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En effet, la maison Dior a confié à l’architecte américain Peter Marino le soin d’en repenser l’espace.
Celui-ci s’organise en une succession de petits salons intimistes, développés autour d’un atrium lumineux s’étendant sur deux niveaux. Inspiré de l’hôtel particulier de la maison Dior, au 30, avenue Montaigne à Paris, l’espace joue avec les codes du XVIIIe siècle français et ceux de la marque:
• Le sol en pierre de Tavel et cabochons de marbre noir
• Le parquet de chêne en points de Hongrie
• Les murs habillés de panneaux moulurés ou gainés de tissu plissé
• Une balustrade et des garde-corps dans le style de Jules Hardouin-Mansart, architecte de la place Vendôme
• Le gris Dior, décliné en une palette infinie de tons et de matières
• La chaise médaillon, tapissée de soie, de velours ou de cuir
• Le verseau, signe astral de Monsieur Dior, traité en constellation de lumières au plafond
L’art et l’artisanat, chers à Christian Dior, sont également très présents:
• Un tableau de Damien Hirst, « Judas the disciple » (collection LVMH)
• Un tableau de Martin Kline, « Temperamental and Tempest »
• Un lustre monumental de Lee Bul (collection LVMH)
• Une table-sculpture de Philippe Hiquily
• Une table d’Alasdair Cooke
• Des guéridons de Juan et Paloma Garrido
• Des lampes et des tabourets de Laurent Chauvat
• Des lampes et un miroir de Véronique Rivemale
• Des tabourets d’Alexandre Logé
• Un vase en argent de Ndidi Ekubia |