Un tourbillon, oui, mais, en le regardant de plus près, on découvre son cadran en « peau de dragon » (écailles) et on se demande s’il n’y a pas un message métamorphique caché dans la montre, avec un rouage qui pourrait l’œil de ce dragon, une cage qui en seraient les griffes ou les moustaches, à moins que le pont du tourbillon ne soient autres que les moustaches du dragon, stylisées dans un goût chinois réimaginé par Picasso (image ci-dessus).