Maurice Lacroix est le partenaire horloger officiel de David Belle depuis le début de l’année 2008. Le Français a créé «Le Parkour», une science du déplacement située entre art et philosophie de la vie qui consiste surtout à surmonter les obstacles et à dépasser des limites pour trouver sa propre voie. En ayant prouvé à maintes reprises qu’il est possible, pour une petite marque indépendante, de poser par ses propres moyens de nouveaux jalons dans l’industrie horlogère, la manufacture innovante Maurice Lacroix incarne également ces valeurs.

«Si l’on te donne du papier ligné, écris à travers les lignes.» David Belle ferait certainement sienne cette citation du poète espagnol Juan Ramón Jimenez. Avec «Le Parkour», cet athlète exceptionnel et réservé a créé un art du déplacement qui a pour but le développement, au même degré, de toutes les capacités humaines: courir, sauter, grimper, se suspendre – chaque mouvement n’est pas exécuté comme une fin en soi mais en réaction à l’environnement et cela sans moyens auxiliaires. Les «traceurs» sprintent le long d’une ligne imaginaire à travers parcs et banlieues et surmontent les obstacles avec une facilité déconcertante. Dans le répertoire standard du Parkour, on compte près d’une douzaine de mouvements de base, des techniques de sauts, des méthodes de course et d’escalade grâce auxquelles, par exemple, il est possible de vaincre des gouffres de huit mètres ou des parois de quatre mètres. Il faut surtout que le mouvement s’effectue en toute fluidité: les sauts, rotations et atterrissages doivent être doux et sûrs.

Parkour n’est pourtant pas l’art de se déplacer le plus rapidement possible de A à B. L’objectif est davantage de dépasser ses propres limites, les caractérielles aussi, et de trouver sa propre voie, souligne David Belle. L’athlète de 34 ans n’effectue pas de sauts téméraires parce qu’ils donnent une impression cool, mais il saute pour vaincre les obstacles. Le Parkour a gagné aujourd’hui ses lettres de noblesse au niveau mondial. Le film «Banlieue 13» de Luc Besson sorti en 2004, dans lequel David Belle et ses collègues exécutent eux-mêmes toutes les scènes d’actions et de combats, a contribué à sa percée au niveau international.

La philosophie du «Parkour» – surmonter les obstacles et dépasser des limites tout en empruntant des voies et des solutions totalement nouvelles – s’applique également parfaitement à Maurice Lacroix. En privilégiant des développements innovants tant au niveau des mouvements manufactures, des complications que du design, la Manufacture située à Saignelégier dans le Jura ne cesse d’enrichir le monde exclusif de la mesure du temps. Elle prouve également qu’il est possible, pour une petite marque indépendante, de poser de nouveaux jalons dans l’industrie horlogère grâce à des concepts révolutionnaires.

Le meilleur exemple en est Mémoire 1 – la première montre mécanique dotée d’une fonction mémoire – que Maurice Lacroix présentera officiellement à Baselworld 2008. La fonction mémoire de ce chronographe en série limitée est une Grande Complication entièrement nouvelle, conçue et développée au sein de «L’Atelier de Maurice Lacroix». Cette cellule créative de recherche et de développement réunit l’expérience, le savoir-faire et le talent de spécialistes internes et externes tels que des designers, des ingénieurs, des constructeurs et des horlogers.

La présentation officielle de Mémoire 1 sera célébrée le 2 avril 2008 à l’occasion de Baselworld. Lors de la soirée de lancement qui aura lieu à la Voltahalle à Bâle, David Belle et son équipe se produiront pour la première fois pour Maurice Lacroix. Philippe C. Merk, CEO de Maurice Lacroix, se réjouit de cette collaboration: «Le Parkour est un art du déplacement dynamique, élégant et extrêmement précis qui véhicule une idée forte. Maurice Lacroix a également pour vocation de surmonter les obstacles de manière innovante. C’est pourquoi les exploits de David Belle et de son équipe reflètent parfaitement le travail que nous avons effectué avec Mémoire 1.»