AUTOMATIC CHRONOGRAPH EVOLUTION
En avant-première mondiale, l’évolution présentée dans ce communiqué va permettre à tout amateur de beaux calibres chronographes, d’apprécier enfin et à sa juste valeur, l’ensemble des pièces mécaniques visibles côté fond. La masse oscillante ainsi que le système de remontage au complet, ont cette fois-ci été placés sur le devant de la montre. Du côté cadran, seul le rotor est visible. Son design s’est par ailleurs totalement approprié le devant de la scène, qu’on en est arrivé à se demander pourquoi il n’a pas toujours été ainsi. Une vraie réussite esthétique. Sur l’arrière, libre cours aux plus grandes folies mécaniques. Chronographe à roue à colonne, à navette, à rattrapante, ou toutes autres complications. Tout devient possible. Plus aucune contrainte ! Libre cours aux plus belles des finitions sans avoir à se priver du confort d’une autonomie sans limite.
UNE CONCEPTION, UN BREVET, UNE MARQUE … ET PEUT-ÊTRE UN NOUVEAU SYMBOLE?
Frédéric Jouvenot, un concepteur horloger de 30 ans, n’en est pas à son coup d’essai. A peine sorti de ses études supérieures en microtechnique qu’il entame pour le compte d’un client le développement et la réalisation complète d’un micro scanner. C’est alors qu’une porte dans l’horlogerie haut de gamme s’ouvre à lui, et là, la passion le dévore. Il enchaîne projets, développements et prototypes. Quelques marques prestigieuses bien connues lui doivent des chefs-d’œuvre mécaniques dans le domaine des complications. Affichages mystérieux, quantièmes ou GMT rétrogrades en tous genres, développements spéciaux … etc. Même un quadruple tourbillon est sorti de sa boîte à surprises. Sa passion pour les anciens chronographes et son travail acharné, bien souvent au-delà du couvre-feu, lui ont permis de finaliser cette conception qui lui vaut aujourd’hui le dépôt d’un brevet, sa fierté. Son invention, il souhaite jalousement la garder pour lui et en faire profiter, en exclusivité, les futurs clients de sa marque « FREDERIC JOUVENOT ».
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