Carlos Rosillo revient sur la première participation de Bell & Ross au salon Belles Montres
 
Le 30-11-2010

Alors que le salon Belles Montres vient tout juste de fermer ses portes au Carrousel du Louvre à Paris, Carlos Rosillo, PDG de Bell & Ross, répond à nos questions sur la toute première participation de cette marque franco-suisse à cette rencontre horlogère grand public devenue incontournable.

Première participation de Bell & Ross au salon Belles Montres. Quelles sont vos impressions ?
Carlos Rosillo : je savais que Belles Montres était un très beau salon pour y être venu en visiteur les années précédentes… Et je garde cette impression en tant qu’exposant !

Je suis d’autant plus heureux que Bell & Ross y soit présent, que je trouve que le salon s’améliore d’année en année, et qu’en cette quatrième édition, un pas supplémentaire ait été franchi en termes de qualité, de décoration et d’ambiance.

Je suis donc ravi que notre première participation corresponde à ce qui, à mon sens, est la plus belle édition depuis ses débuts.

Quel est l’intérêt pour une marque comme Bell&Ross d’être présent sur tel un salon horloger ? A priori sans vente directe au client…
Carlos Rosillo :
il y en a plusieurs. Dans un salon ouvert au public comme celui-ci, on est en contact direct avec les clients finaux.

Même si la vente n’est pas directe, non seulement elle aboutira probablement, mais surtout, ce contact nous permet de mieux connaître ce client final, d’échanger avec lui et de le renseigner en tant que marque.

Un salon abolit le sacro-saint passage dans un magasin où parfois le client hésite à passer la porte. Ici, on peut essayer une ou plusieurs montres sans être gêné, justement peut être aussi parce qu’on ne se sent pas obligé d’acheter.

De plus, nous n’avons pas de boutique en nom propre en Europe et il vrai que nous apprécions particulièrement de nous rapprocher de nos clients. Enfin, n’oublions pas que ce salon permet aussi de nous faire connaître d’une partie du grand public. L’intérêt, en effet, est qu’à Belles Montres se côtoient des collectionneurs avertis et des novices, curieux d’en savoir plus sur le paysage horloger. C’est en quelque sorte le cœur et les poumons de l’horlogerie qu’on entend battre dans les allées de ce salon.

Quelles ont été les principales réactions des visiteurs par rapport à vos nouveautés 2010 ?
Carlos Rosillo :
un fort engouement je dois dire.

Beaucoup avaient vu dans la presse des images de ces nouveautés, qu’il s’agisse de la BR01 Radar ou de la nouvelle ligne Vintage (en photo ci-contre). Ceux là venaient les essayer, les voir « en réalité ».

Ceux qui les découvraient pour la première fois montraient un fort intérêt pour la ligne Vintage qui réunit l’identité de Bell & Ross et son inspiration militaire des années 40, dans des modèles de qualité (mouvement automatique, verre saphir ultra-bombé), fabriqués en Suisse, et très bien positionnés en terme de prix.

Bell & Ross est l’une des premières marques horlogères à proposer sur son site Internet une e-boutique. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Carlos Rosillo :
près d’un an après l’ouverture de notre e-boutique, nous sommes très heureux des résultats. C’est un service supplémentaire que nous apportons à nos clients, qui s’inscrit dans les nouveaux modes de consommation y compris dans le luxe. Les achats sont répartis entre les accessoires et les montres, y compris les plus chères, puisque nous avons vendu récemment une « heure sautante » en platine à 19.900 euros !

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