Montres automatiques : L’histoire poursuit son chemin !
 
Le 19-01-2010

Additif au livre «Perpétuelles à roue de rencontre» par Joseph Flores - Édition 2009 - AFAHA Besançon

Il s’est passé pas mal de choses depuis 1993, année durant laquelle j’ai publié mon analyse d’un rapport ancien, issu de l’Académie Française des Sciences de Paris, décrivant, sous la plume des rapporteurs, J. B. Leroy et De Fouchy, une montre déposée par l’horloger liégeois, Hubert Sarton (1748/1828), définie ainsi : « montre qui se remonte par l’effet d’une masse de cuivre agitée par le mouvement qu’on se donne en marchant ». Cela ressemble bien à une montre, que l’on dit de nos jours « automatique ».

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Copie du croquis original déposé par Hubert Sarton à l’Académie Royale de Sciences de Paris avant le 16 décembre 1778

extrait de la réponse de la documentaliste

Croquis déposé par H. Sarton en 1778, à l’Académie Royale des Sciences de Paris

Mouvement automatique à rotor, réalisé vers 1780 : Musée de Schoonhoven, Hollande

Joseph Flores

 

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