Additif au livre «Perpétuelles à roue de rencontre» par Joseph Flores - Édition 2009 - AFAHA Besançon

Il s’est passé pas mal de choses depuis 1993, année durant laquelle j’ai publié mon analyse d’un rapport ancien, issu de l’Académie Française des Sciences de Paris, décrivant, sous la plume des rapporteurs, J. B. Leroy et De Fouchy, une montre déposée par l’horloger liégeois, Hubert Sarton (1748/1828), définie ainsi : « montre qui se remonte par l’effet d’une masse de cuivre agitée par le mouvement qu’on se donne en marchant ». Cela ressemble bien à une montre, que l’on dit de nos jours « automatique ».

• Suite de l'article (.pdf)

Accéder aux images haute résolution...

Cliquez sur les liens pour afficher les images en haute résolution, puis faites un clic droit sur l'image haute résolution pour l'enregistrer sur votre disque


• Copie du croquis original déposé par Hubert Sarton à l’Académie Royale de Sciences de Paris avant le 16 décembre 1778

• extrait de la réponse de la documentaliste

• Croquis déposé par H. Sarton en 1778, à l’Académie Royale des Sciences de Paris

• Mouvement automatique à rotor, réalisé vers 1780 : Musée de Schoonhoven, Hollande

Joseph Flores